Pour le moment, l'humoriste n'a pas présenté d'excuses.
Lire la suite »Cela ressemblait à une « fake news »...
Lire la suite »L’État, qui a mutualisé ou dématérialisé ses services publics dans les zones rurales, investit dans l'inclusion digitale.
Lire la suite »L’état civil, les informations de contact, l’identifiant de Sécurité sociale et le résultat du test de 700.000 clients des pharmaciens auraient été accessibles.
Lire la suite »La palme revient au guide suprême iranien, l’ayatollah Khamenei, qui utilise également la plate-forme Twitter pour galvaniser ses abonnés à continuer et à intensifier le combat contre Israël.
Lire la suite »Une plainte a été déposée.
Lire la suite »Qu’est-ce que la cybercriminalité, qui touche les particuliers mais également les entreprises et les administrations ? Qui est derrière ce phénomène de piratage informatique et comment peut-on essayer de le contrer ? Explications de Xavier Raufer au micro de Boulevard Voltaire. Des villes, des collectivités et des hôpitaux sont parasités par des attaques informatiques. Ce phénomène s’est multiplié pendant l’épidémie de Covid-19. On pense, notamment, à la ville de Marseille qui a été handicapée pendant plus d’une semaine. D’où viennent ces attaques informatiques ? D’abord, je tiens à faire une petite rectification. La ville de Marseille n’a pas été handicapée pendant une semaine mais pendant plusieurs mois. Le piratage informatique, la saisie de tous les serveurs informatiques de la ville de Marseille par des pirates s’est accomplie le premier jour du premier confinement, le 16 mars dernier. Dans les semaines qui ont suivi, la ville de Marseille ne savait plus de quelles places elle disposait dans les cimetières. Il n’y avait plus moyen de savoir s’il fallait payer les gens ou non. La ville ne pouvait plus payer ses factures. Il a fallu tout reprendre à la main. Avec une habileté assez moyenne, la ville de Marseille avait mis les sauvegardes…
Lire la suite »Tout cela rapporte, bien sûr. De la notoriété et du fric.
Lire la suite »Suite à la manifestation de soutien à Génération identitaire, samedi 20 février, plusieurs personnalités, comme Jordan Bardella ou Marion Maréchal, ont été menacées de « dépublication » par Facebook. Cela a fait réagir le Dr Laurent Alexandre, co-auteur de Google Démocratie, qui a tweeté : « La censure de Jordan Bardella qui est le numéro 2 du Rassemblement national montre l’immense pouvoir des GAFA. » L'occasion, pour lui, d'expliquer que les géants de l'intelligence artificielle sont en train de prendre la place des États. Et nous ne serions qu'au début... Suite à la manifestation de soutien à Génération identitaire, la plupart des politiques ou des associations qui ont défendu les militants identitaires se sont vus menacés de dépublication par les réseaux sociaux, notamment Facebook : Jordan Bardella, Marion Maréchal et, plus accessoirement, la conseillère régionale Isabelle Surply. C’est une forme de censure généralisée sur tout ce qui touche le mouvement identitaire. Que cela révèle-t-il de la toute-puissance des GAFAM ? Les GAFAM ont réalisé un coup d’État numérique en tuant électroniquement le président des États-Unis, Donald Trump, l’homme le plus puissant du monde. Aucun groupe intellectuel sur Terre n’est à l’abri d’une décision des géants du numérique et de l’intelligence artificielle. Les…
Lire la suite »Si, d’aventure, vous avez vos dix millions de vues et que vous allez tourner votre prochain clip à l’Élysée, ayez en tête l’avertissement de Jean-Marie Bigard : « Emmanuel Macron, c’est comme Kaa, dans le Livre de la jungle »...
Lire la suite »Le sénateur Sébastien Meurant a été censuré par Twitter suite à un message dénonçant l'islamisme conquérant. Il dénonce cette atteinte à la liberté d'expression exercée par les GAFAM se substituant à la loi française. Vous avez décidé de porter plainte au pénal contre Twitter après avoir dû retirer un message sur l’islamisme conquérant. Pouvez-vous nous expliquer ? Juste avant Noël, je me rendais auprès d’un maire de mon département dans le Val-d’Oise. Sur le chemin, ma route a croisé une femme complètement voilée et gantée en burqa. C’était au lendemain des insultes antisémites contre une des Miss France. On avait pu entendre les ministres de ce gouvernement condamner, bien entendu, ces insultes racistes. J’ai donc montré qu’en France, dans une petite ville tranquille du Val-d’Oise, l’islamisme conquérant se promène dans nos rues en toute impunité. Au lieu de parler, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin devrait agir, car se promener de cette manière, c’est enfreindre la loi. Cet accoutrement symbolise évidemment une volonté de non-intégration et une volonté de revendication politique. J’aimerais entendre les féministes et tous ceux qui défendent l’égalité de la femme et de l’homme. Quelle n’a pas été ma surprise de me voir coupé par Twitter. Concrètement,…
Lire la suite »Olivier Babeau, professeur d'économie et confondateur de l'Institut Sapiens, analyse l'évolution et la puissance des GAFAM, notamment après l'éviction de Donald Trump de Twitter, et des différentes formes de censure. L’Institut Sapiens est un think tank, une organisation à but non lucratif dont le but est de réfléchir à la façon dont la technologie est en train de changer le monde. Elle essaie de faire des études et de faire travailler ensemble des experts et de diffuser ses idées. L’Homo sapiens est en phase de se transformer en Homo numericus. Cet Homo numericus voit ses interactions sociales se déplacer de plus en plus sur les réseaux sociaux avec la puissance de plus en plus croissante des GAFAM. On a vu une espèce de mainmise des réseaux sociaux, avec une espèce de politiquement correct, se mettre en place. À terme, cela est-il problématique ? Les GAFAM ont constitué un progrès extraordinaire en termes de communication. Ils relient les gens objectivement. Ils ont créé d’immenses agoras où les gens peuvent aller échanger. Ces agoras ne sont pas neutres. La façon dont les gens sont mis en relation, le type de discours qui peut être tenu n’est pas complètement neutre. Il y a…
Lire la suite »Horreur, scandale et putréfaction !
