Cinéma
Par quelle aberration ces décideurs ont-ils pu commettre de telles erreurs de débutants ?
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Le cinéaste livre un récit bourré d’ellipses et de simplifications toutes plus embarrassantes les unes que les autres.
Franck Leroy, à sa façon, a lui aussi compris l’importance du culturel… mais c’est pour acheter la paix à gauche.
La France ne s’intéresse plus à ses héros ; en tout cas, pas suffisamment.
Il est bel et bien fini, ce règne des grandes salles dans lesquelles le peuple de Paris se ruait voir de grands films.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Il est possible à l’ère des réseaux sociaux d’appartenir au monde de la culture et être prêt à se battre pour son pays
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
Une réalité effrayante en France, où un enfant disparaît toutes les 12 minutes.
La famille Traoré, c’est un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock. Elle nous colle aux basques.
2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.
Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.
En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.
Comme les quelque 7.295.727 spectateurs qui ont vu le film en salle…
Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.
Libération, L’Obs, Le Parisien, La Croix, Télérama, Première, Les Inrocks ou Les Cahiers du cinéma ont détesté !
Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.
Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.
Comme une de ces communions se faisant aujourd’hui de plus en plus rares.
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
Pourquoi soudain Guillaume Canet n’assume-t-il plus ses engagements militants tonitruants ?
L’allégorie sur l’immigration, évidente, élude les questions identitaires et leur violence corollaire.
Par quelle aberration ces décideurs ont-ils pu commettre de telles erreurs de débutants ?
Ces films ne sont pas à faire voir à vos enfants mais à regarder en famille.
Le « cinéma de genre » hexagonal, de toute évidence, n’est donc pas encore mort et enterré.
Contre vents et marées, le chercheur de Libération déroule doctement sa théorie du complot d’extrême-droite.
Le cinéaste livre un récit bourré d’ellipses et de simplifications toutes plus embarrassantes les unes que les autres.
Franck Leroy, à sa façon, a lui aussi compris l’importance du culturel… mais c’est pour acheter la paix à gauche.
La France ne s’intéresse plus à ses héros ; en tout cas, pas suffisamment.
Il est bel et bien fini, ce règne des grandes salles dans lesquelles le peuple de Paris se ruait voir de grands films.
Si l’on veut bien mettre de côté pas mal d’aspérités, le film de Frédéric Tellier est particulièrement bien mené.
Il est possible à l’ère des réseaux sociaux d’appartenir au monde de la culture et être prêt à se battre pour son pays
Le film brille par ses à-côtés, par ses dialogues ciselés et par ses petites trouvailles scénaristiques.
Une réalité effrayante en France, où un enfant disparaît toutes les 12 minutes.
La famille Traoré, c’est un peu comme le sparadrap du capitaine Haddock. Elle nous colle aux basques.
2023 oblige, le scénario a dû céder aux injonctions multiculturalistes et interconfessionnelles.
Dupontel nous prouve par son universalisme qu’il sera toujours du côté du manche.
En France, la production indépendante hors subventions et influence de gauche est encore balbutiante.
Comme les quelque 7.295.727 spectateurs qui ont vu le film en salle…
Une belle leçon de dignité, à chaque instant, dans le jeu magique des acteurs.
Le film de Thomas Cailley martèle l’idée d’une frontière ténue entre l’homme et l’animal.
Cédric Kahn propose un film de prétoire épuré de tout effet dramatique, sans flash-back ni musique.
Libération, L’Obs, Le Parisien, La Croix, Télérama, Première, Les Inrocks ou Les Cahiers du cinéma ont détesté !
Michel Gondry célèbre l’imagination débridée et la folie créatrice.
Laurent Lafitte campe à l’écran un Bernard Tapie grande gueule, bluffeur, faiseur et magouilleur.
Comme une de ces communions se faisant aujourd’hui de plus en plus rares.
Ces professeurs sont rendus responsables systématiquement de chaque difficulté qu’ils rencontrent.
Pourquoi soudain Guillaume Canet n’assume-t-il plus ses engagements militants tonitruants ?
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