Marine Le Pen
Fait autrement plus intéressant, il y a cette attitude à adopter en cas de duel de second tour entre RN et Renaissance ou NUPES.
Sur Twitter, plusieurs leaders de la droite nationale ont condamné l’agression dont a été victime Marine le Pen…
Avec une inflation de 5,2 %, le consommateur ressent une augmentation des prix considérables. Cette situation est d’autant plus inquiétante qu’elle va perdurer.
Si, comme les sondages l’annoncent, les deux blocs Mélenchon-Macron rassemblaient 500 députés, n’en laissant que 80 aux droites divisées, ce serait pour elles une véritable année zéro qui leur imposerait un aggiornamento.
C’est parti : Marine Le Pen se lance à son tour dans la bataille des législatives. Elle adopte la stratégie inverse de celle de ses deux grands concurrents. Rien pour attirer les feux de la rampe…
Mélenchon a eu l’intuition qu’il y avait une carte à jouer face à ce Président réélu par défaut et sans élan.
Si l’on en croit un sondage commandé par BFM TV, Jean-Luc Mélenchon bénéficierait actuellement d’une cote de 37 % dans l’opinion, contre 33 % pour
Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
Bravant tous les interdits, Patrick Sébastien se fait l’avocat de celle qui avait choqué la brochette de bienheureux réunis sur le plateau : la terrible ancienne Miss France, Delphine Wespiser, l’odieuse reine de beauté.
« La rediabolisation du Rassemblement national sera de plus en plus difficile à mettre en œuvre »
Il semble désormais espérer un rapprochement : « J’espère qu’avec le résultat de cette élection, nos relations [avec la France] seront dans une bien meilleure position », a-t-il aussi déclaré dans l’avion qui le ramenait en Turquie.
Les Outre-mer ont voté majoritairement pour Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle : sidération dans le camp de la bien-pensance !
La démographie et la sociologie françaises étant ce qu’elles sont, il n’y aura pas de victoire possible pour le camp national sans une implantation urbaine forte.
Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême
Jean-François Baulès maire de Técou dans le Tarn, peut aussi déménager pour aller rejoindre son alter ego dans la Meurthe-et-Moselle, cet ancien maire de Xirocourt qui a décidé d’annuler la réactivation d’un festival de musique en raison du score abominable réalisé par Marine Le Pen
Entre le RN qui pense se passer de soutien et Reconquête qui confond main et doigt tendus, l’union du camp national est loin d’être faite.
Le match Macron-Le Pen est en réalité moins déséquilibré que ce que les partisans d’Emmanuel Macron auraient souhaité.
Les élections législatives doivent permettre au parti de Marine Le Pen de constituer un groupe solide à l’Assemblée nationale entre LFI et LREM.
Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.
Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.
L’époque, la conjoncture, peut-être même le destin, nous amènent, une fois encore, à cette grande confrontation entre deux visions, entre deux peuples, entre César et Pompée, entre Le Pen et Macron.
C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.
Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.
Julien Odoul se dit satisfait de la grande sérénité affichée par Marine Le Pen lors de ce débat.
Un sujet est absent du débat, que beaucoup d’internautes attendaient, notamment au moment où Emmanuel Macron parlait des emprunts de Marine Le Pen auprès d’une banque russe, c’est l’affaire McKinsey.
Voilà : c’est Marine Le Pen qui défend le mieux les aspirations des femmes.
Si projet de rupture il y a, il vise seulement à en finir avec les trahisons survenues depuis le dernier septennat de François Mitterrand qui, de Chirac en Macron, de Sarkozy en Hollande, nous obligèrent à revenir sur la traditionnelle ligne politique fixée par le général de Gaulle.
L’humoriste que nous avons connue si désopilante lorsqu’elle dessinait une moustache d’Hitler sur la photo d’Éric Zemmour évoque avec amertume cette belle année 2002. Drapé dans sa dignité, l’immense Jacques Chirac avait refusé toute discussion avec son adversaire du deuxième tour.
Fait autrement plus intéressant, il y a cette attitude à adopter en cas de duel de second tour entre RN et Renaissance ou NUPES.
Sur Twitter, plusieurs leaders de la droite nationale ont condamné l’agression dont a été victime Marine le Pen…
Avec une inflation de 5,2 %, le consommateur ressent une augmentation des prix considérables. Cette situation est d’autant plus inquiétante qu’elle va perdurer.