Lire la suite »Par chance, ces tristes personnages ne sont pas encore à la tête d'un opérateur de téléphonie ou d'une compagnie d'électricité.
Lire la suite »Ces médias engagés très plébiscités par les jeunes sur les réseaux sociaux enregistrent des records d'audience.
Lire la suite »En France, on a, bien sûr, tout faux. Le régalien veut se débarrasser de son devoir de contrôle et de sanction en le confiant aux médias sociaux qui seraient leurs propres juges.
Lire la suite »L'oiseau bleu s’est transformé en oiseau noir, accompagné du hashtag Black Lives Matter.
Lire la suite »Qu’est-ce qu’un propos haineux ? Si vous l’avez compris, vous m’expliquerez.
Lire la suite »Andréa Kotarac est-il Mila ? C'est une violente polémique qui agite les réseaux sociaux depuis qu'une jeune fille de 16 ans, Mila, a posté une vidéo dans laquelle elle s'en prend violemment à l'islam et aux autres religions. Elle est, depuis, la cible de menaces de mort et d'insultes. Réaction de l'ancien élu « insoumis » passé, depuis, au Rassemblement national et candidat RN à la métropole de Lyon en mars prochain. Il évoque, au passage, l'incident de cet enfant d'origine serbe frappé dans son collège parce qu'il portait une croix au cou. Je suis Mila ou ne suis pas Mila. C’est le débat qui a lieu en ce moment sur Twitter. Mila est une lycéenne de 16 ans. Elle a posté une vidéo dans laquelle elle s’en prenait assez violemment à l’islam et aux autres religions. Elle déclarait qu’elle était contre les religions. Suite à cela, elle s’est prise des dizaines de milliers d’insultes et de menaces de mort. Les internautes ont évidemment enquêté et ont découvert son nom, son adresse et son collège. Êtes-vous Mila ou n’êtes-vous pas Mila ? Je suis Mila si vous voulez. Je suis surtout la République, la Déclaration des droits de l’homme et…
Lire la suite »Les écrans sont des nounous commodes et finalement peu chères, mais aux conséquences délétères sur le cerveau des gamins.
Lire la suite »Même la Justice prévoit l'effacement du casier judiciaire. Internet, lui, garde tout en réserve.
Lire la suite »Et si l’Enfer, c’était les réseaux sociaux, tous ces faux amis qui sont de vrais voyeurs, harceleurs numériques qui vous poussent à mourir pour exister enfin ?
Lire la suite »Ces cyber-corbeaux ne doivent plus sévir en toute impunité.
Lire la suite »Le site de l'Observatoire du journalisme (OJIM) a subi, la semaine dernière, une attaque informatique le rendant indisponible pendant presque 24 heures. Auparavant, sans que puisse être établi un lien, l'OJIM a été l'objet d'une censure de la part d'un réseau social. Réaction de Claude Chollet, président de l'OJIM, qui en profite pour revenir sur la loi Avia et ses conséquences pour la liberté d'expression. Votre site a été mis hors service pendant près de 24 heures. Que s’est-il passé ? Il faut revenir en arrière pour replacer tout cela dans le contexte de la loi Avia. Avia est une députée d’origine congolaise. Ce projet de loi n’est pas encore mis en application, mais est en train d’être voté. Il prévoit de sanctionner les réseaux sociaux, en particulier Facebook, s’ils ne censurent pas ce que la loi appelle « les discours de haine et extrémistes ». Dans le cadre de cette loi, les internautes sont encouragés à dénoncer ce type de discours auprès des dirigeants des réseaux sociaux pour qu’ils les suppriment. Le problème est que chacun peut entendre ce qu’il veut dans cette définition. L’objet de la loi est en fait de marginaliser un certain nombre d’opinions. Le 6 juillet, nous avons publié…
Lire la suite »En définitive, la prochaine guerre froide sera numérique ou ne sera pas.
Lire la suite »Car il a bon dos, le sauvetage de la planète !
Lire la suite »À l'Assemblée nationale, cet après-midi, vient d'être votée, à seulement 33 votes « contre », la loi Avia qui oblige les plateformes Internet à censurer les propos dits « haineux » dans un délai de 24 heures, sous peine d'une amende importante. Un pouvoir exorbitant, selon Emmanuelle Ménard, qui réagit au micro de Boulevard Voltaire. En présentant la proposition de loi contre la haine sur internet, Laëtitia Avia a dit ‘’c’est la fin de l’impunité’’. En quoi consiste cette loi ? La mesure principale de cette loi est de donner tout pouvoir aux plateformes internet pour contrôler les contenus qui sont diffusés sur leurs plateformes. Un propos jugé haineux par une de ces plateformes pourra être supprimé par la plateforme en 24h. Cela ne pose pas de problème quand c’est véritablement un propos haineux. Il est cependant compliqué d’interpréter un propos. Les juges qui ont l’habitude de le faire ne sont d'ailleurs pas toujours à l‘aise. Or une plateforme n’a pas à être juge. Il doit en plus le faire dans un délai extrêmement court de 24 h sous peine de sanctions financières très lourdes. Si elle ne le fait pas, elle prend le risque de se prendre une sanction financière.…
Lire la suite »La seule contrainte qui doit être imposée aux réseaux sociaux, c’est la levée de l’anonymat !
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