Banlieues
La banlieue serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
À défaut de vivre ensemble, est-il encore possible de vivre côte à côte, pour éviter de le faire face-à-face ?
Il ne reste plus à M. Macron qu’à passer aux actes.
En fait, on ne comprend toujours pas pourquoi M. Macron a fait appel à M. Borloo, ce rescapé de l’ancien monde, pour traiter le problème des banlieues en nous racontant des fariboles auxquelles plus personne ne croit.
Il n’existe, dans ce rapport, aucune recommandation pour régler l’un des problèmes majeurs que la France rencontre dans ces « quartiers prioritaires de la Ville » et, plus largement, dans les banlieues d’un grand nombre de villes.
Pendant ce temps, la France des campagnes et des petites villes meurt.
La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.
Sans sanction efficace, nous aurons de moins en moins de médecins dans les banlieues à risques !
La banlieue serait donc devenue si sensible qu’elle devrait être considérée comme domaine des seuls « racisés », interdite aux Gaulois ?
L’immigration et l’insécurité sont les questions prioritaires pour de nombreux Français mais les cabinets dont notre Président est issu refusent de les voir.
À défaut de vivre ensemble, est-il encore possible de vivre côte à côte, pour éviter de le faire face-à-face ?
Il ne reste plus à M. Macron qu’à passer aux actes.
En fait, on ne comprend toujours pas pourquoi M. Macron a fait appel à M. Borloo, ce rescapé de l’ancien monde, pour traiter le problème des banlieues en nous racontant des fariboles auxquelles plus personne ne croit.
Il n’existe, dans ce rapport, aucune recommandation pour régler l’un des problèmes majeurs que la France rencontre dans ces « quartiers prioritaires de la Ville » et, plus largement, dans les banlieues d’un grand nombre de villes.
Pendant ce temps, la France des campagnes et des petites villes meurt.
La loi n’est plus appliquée dans ces cités, car la police, insuffisamment nombreuse, est inefficace. La seule solution est d’y faire intervenir l’Armée.
Sans sanction efficace, nous aurons de moins en moins de médecins dans les banlieues à risques !