Emmanuel Macron
Emmanuel Macron responsable devant les Français : un référendum ?
François Hollande serait en route pour Londres, d’où il lancera un appel…
Non, Benalla n’est pas cet électron libre que la majorité présidentielle veut nous vendre à n’importe quel prix.
Je vous laisse imaginer la fureur des « pandores » (officiers et gradés réunis) devant un tel avancement.
L’affaire Benalla suscite de nombreuses interrogations : qui a diffusé les images du 1er mai ? Dans quel but ? Comment expliquer l’ascension fulgurante de
Si des têtes doivent tomber, c’est le moment. Mais ne nous contentons pas des lampistes.
Maintenant que Benalla a été jeté aux encombrants, on espère que le ministre de l’Intérieur n’en restera pas à des questions de « dysfonctionnement ».
Un véritable feu d’artifice de toutes les couleurs, un festival de casseroles, un vide-greniers de la racaillerie !
Emmanuel Macron est plus prompt à contraindre le chef d’état-major des armées à démissionner qu’à démettre un chargé de mission…
La Coupe du monde est même contre-productive…
Pourquoi Macron a gardé près de lui ce simple garde du corps alors qu’il a droit aux 77 gendarmes et policiers du GSPR qui, eux, sont autrement qualifiés ?
Depuis, le chevalier blanc devenu roi s’accroche aux branches en chutant de l’une à l’autre.
Et désormais, les Français veulent savoir : pourquoi ces privilèges ahurissants ? Pourquoi cette protection obstinée ? Pourquoi ces silences et ces mensonges ?
En fait de « République inaltérable » pour reprendre l’expression d’Emmanuel Macron, nous donnons au monde l’image d’une république inénarrable !
Peut-on parler d’un « Élyséegate » ? L’ancien magistrat Philippe Bilger donne, pour Boulevard Voltaire, son analyse sur l’affaire Benalla. Peut-on parler d’un Élysée gate s’agissant de
Choisissant d’abord, laissant batifoler ensuite, un zigoto qui est clairement à la sécurité ce que M. Hanouna est à France Culture, la présidence Macron a tout faux.
À la suite de la plainte déposée par le syndicat policier VIGI contre Alexandre Benalla, Alexandre Langlois fait le point sur les derniers rebondissements de
Enfin le bus passe avec Varane en tête, au fond, avec la coupe, Pogba crie des mots inaudibles pour le public et puis… et puis c’est tout.
Alors oui, d’étranges questions assaillent légitimement les Français devant l’omniprésence d’Alexandre Benalla auprès du Président Macron.
La question qui vient immédiatement alors à l’esprit : le Président, pénalement irresponsable durant l’exercice de son mandat, était-il au courant ?
Voyant qu’il est dans une impasse, M. Macron tente une autre approche.
Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?
Il laisse qui voudra sauter de joie comme un cabri, préférant savourer intérieurement sa victoire.
Macron va-t-il aller casser une ou deux vitrines pour manifester sa joie ? Se mettre la banlieue dans la poche ? Il peut le faire !
Le ministre de l’Intérieur a déjà compris que son protégé se ferait coincer sur des choses qu’il juge comme des détails : le 80 km/h,
Elle a, jeudi, inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.
Emmanuel Macron responsable devant les Français : un référendum ?
François Hollande serait en route pour Londres, d’où il lancera un appel…
Non, Benalla n’est pas cet électron libre que la majorité présidentielle veut nous vendre à n’importe quel prix.
Je vous laisse imaginer la fureur des « pandores » (officiers et gradés réunis) devant un tel avancement.
L’affaire Benalla suscite de nombreuses interrogations : qui a diffusé les images du 1er mai ? Dans quel but ? Comment expliquer l’ascension fulgurante de
Si des têtes doivent tomber, c’est le moment. Mais ne nous contentons pas des lampistes.
Maintenant que Benalla a été jeté aux encombrants, on espère que le ministre de l’Intérieur n’en restera pas à des questions de « dysfonctionnement ».
Un véritable feu d’artifice de toutes les couleurs, un festival de casseroles, un vide-greniers de la racaillerie !
Emmanuel Macron est plus prompt à contraindre le chef d’état-major des armées à démissionner qu’à démettre un chargé de mission…
La Coupe du monde est même contre-productive…
Pourquoi Macron a gardé près de lui ce simple garde du corps alors qu’il a droit aux 77 gendarmes et policiers du GSPR qui, eux, sont autrement qualifiés ?
Depuis, le chevalier blanc devenu roi s’accroche aux branches en chutant de l’une à l’autre.
Et désormais, les Français veulent savoir : pourquoi ces privilèges ahurissants ? Pourquoi cette protection obstinée ? Pourquoi ces silences et ces mensonges ?
En fait de « République inaltérable » pour reprendre l’expression d’Emmanuel Macron, nous donnons au monde l’image d’une république inénarrable !
Peut-on parler d’un « Élyséegate » ? L’ancien magistrat Philippe Bilger donne, pour Boulevard Voltaire, son analyse sur l’affaire Benalla. Peut-on parler d’un Élysée gate s’agissant de
Choisissant d’abord, laissant batifoler ensuite, un zigoto qui est clairement à la sécurité ce que M. Hanouna est à France Culture, la présidence Macron a tout faux.
À la suite de la plainte déposée par le syndicat policier VIGI contre Alexandre Benalla, Alexandre Langlois fait le point sur les derniers rebondissements de
Enfin le bus passe avec Varane en tête, au fond, avec la coupe, Pogba crie des mots inaudibles pour le public et puis… et puis c’est tout.
Alors oui, d’étranges questions assaillent légitimement les Français devant l’omniprésence d’Alexandre Benalla auprès du Président Macron.
La question qui vient immédiatement alors à l’esprit : le Président, pénalement irresponsable durant l’exercice de son mandat, était-il au courant ?
Voyant qu’il est dans une impasse, M. Macron tente une autre approche.
Nous aurons donc, si cette réforme est adoptée, un Président irresponsable devant le Parlement qui débattra avec les parlementaires, le Premier ministre, lui responsable, relégué au banc de touche. Va comprendre, Charles !
À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?
Il laisse qui voudra sauter de joie comme un cabri, préférant savourer intérieurement sa victoire.
Macron va-t-il aller casser une ou deux vitrines pour manifester sa joie ? Se mettre la banlieue dans la poche ? Il peut le faire !
Le ministre de l’Intérieur a déjà compris que son protégé se ferait coincer sur des choses qu’il juge comme des détails : le 80 km/h,
Elle a, jeudi, inscrit sa démarche et sa vision de l’Europe dans celles de Viktor Orbán.
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