Si, comme les sondages l’annoncent, les deux blocs Mélenchon-Macron rassemblaient 500 députés, n’en laissant que 80 aux droites divisées, ce serait pour elles une véritable année zéro qui leur imposerait un aggiornamento.
C’est parti : Marine Le Pen se lance à son tour dans la bataille des législatives. Elle adopte la stratégie inverse de celle de ses deux grands concurrents. Rien pour attirer les feux de la rampe…
Mélenchon a eu l’intuition qu’il y avait une carte à jouer face à ce Président réélu par défaut et sans élan.
Si l’on en croit un sondage commandé par BFM TV, Jean-Luc Mélenchon bénéficierait actuellement d’une cote de 37 % dans l’opinion, contre 33 % pour
Voilà qui nous dit beaucoup d’une France désormais divisée en trois blocs de globale importance.
Bravant tous les interdits, Patrick Sébastien se fait l’avocat de celle qui avait choqué la brochette de bienheureux réunis sur le plateau : la terrible ancienne Miss France, Delphine Wespiser, l’odieuse reine de beauté.
« La rediabolisation du Rassemblement national sera de plus en plus difficile à mettre en œuvre »
Il semble désormais espérer un rapprochement : « J’espère qu’avec le résultat de cette élection, nos relations [avec la France] seront dans une bien meilleure position », a-t-il aussi déclaré dans l’avion qui le ramenait en Turquie.
Les Outre-mer ont voté majoritairement pour Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle : sidération dans le camp de la bien-pensance !
La démographie et la sociologie françaises étant ce qu’elles sont, il n’y aura pas de victoire possible pour le camp national sans une implantation urbaine forte.
Ça n’a pas traîné. Au soir même de son élection, le 24 avril, le Président reprenait lui-même l’expression devenue le talisman de la gauche : l’extrême
Jean-François Baulès maire de Técou dans le Tarn, peut aussi déménager pour aller rejoindre son alter ego dans la Meurthe-et-Moselle, cet ancien maire de Xirocourt qui a décidé d’annuler la réactivation d’un festival de musique en raison du score abominable réalisé par Marine Le Pen
Entre le RN qui pense se passer de soutien et Reconquête qui confond main et doigt tendus, l’union du camp national est loin d’être faite.
Le match Macron-Le Pen est en réalité moins déséquilibré que ce que les partisans d’Emmanuel Macron auraient souhaité.
Les élections législatives doivent permettre au parti de Marine Le Pen de constituer un groupe solide à l’Assemblée nationale entre LFI et LREM.
Les castors bâtisseurs de barrages contre la haine semblent faire comme si le danger qu’ils dénonçaient n’avait jamais été. Comme si, finalement, Marine Le Pen n’était pas si mauvaise fille que ça.
Entre un Président qui a démérité et une candidate qui peut offrir de belles promesses, la lutte est inégale.
L’époque, la conjoncture, peut-être même le destin, nous amènent, une fois encore, à cette grande confrontation entre deux visions, entre deux peuples, entre César et Pompée, entre Le Pen et Macron.
C’est dur d’arrêter le robot présidentiel. Marine Le Pen fait face à une machine. Une machine coupante, méprisante, technoïde et froide, une machine nommée Emmanuel Macron.
Ce qu’on retient à cet instant-là, c’est que le Président-candidat n’hésite pas à balancer des boules puantes comme un vulgaire petit Darmanin de garenne.
Julien Odoul se dit satisfait de la grande sérénité affichée par Marine Le Pen lors de ce débat.
Un sujet est absent du débat, que beaucoup d’internautes attendaient, notamment au moment où Emmanuel Macron parlait des emprunts de Marine Le Pen auprès d’une banque russe, c’est l’affaire McKinsey.
Voilà : c’est Marine Le Pen qui défend le mieux les aspirations des femmes.
Si projet de rupture il y a, il vise seulement à en finir avec les trahisons survenues depuis le dernier septennat de François Mitterrand qui, de Chirac en Macron, de Sarkozy en Hollande, nous obligèrent à revenir sur la traditionnelle ligne politique fixée par le général de Gaulle.
L’humoriste que nous avons connue si désopilante lorsqu’elle dessinait une moustache d’Hitler sur la photo d’Éric Zemmour évoque avec amertume cette belle année 2002. Drapé dans sa dignité, l’immense Jacques Chirac avait refusé toute discussion avec son adversaire du deuxième tour.
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