Emmanuel Macron
Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Visiblement, dans le parti du Président, certains veulent eux aussi leur label « gauche-Aquarius ».
Emmanuel Macron est le chef. Et il aime le faire sentir. Même si, derrière lui, une certaine cheftaine tente de le remettre sur le chemin de la tempérance.
Emmanuel Macron n’a pu s’empêcher d’y glisser un message politique…
Son mépris glaçant n’avait rien de commun avec la distance imposée par un véritable chef d’État.
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Il a précédemment adopté sans tambour ni trompette la croix de Lorraine sur son blason présidentiel. Comme s’il était adoubé par le grand homme…
Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour
Encore une start-up qui part à la godille.
Deux explications plausibles : les communicants ignoraient l’existence des réseaux sociaux ; les communicants attendaient que les photos soient développées pour juger.
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
N’avons-nous pas, ici, une sorte de Grand Guignol comme on le joue à Lyon au pied de la colline de Fourvière ?
Cet être qu’on imaginait solide, calme, méthodique, ancré dans un dessein à long terme pour la France, se révèle tout de culbutes…
Eh, Emmanuel, regarde bien la photo avec tes nouveaux potes : t’as vu ce qu’il te dit, le peuple ?
La séquence laisse perplexe et met, en fait, mal à l’aise.
Que retenir de cette avalanche de chiffres ? Les cadeaux fiscaux ont été anormalement élevés pour les 1 % les plus riches, et notamment pour les 0,01 %.
Les Français ne sont pas hostiles aux réformes, mais ils seront de plus en plus hostiles au réformisme dogmatique.
Non, on lui demande tout simplement d’arrêter d’emprunter les chemins de la repentance et du dénigrement, pour faire des belles phrases ou le malin « à l’international ».
Il n’y avait pas grand-chose à attendre de cette rencontre. Pour une fois, les attentes n’auront pas été déçues.
Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
Enfin une nouvelle qui va remonter le moral de tous les Français.
On récupérera d’une main ce qu’on donne de l’autre.
Il ne s’agit pas de cultiver la nostalgie, ni d’exiger une revanche mémorielle ou d’imposer une nouvelle repentance. Mais il est temps de faire toute la lumière.
Le verdict des urnes est le seul qui vaille pour marquer sa désapprobation d’un système.
Costume de couleur identique, proximité très étroite avec la dame déguisée en chamallow, l’affaire était entendue, c’était lui le big boss de la France.
Quelles qu’en soient les raisons, en désertant le combat qui était le sien, Gérard Collomb a ainsi démontré le manque de courage d’un gouvernement, dont la sécurité n’a manifestement jamais été la priorité.
Visiblement, dans le parti du Président, certains veulent eux aussi leur label « gauche-Aquarius ».
Emmanuel Macron est le chef. Et il aime le faire sentir. Même si, derrière lui, une certaine cheftaine tente de le remettre sur le chemin de la tempérance.
Emmanuel Macron n’a pu s’empêcher d’y glisser un message politique…
Son mépris glaçant n’avait rien de commun avec la distance imposée par un véritable chef d’État.
« Rien de ce qui se passe depuis 48 heures ne s’apparente à une crise politique », a déclaré, mercredi, sans rire, Benjamin Griveaux
Il a précédemment adopté sans tambour ni trompette la croix de Lorraine sur son blason présidentiel. Comme s’il était adoubé par le grand homme…
Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour
Encore une start-up qui part à la godille.
Deux explications plausibles : les communicants ignoraient l’existence des réseaux sociaux ; les communicants attendaient que les photos soient développées pour juger.
Cette démission ratée est un nouvel affront à notre Président…
N’avons-nous pas, ici, une sorte de Grand Guignol comme on le joue à Lyon au pied de la colline de Fourvière ?
Cet être qu’on imaginait solide, calme, méthodique, ancré dans un dessein à long terme pour la France, se révèle tout de culbutes…
Eh, Emmanuel, regarde bien la photo avec tes nouveaux potes : t’as vu ce qu’il te dit, le peuple ?
La séquence laisse perplexe et met, en fait, mal à l’aise.
Que retenir de cette avalanche de chiffres ? Les cadeaux fiscaux ont été anormalement élevés pour les 1 % les plus riches, et notamment pour les 0,01 %.
Les Français ne sont pas hostiles aux réformes, mais ils seront de plus en plus hostiles au réformisme dogmatique.
Non, on lui demande tout simplement d’arrêter d’emprunter les chemins de la repentance et du dénigrement, pour faire des belles phrases ou le malin « à l’international ».
Il n’y avait pas grand-chose à attendre de cette rencontre. Pour une fois, les attentes n’auront pas été déçues.
Dommage que son addiction au jeune Emmanuel l’ait si longtemps aveuglé.
Enfin une nouvelle qui va remonter le moral de tous les Français.
On récupérera d’une main ce qu’on donne de l’autre.
Il ne s’agit pas de cultiver la nostalgie, ni d’exiger une revanche mémorielle ou d’imposer une nouvelle repentance. Mais il est temps de faire toute la lumière.
Le verdict des urnes est le seul qui vaille pour marquer sa désapprobation d’un système.
Costume de couleur identique, proximité très étroite avec la dame déguisée en chamallow, l’affaire était entendue, c’était lui le big boss de la France.
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