Livres
À rebours de la doxa dominante qui affirme que nous sommes ce que nous voulons être (ou le mythe narcissique de l’autoconstruction de soi) et des affirmations péremptoires de Simone de Beauvoir…
Quel titre ! Il est d’une violence sans aucun doute excessive. Mais le fond est tellement juste.
Julien Green confiait ne pas se reconnaître dans l’étiquette « romancier catholique ». Pas sûr qu’il se retrouverait dans celle d’écrivain LGBT que lui colle aujourd’hui l’auteur de Sodoma…
C’est sans doute une des plus belles surprises de la rentrée…
Notre benjamin de l’Académie française nous offre là un remarquable roman d’aventures qui est aussi un hymne à la nature.
Drieu demeure toujours, malgré tout, un « infréquentable ».
Pennacchi raconte ainsi l’histoire de sa propre famille. Il le fait dans un style aux accents céliniens,
La Terreur n’est pas apparue en 1793 à la faveur des graves difficultés intérieures et extérieures auxquelles était confronté le gouvernement révolutionnaire, mais dès le 14 juillet 1789…
Les philosophes défrichent les voies obscures de la vérité du monde. La tâche est ingrate, parfois herculéenne…
Ce livre est bref et poignant ; il n’a pas d’autre prétention que celle de parler des millions d’invisibles de cette « France de l’envers »…
En phase avec cette approche instruite de ce condensé de civilisation, l’appel à la « défense du vin contre les pisse-vinaigre » est une cause nationale.
En un mot, il propose d’accorder un statut coranique à des enclaves musulmanes sur le territoire français, sans partition ni apartheid.
Cet essai est un parfait mode d’emploi pour bien comprendre les enjeux de civilisation qui se cachent derrière ce qu’il est convenu d’appeler des progrès sociétaux.
Boucaud-Victoire reste animé par un souci quasi obsessionnel de laver Michéa de tout soupçon de « droitisme » réactionnaire. Vaine entreprise…
C’est que Jean Raspail, c’est bien connu, n’a jamais eu peur de mettre sa lampe frontale et ses mains dans le charbon pour descendre au fond de la mine.
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…
Ils étaient 1.038, les compagnons de la Libération, au lendemain de la guerre. Ils ne sont plus que quatre, aujourd’hui.
Parler aussi gravement des choses légères, et si légèrement des choses graves, plus qu’un métier, est un art à part entière.
Tout commença en 1979, lorsque la gauche journalistique tomba en pâmoison devant ce qu’elle a appelé « l’énergie libératrice », le « premier Grand Soir
Un livre à conseiller sans réserve, pour comprendre ce qui est en jeu, et pourquoi, dans ce désert qui, depuis longtemps déjà, absorbe le sang français dans la solitude des sables.
Ce livre dérangera tous ceux qui ronronnent doucement dans leur confort intellectuel. Il force à réfléchir sur notre société déchristianisée…
Le politiquement correct apparaît alors comme le plus précieux auxiliaire du progressisme, son indispensable factotum sémantique…
La pensée de Charles Maurras, à propos de laquelle tant de sottises ont été proférées et ne cessent, encore, hélas, d’être déversées par tous les clercs qui ne l’ont évidemment jamais lu, a trouvé son livre.
Nous étions nombreux à nous demander comment ce quasi-inconnu qu’était Emmanuel Macron avait réussi à s’imposer aussi rapidement dans le paysage politique français…
« Non liber, sed fex ». Voici, en quelques mots aussi lapidaires qu’expéditifs (car renfermant une sentence qui a valeur d’impitoyable et irrécusable vérité), ce
Il est l’œil de Caïn des édiles de sous-préfecture, qui répètent à l’envi en contemplant les dégâts qu’on-n’y-peut-rien-c’est-comme-ça.
Un Châteaubriant aussi inattendu que bienvenu.
