#SELECTION DE BV (3-4)
« La famille mérite une vision globale. On ne peut pas se contenter de s’occuper uniquement des violences intrafamiliales ou des inégalités des familles monoparentales, en s’adressant toujours plus aux individus ».
Le conciliateur officiel du « vivre ensemble », Cyril Hanouna, invite alors la victime de cette hostilité générale à venir s’exprimer dans son émission.
La sacralisation de la violence qui culmine dans la figure du djihadiste constitue une des sources de cette sous-culture. Elle n’est pas la seule.
La saison du ball-trap est ouverte place de l’Hôtel de Ville… et les problèmes, eux sont bien réels.
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
Le monde des influenceurs étant, semble-t-il, petit, il se trouve que notre ami Ibrahim était en Syrie (ou ailleurs, puisqu’à ma connaissance, rien n’est confirmé sur la localisation exacte) en compagnie d’une autre vedette des réseaux sociaux : Rayanne B.
Mélenchon révolutionnaire ? Soyons sérieux. Juste le valet de cette oligarchie qu’il prétend combattre.
Utopia56 voudrait mettre en place le principe de présomption de minorité qui garantirait dès lors à n’importe quel arrivant sur le territoire de pouvoir se targuer d’avoir moins de 18 ans sans avoir à le prouver…
Ces unions-là ne sont pas les filles d’un concept-hochet qu’on agite à n’en plus finir sur les plateaux de chaîne d’info. Ce sont des réalités, faites de patience, d’un travail de longue haleine, nées à la base, de la base, entre gens vivant ici et qui ne repartent pas au lendemain d’une élection.
Elles ont été souveraines et politiciennes, exploratrices et savantes, mathématiciennes et chimistes, peintres et poètes, aviatrices et même pirates !
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
A l’instar de bien d’autres habitants de petites communes françaises éloignées des grands centres urbains, ces ruraux-là se savent encore privilégiés mais ils sont lassés d’être les vaches à lait des idéologues à poil vert.
La PME industrielle familiale est l’idéal économique que nous devons viser.
De simples civils abattus par des djihadistes ou une chrétienne lapidée dans un pays où la charia fait loi ne méritent pas la moindre petite marche de contestation.
La France n’est que le marchepied des ambitions européennes de Macron. Les cinq ans à venir seront ceux d’un combat incessant contre sa volonté de défaire la France, tant sur le plan de la civilisation que sur celui de la souveraineté.
L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.
Sorte de plaidoyer pour l’illégalité et les rodéos sauvages, le film de Lola Quiveron incarne parfaitement la vision fantasmagorique qu’ont certains réalisateurs français de la banlieue et de la « street culture ».
Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».
On ne peut pas enlever aux Américains une admiration réelle et unanimement partagée pour l’engagement de leurs forces armées. Top Gun en est la nouvelle démonstration. Nous, vieux pays blasé qui tourne en dérision les grandes choses, avons perdu cette capacité d’émerveillement.
Le vigile est mort, roué de coups et étranglé. C’était un Français de 42 ans. De son assassin, on ne connaît que les initiales, Ilies S., et le passé tumultueux.
Du foulard scout au foulard islamique, cohabitent deux jeunesses d’un même pays qui renie son identité, submergé par le relativisme et le multiculturalisme.
La France, membre fondateur du projet européen, avait toutes les cartes et toute l’autorité nécessaires pour s’imposer en médiateur naturel de la paix.
Ainsi « le peuple souverain » n’est-il plus souverain de rien, sauf d’une illusion de souveraineté, tandis que la réalité du pouvoir se situe au sein des réseaux d’une sorte de caste mondialisée, mercantile et technicienne, qui rêve de gouvernement mondial.
Le nouveau gouvernement a été nommé vendredi 20 mai après-midi. Un gouvernement, qui pourra être remanié à l’issue des élections législatives, les 12 et 19
Les États-Unis viennent de réussir à parfaire leur vieux rêve de domination sur l’Europe, un exploit mené avec détermination et surtout avec le soulagement lâche des vieilles nations européennes.
De qui s’agit-il ? D’un militant antifa, informaticien de métier, répondant au nom de Patrick B. et se définissant comme « militant antiraciste ». Petit détail : Patrick B. est camerounais ; comme quoi le racisme a le don de partout se nicher.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.
Des paroles qui ne sont pas précisément celles d’un enfant de chœur. Pourtant, celui qui porte le nom d’une des villes saintes de l’islam n’a pas toujours eu mauvaise presse.
« La famille mérite une vision globale. On ne peut pas se contenter de s’occuper uniquement des violences intrafamiliales ou des inégalités des familles monoparentales, en s’adressant toujours plus aux individus ».
Le conciliateur officiel du « vivre ensemble », Cyril Hanouna, invite alors la victime de cette hostilité générale à venir s’exprimer dans son émission.
