Presse
Désormais le mot « black » commencera par une majuscule, tandis que « white » restera en minuscule dans les colonnes du New York Times.
Sans prévenir, la filiale de JC Decaux a refusé de diffuser les affiches de L’Incorrect.
Les méthodes du rejeton donneur de leçons, tant journalistiques que déontologiques, se trouvent désormais dans le collimateur d’autres limiers encore plus féroces.
Une journaliste de la télévision publique allemande a porté plainte devant la justice française contre Valéry Giscard d’Estaing.
Le spectacle du président de séance coupant la parole d’un député, en l’occurrence la présidente du RN, alors qu’elle défend la liberté d’expression donne le vrai visage du système : technique, administratif, ignorant le respect dû aux institutions et aux élus.
Quelle satisfaction de constater qu’il existe encore un vrai journalisme d’investigation, ainsi que de belles subventions d’État pour le maintenir en vie.
Qui peut encore croire – sinon les mêmes militants mondialistes – à ce rôle d’éternelle victime qui, d’un côté, sert des causes politiques précises et, de l’autre, prête à sourire ?
Les partis au pouvoir, en Hongrie et en Pologne ne trouvent jamais grâce aux yeux des journalistes du Monde.
Les quotidiens et les hebdomadaires sont allégés. Je continue à les acheter mais ils se lisent très vite.
Quand tout cela sera fini, mes amis, la pastille rouge sera pour eux, bien visible sur le nez : celle de Bozo le clown. Et tout leur cirque sera fini.
Était-elle de gauche ? Si tel fut le cas, cette gauche était singulièrement adroite.
Qu’est-ce qu’un propos haineux ? Si vous l’avez compris, vous m’expliquerez.
Toujours plus loin, toujours plus fort dans la censure… L’amendement dit « Sleeping Giants » – du nom des antifas anonymes qui harcèlent, depuis des
Qu’il nous soit donc permis de ne pas pleurer plus que ça sur le lait imprudemment versé par l’arroseur arrosé.
À Limoges, entre 26 et 36 voitures ont été incendiées…
On ne peut reprocher à un journal son engagement politique, mais au moins ne devrait-il pas chercher à le dissimuler.
Le gros morceau, la Chine, qui, avec 389 journalistes emprisonnés, a encabané, à elle seule, un tiers des gratte-papier incriminés !
La réalité s’est réinvitée. À laquelle certains peinent à se résoudre.
Après la manifestation du 5 décembre et les informations qui remontent, ici et là, notamment sur les réseaux sociaux, on se pose cette question :
Avec ces gens-là, on est tous le facho de quelqu’un…
Charlie, étendard rassembleur ou brûlot imposteur ?
Pour rigoler à pas cher, il reste encore les piliers de l’ancien monde : la famille, l’école, l’Église, l’armée…
En fait, de révélation, rien. Toujours les trois ou quatre mêmes anecdotes éventées qui, la plupart du temps, sont ambivalentes sous l’angle du bien ou du mal.
Froissés par un dossier qui leur était consacré, Yann Barthès et Quotidien ont diffusé publiquement sur les réseaux sociaux le nouveau numéro de Valeurs actuelles.
Il faut tout d’abord garder la tête froide ; si les censures s’accentuent, c’est que le système se fissure.
Il ne fait pas bon, en Turquie, de critiquer Erdoğan : des ONG accusent, d’ailleurs, régulièrement ce pays d’atteintes à la liberté de la presse. Mais
Désormais le mot « black » commencera par une majuscule, tandis que « white » restera en minuscule dans les colonnes du New York Times.
Sans prévenir, la filiale de JC Decaux a refusé de diffuser les affiches de L’Incorrect.
Les méthodes du rejeton donneur de leçons, tant journalistiques que déontologiques, se trouvent désormais dans le collimateur d’autres limiers encore plus féroces.
Une journaliste de la télévision publique allemande a porté plainte devant la justice française contre Valéry Giscard d’Estaing.
Le spectacle du président de séance coupant la parole d’un député, en l’occurrence la présidente du RN, alors qu’elle défend la liberté d’expression donne le vrai visage du système : technique, administratif, ignorant le respect dû aux institutions et aux élus.
Quelle satisfaction de constater qu’il existe encore un vrai journalisme d’investigation, ainsi que de belles subventions d’État pour le maintenir en vie.
Qui peut encore croire – sinon les mêmes militants mondialistes – à ce rôle d’éternelle victime qui, d’un côté, sert des causes politiques précises et, de l’autre, prête à sourire ?
Les partis au pouvoir, en Hongrie et en Pologne ne trouvent jamais grâce aux yeux des journalistes du Monde.
Les quotidiens et les hebdomadaires sont allégés. Je continue à les acheter mais ils se lisent très vite.
Quand tout cela sera fini, mes amis, la pastille rouge sera pour eux, bien visible sur le nez : celle de Bozo le clown. Et tout leur cirque sera fini.
Était-elle de gauche ? Si tel fut le cas, cette gauche était singulièrement adroite.
Qu’est-ce qu’un propos haineux ? Si vous l’avez compris, vous m’expliquerez.
Toujours plus loin, toujours plus fort dans la censure… L’amendement dit « Sleeping Giants » – du nom des antifas anonymes qui harcèlent, depuis des
Qu’il nous soit donc permis de ne pas pleurer plus que ça sur le lait imprudemment versé par l’arroseur arrosé.
À Limoges, entre 26 et 36 voitures ont été incendiées…
On ne peut reprocher à un journal son engagement politique, mais au moins ne devrait-il pas chercher à le dissimuler.
Le gros morceau, la Chine, qui, avec 389 journalistes emprisonnés, a encabané, à elle seule, un tiers des gratte-papier incriminés !
La réalité s’est réinvitée. À laquelle certains peinent à se résoudre.
Après la manifestation du 5 décembre et les informations qui remontent, ici et là, notamment sur les réseaux sociaux, on se pose cette question :
Avec ces gens-là, on est tous le facho de quelqu’un…
Charlie, étendard rassembleur ou brûlot imposteur ?
Pour rigoler à pas cher, il reste encore les piliers de l’ancien monde : la famille, l’école, l’Église, l’armée…
En fait, de révélation, rien. Toujours les trois ou quatre mêmes anecdotes éventées qui, la plupart du temps, sont ambivalentes sous l’angle du bien ou du mal.
Froissés par un dossier qui leur était consacré, Yann Barthès et Quotidien ont diffusé publiquement sur les réseaux sociaux le nouveau numéro de Valeurs actuelles.
Il faut tout d’abord garder la tête froide ; si les censures s’accentuent, c’est que le système se fissure.
Il ne fait pas bon, en Turquie, de critiquer Erdoğan : des ONG accusent, d’ailleurs, régulièrement ce pays d’atteintes à la liberté de la presse. Mais