Emmanuel Macron
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
Macron a-t-il pensé que le grand empereur était quand même le petit-fils de Charles Martel ?
Il manque deux détails à ce beau roman gaullien : soumettre ce projet à référendum et mettre sa démission dans la balance.
Un joli prix de consolation qui vient à point nommé après les mauvaises notes – pour ne pas dire le bonnet d’âne – obtenues sur la scène internationale…
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Le sacrifice du Colonel Beltrame, tel que le définit le président, nous enseigne une vision épique et héroïque de la France, plus authentique que toutes les chicayas partisanes.
Les conflits du monde d’avant sont très utiles au nouveau monde selon Macron.
L’article 1 de la Constitution pourrait devenir : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et romantique ».
Emmanuel Macron, parce qu’intelligent, est autrement plus dangereux que ses prédécesseurs.
Sa dernière sortie en date nous vient des antipodes en Nouvelle Calédonie.
Emmanuel Macron est le petit prince bonapartiste 2.0 que les états-majors de droite n’ont jamais osé fabriquer.
Face au marais macronien, composé de droito-centristes et de socialistes anémiés, droite et gauche de conviction issues de la « France périphérique » ont encore de l’avenir devant elles.
À l’occasion du premier anniversaire de l’accession d’Emmanuel Macron à l’Élysée, Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, répond aux questions de Boulevard Voltaire. Jean-Frédéric Poisson,
Cet événement illustre parfaitement la connivence qui existe, de fait, entre La France insoumise, les socialistes, La Ré
Emmanuel Macron devrait se rendre, fin juin, au Vatican pour rencontrer le pape François et, vraisemblablement, prendre officiellement possession de son titre de premier chanoine
L’agrégée, elle, a voulu faire la fête à Schiappa en lui donnant le coup de grâce.
Emmanuel Macron a déclaré au magazine Forbes vouloir supprimer l’« exit tax », qui avait été mise en place par Nicolas Sarkozy. En quoi consiste
Emmanuel Macron aime briller dans la langue de Shakespeare, même s’il n’en connaît pas toutes les subtilités.
Cette visite est surtout la première étape vers la Nouvelle-Calédonie, où il est attendu de pied ferme par les indépendantistes.
Soit certains journalistes parisiens vivent sur une autre planète, soit ils nous prennent vraiment pour des imbéciles.
Quant à Emmanuel Macron, c’était une faute diplomatique que d’aller devant le Congrès pour plaider contre les thèse du Président Trump et de s’y faire applaudir par son opposition…
À quoi bon s’entêter à financer une Assemblée nationale qui ne sert à rien d’autre qu’à entériner les lois concoctées par le gouvernement ?
Et aujourd’hui, Macron-Trump. Évidemment, les irrévérencieux diront, là, que ce n’est pas Tintin mais Milou en Amérique.
Notre technocrate en chef nourri au biberon de la gauche strauss-kahnienne veut donc séduire la droite.
Comme à chaque fois, notre puissant voisin continue de faire tel qu’il l’entend après avoir fait semblant de nous entendre.
Nous voulons une Europe des peuples et des nations contrairement à ce qu’il souhaite avec sa souveraineté européenne.
M. Macron a été, jusque-là, un homme chanceux. Or, notre moteur économique se grippe quelque peu.
Là où l’Américain choque et surprend, le Français tente de réinvestir un grand rôle du répertoire si possible au milieu des décors de notre histoire.
Macron a-t-il pensé que le grand empereur était quand même le petit-fils de Charles Martel ?
Il manque deux détails à ce beau roman gaullien : soumettre ce projet à référendum et mettre sa démission dans la balance.
Un joli prix de consolation qui vient à point nommé après les mauvaises notes – pour ne pas dire le bonnet d’âne – obtenues sur la scène internationale…
Mais que veut Trump finalement ? C’est simple : un changement de régime en Iran.
Le sacrifice du Colonel Beltrame, tel que le définit le président, nous enseigne une vision épique et héroïque de la France, plus authentique que toutes les chicayas partisanes.
Les conflits du monde d’avant sont très utiles au nouveau monde selon Macron.
L’article 1 de la Constitution pourrait devenir : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et romantique ».
Emmanuel Macron, parce qu’intelligent, est autrement plus dangereux que ses prédécesseurs.
Sa dernière sortie en date nous vient des antipodes en Nouvelle Calédonie.
Emmanuel Macron est le petit prince bonapartiste 2.0 que les états-majors de droite n’ont jamais osé fabriquer.
Face au marais macronien, composé de droito-centristes et de socialistes anémiés, droite et gauche de conviction issues de la « France périphérique » ont encore de l’avenir devant elles.
À l’occasion du premier anniversaire de l’accession d’Emmanuel Macron à l’Élysée, Jean-Frédéric Poisson, président du Parti chrétien-démocrate, répond aux questions de Boulevard Voltaire. Jean-Frédéric Poisson,
Cet événement illustre parfaitement la connivence qui existe, de fait, entre La France insoumise, les socialistes, La Ré
Emmanuel Macron devrait se rendre, fin juin, au Vatican pour rencontrer le pape François et, vraisemblablement, prendre officiellement possession de son titre de premier chanoine
L’agrégée, elle, a voulu faire la fête à Schiappa en lui donnant le coup de grâce.
Emmanuel Macron a déclaré au magazine Forbes vouloir supprimer l’« exit tax », qui avait été mise en place par Nicolas Sarkozy. En quoi consiste
Emmanuel Macron aime briller dans la langue de Shakespeare, même s’il n’en connaît pas toutes les subtilités.
Cette visite est surtout la première étape vers la Nouvelle-Calédonie, où il est attendu de pied ferme par les indépendantistes.
Soit certains journalistes parisiens vivent sur une autre planète, soit ils nous prennent vraiment pour des imbéciles.
Quant à Emmanuel Macron, c’était une faute diplomatique que d’aller devant le Congrès pour plaider contre les thèse du Président Trump et de s’y faire applaudir par son opposition…
À quoi bon s’entêter à financer une Assemblée nationale qui ne sert à rien d’autre qu’à entériner les lois concoctées par le gouvernement ?
Et aujourd’hui, Macron-Trump. Évidemment, les irrévérencieux diront, là, que ce n’est pas Tintin mais Milou en Amérique.
Notre technocrate en chef nourri au biberon de la gauche strauss-kahnienne veut donc séduire la droite.
Comme à chaque fois, notre puissant voisin continue de faire tel qu’il l’entend après avoir fait semblant de nous entendre.
Nous voulons une Europe des peuples et des nations contrairement à ce qu’il souhaite avec sa souveraineté européenne.
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