La sacralisation de la violence qui culmine dans la figure du djihadiste constitue une des sources de cette sous-culture. Elle n’est pas la seule.
La saison du ball-trap est ouverte place de l’Hôtel de Ville… et les problèmes, eux sont bien réels.
François Ruffin, sur sa page Facebook, vient de relayer les propos poignants, par ses soins recueillis, de madame Latour, habitant une de ces cités créolisées de la Somme, où la diversité est reine.
Le monde des influenceurs étant, semble-t-il, petit, il se trouve que notre ami Ibrahim était en Syrie (ou ailleurs, puisqu’à ma connaissance, rien n’est confirmé sur la localisation exacte) en compagnie d’une autre vedette des réseaux sociaux : Rayanne B.
Mélenchon révolutionnaire ? Soyons sérieux. Juste le valet de cette oligarchie qu’il prétend combattre.
Utopia56 voudrait mettre en place le principe de présomption de minorité qui garantirait dès lors à n’importe quel arrivant sur le territoire de pouvoir se targuer d’avoir moins de 18 ans sans avoir à le prouver…
Ces unions-là ne sont pas les filles d’un concept-hochet qu’on agite à n’en plus finir sur les plateaux de chaîne d’info. Ce sont des réalités, faites de patience, d’un travail de longue haleine, nées à la base, de la base, entre gens vivant ici et qui ne repartent pas au lendemain d’une élection.
Elles ont été souveraines et politiciennes, exploratrices et savantes, mathématiciennes et chimistes, peintres et poètes, aviatrices et même pirates !
En déplacement aux Mureaux, le 19 mai dernier, une ville frappée par la délinquance, Élisabeth Borne préférait parler égalité femme-homme et changement climatique.
A l’instar de bien d’autres habitants de petites communes françaises éloignées des grands centres urbains, ces ruraux-là se savent encore privilégiés mais ils sont lassés d’être les vaches à lait des idéologues à poil vert.
La PME industrielle familiale est l’idéal économique que nous devons viser.
De simples civils abattus par des djihadistes ou une chrétienne lapidée dans un pays où la charia fait loi ne méritent pas la moindre petite marche de contestation.
La France n’est que le marchepied des ambitions européennes de Macron. Les cinq ans à venir seront ceux d’un combat incessant contre sa volonté de défaire la France, tant sur le plan de la civilisation que sur celui de la souveraineté.
L’État n’est pas capable de proposer à ces jeunes gens, porteurs de papiers français, une solution viable pour trouver du travail autrement que par un cursus honorum rénové des Romains : guetteur, vendeur, caïd, parrain.
Sorte de plaidoyer pour l’illégalité et les rodéos sauvages, le film de Lola Quiveron incarne parfaitement la vision fantasmagorique qu’ont certains réalisateurs français de la banlieue et de la « street culture ».
Avant d’évoquer, la bouche en cœur, les droits de l’enfant à faire ses propres choix, peut-être Blanquer aurait-il pu demander leur avis aux légions de psychologues, pédopsychiatres, sociologues et philosophes qui se sont levés pour dénoncer « ce rapt de l’enfance ».
On ne peut pas enlever aux Américains une admiration réelle et unanimement partagée pour l’engagement de leurs forces armées. Top Gun en est la nouvelle démonstration. Nous, vieux pays blasé qui tourne en dérision les grandes choses, avons perdu cette capacité d’émerveillement.
Le vigile est mort, roué de coups et étranglé. C’était un Français de 42 ans. De son assassin, on ne connaît que les initiales, Ilies S., et le passé tumultueux.
Du foulard scout au foulard islamique, cohabitent deux jeunesses d’un même pays qui renie son identité, submergé par le relativisme et le multiculturalisme.
La France, membre fondateur du projet européen, avait toutes les cartes et toute l’autorité nécessaires pour s’imposer en médiateur naturel de la paix.
Ainsi « le peuple souverain » n’est-il plus souverain de rien, sauf d’une illusion de souveraineté, tandis que la réalité du pouvoir se situe au sein des réseaux d’une sorte de caste mondialisée, mercantile et technicienne, qui rêve de gouvernement mondial.
Le nouveau gouvernement a été nommé vendredi 20 mai après-midi. Un gouvernement, qui pourra être remanié à l’issue des élections législatives, les 12 et 19
Les États-Unis viennent de réussir à parfaire leur vieux rêve de domination sur l’Europe, un exploit mené avec détermination et surtout avec le soulagement lâche des vieilles nations européennes.
De qui s’agit-il ? D’un militant antifa, informaticien de métier, répondant au nom de Patrick B. et se définissant comme « militant antiraciste ». Petit détail : Patrick B. est camerounais ; comme quoi le racisme a le don de partout se nicher.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.
Des paroles qui ne sont pas précisément celles d’un enfant de chœur. Pourtant, celui qui porte le nom d’une des villes saintes de l’islam n’a pas toujours eu mauvaise presse.
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