À rebours de la doxa dominante qui affirme que nous sommes ce que nous voulons être (ou le mythe narcissique de l’autoconstruction de soi) et des affirmations péremptoires de Simone de Beauvoir…
Quel titre ! Il est d’une violence sans aucun doute excessive. Mais le fond est tellement juste.
Julien Green confiait ne pas se reconnaître dans l’étiquette « romancier catholique ». Pas sûr qu’il se retrouverait dans celle d’écrivain LGBT que lui colle aujourd’hui l’auteur de Sodoma…
C’est sans doute une des plus belles surprises de la rentrée…
Notre benjamin de l’Académie française nous offre là un remarquable roman d’aventures qui est aussi un hymne à la nature.
Drieu demeure toujours, malgré tout, un « infréquentable ».
Pennacchi raconte ainsi l’histoire de sa propre famille. Il le fait dans un style aux accents céliniens,
La Terreur n’est pas apparue en 1793 à la faveur des graves difficultés intérieures et extérieures auxquelles était confronté le gouvernement révolutionnaire, mais dès le 14 juillet 1789…
Les philosophes défrichent les voies obscures de la vérité du monde. La tâche est ingrate, parfois herculéenne…
Ce livre est bref et poignant ; il n’a pas d’autre prétention que celle de parler des millions d’invisibles de cette « France de l’envers »…
En phase avec cette approche instruite de ce condensé de civilisation, l’appel à la « défense du vin contre les pisse-vinaigre » est une cause nationale.
En un mot, il propose d’accorder un statut coranique à des enclaves musulmanes sur le territoire français, sans partition ni apartheid.
Cet essai est un parfait mode d’emploi pour bien comprendre les enjeux de civilisation qui se cachent derrière ce qu’il est convenu d’appeler des progrès sociétaux.
Boucaud-Victoire reste animé par un souci quasi obsessionnel de laver Michéa de tout soupçon de « droitisme » réactionnaire. Vaine entreprise…
C’est que Jean Raspail, c’est bien connu, n’a jamais eu peur de mettre sa lampe frontale et ses mains dans le charbon pour descendre au fond de la mine.
François Jonquères n’hésite pas à être politiquement très incorrect : « Il est grand temps d’ouvrir nos yeux et de faire revivre une œuvre bien digne d’être chérie. »
C’est notre Cyrandré de Bercoffac, un roc qui garde le cap et ne ménage pas ses piques…
Ils étaient 1.038, les compagnons de la Libération, au lendemain de la guerre. Ils ne sont plus que quatre, aujourd’hui.
Parler aussi gravement des choses légères, et si légèrement des choses graves, plus qu’un métier, est un art à part entière.
Tout commença en 1979, lorsque la gauche journalistique tomba en pâmoison devant ce qu’elle a appelé « l’énergie libératrice », le « premier Grand Soir
Un livre à conseiller sans réserve, pour comprendre ce qui est en jeu, et pourquoi, dans ce désert qui, depuis longtemps déjà, absorbe le sang français dans la solitude des sables.
Ce livre dérangera tous ceux qui ronronnent doucement dans leur confort intellectuel. Il force à réfléchir sur notre société déchristianisée…
Le politiquement correct apparaît alors comme le plus précieux auxiliaire du progressisme, son indispensable factotum sémantique…
La pensée de Charles Maurras, à propos de laquelle tant de sottises ont été proférées et ne cessent, encore, hélas, d’être déversées par tous les clercs qui ne l’ont évidemment jamais lu, a trouvé son livre.
Nous étions nombreux à nous demander comment ce quasi-inconnu qu’était Emmanuel Macron avait réussi à s’imposer aussi rapidement dans le paysage politique français…
« Non liber, sed fex ». Voici, en quelques mots aussi lapidaires qu’expéditifs (car renfermant une sentence qui a valeur d’impitoyable et irrécusable vérité), ce
Il est l’œil de Caïn des édiles de sous-préfecture, qui répètent à l’envi en contemplant les dégâts qu’on-n’y-peut-rien-c’est-comme-ça.
Un Châteaubriant aussi inattendu que bienvenu.