Jean-Luc Mélenchon
Je serais tentée de dire que vous êtes trop sincère, trop fidèle à vos convictions pour affronter des girouettes qui tournent au gré du vent.
Marlène Schiappa tient à corriger Éric Zemmour en direct et sur Twitter. Elle estime sa définition du regroupement familial « fausse et fantasmagorique ».
C’est un beau débat entre deux adversaires de grande culture qui se respectent mais ne se font pas de cadeaux.
Monsieur Mélenchon est-il en train de se diaboliser, puisqu’il se rapproche, du coup, de Marine Le Pen dont il a toujours dénoncé les prises de position sur la préférence nationale ?
La scène se déroule le 10 juillet, sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris.
Jean-Luc Mélenchon tente d’expliquer qu’il y a une autre France – suivez son regard – qui n’est ni colonialiste ni impérialiste ni paternaliste.
Il ne savait pas vers où, et c’était déjà trop tard, mais il marchait. Il paraît que c’est la mémoire musculaire.
Jean-Luc Mélenchon voit des complots partout : instrumentalisation d’attentats en vue de l’élection présidentielle, sabotage d’Orange, vidéo de Papacito et jusqu’à cette gifle donnée au
C’est quoi, au juste, le fond de la pensée mélenchonnesque : l’Élysée qui fait passer des castings terroristes ?
Elle l’est « en ce sens qu’elle s’en prend non pas aux causes pour lesquelles ces malheureux ont été assassinés mais aux institutions comme l’institution judiciaire », a poursuivi le chef des députés LFI.
« La population française est et sera métissée. Nous sommes ce peuple qui se créolise en ce moment même. C’est le résultat de l’amour. »
À un an de l’élection présidentielle, les sondages se suivent et se ressemblent, avec une Marine Le Pen de plus en plus menaçante. La Macronie
Invité de la chaîne Franceinfo, le 30 mars, Jean-Luc Mélenchon s’est énervé contre le journaliste Gilles Bornstein, après une question insistante sur François Ruffin. Ce
Car Jean-Luc Mélénchon n’aime pas le haineux. Il est comme ça, Jean-Luc. Fair-play en toutes circonstances.
Il faut dire que ces deux-là ne s’aiment pas et que Naulleau a un passé de pugilat avec La France insoumise, qu’il accuse aisément de menées « indigénistes ». Entre autres.
Et qui figure en couverture du premier numéro du Journal de l’insoumission en version papier ? Mélenchon Jean-Luc.
Alors, il revient à Canossa, la tête couverte de cendres, pour lécher les bottes de ceux qu’il accusait, hier encore, d’être « devenus les bagagistes de Valeurs actuelles » et de faciliter « l’escalade zemmouriste »…
Sacré paradoxe, tout de même, que l’armée soit la solution à tous les problèmes, y compris pour les ténors de la gauche radicale.
Dans cet attelage islamo-gauchiste, qui, des tenants du quinoa ou de la charia, tient l’autre ?
Première victoire, donc : Jean-Luc Mélenchon a obtenu son « investiture populaire » (sic) en cinq jours. 150.000 signatures de « gens »…
Jean-Luc Mélenchon cultive son image de virulent contestataire qui l’enferme dans son rôle d’assaillant politique incapable de gouverner.
Aujourd’hui, un sauveur nous est né : il s’appelle Mélenchon.
Mélenchon dénonce dans tout cela « un procès politicien ». Il n’ose pas dire « stalinien ».
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais
Comment continuer à exister politiquement quand on est Jean-Luc Mélenchon ?
Il est à craindre que moulin à prières républicain et danse du ventre laïcarde ne soient pas les remèdes les plus appropriés.
Je serais tentée de dire que vous êtes trop sincère, trop fidèle à vos convictions pour affronter des girouettes qui tournent au gré du vent.
Marlène Schiappa tient à corriger Éric Zemmour en direct et sur Twitter. Elle estime sa définition du regroupement familial « fausse et fantasmagorique ».
C’est un beau débat entre deux adversaires de grande culture qui se respectent mais ne se font pas de cadeaux.
Monsieur Mélenchon est-il en train de se diaboliser, puisqu’il se rapproche, du coup, de Marine Le Pen dont il a toujours dénoncé les prises de position sur la préférence nationale ?
La scène se déroule le 10 juillet, sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris.
Jean-Luc Mélenchon tente d’expliquer qu’il y a une autre France – suivez son regard – qui n’est ni colonialiste ni impérialiste ni paternaliste.
Il ne savait pas vers où, et c’était déjà trop tard, mais il marchait. Il paraît que c’est la mémoire musculaire.
Jean-Luc Mélenchon voit des complots partout : instrumentalisation d’attentats en vue de l’élection présidentielle, sabotage d’Orange, vidéo de Papacito et jusqu’à cette gifle donnée au
C’est quoi, au juste, le fond de la pensée mélenchonnesque : l’Élysée qui fait passer des castings terroristes ?
Elle l’est « en ce sens qu’elle s’en prend non pas aux causes pour lesquelles ces malheureux ont été assassinés mais aux institutions comme l’institution judiciaire », a poursuivi le chef des députés LFI.
« La population française est et sera métissée. Nous sommes ce peuple qui se créolise en ce moment même. C’est le résultat de l’amour. »
À un an de l’élection présidentielle, les sondages se suivent et se ressemblent, avec une Marine Le Pen de plus en plus menaçante. La Macronie
Invité de la chaîne Franceinfo, le 30 mars, Jean-Luc Mélenchon s’est énervé contre le journaliste Gilles Bornstein, après une question insistante sur François Ruffin. Ce
Car Jean-Luc Mélénchon n’aime pas le haineux. Il est comme ça, Jean-Luc. Fair-play en toutes circonstances.
Il faut dire que ces deux-là ne s’aiment pas et que Naulleau a un passé de pugilat avec La France insoumise, qu’il accuse aisément de menées « indigénistes ». Entre autres.
Et qui figure en couverture du premier numéro du Journal de l’insoumission en version papier ? Mélenchon Jean-Luc.
Alors, il revient à Canossa, la tête couverte de cendres, pour lécher les bottes de ceux qu’il accusait, hier encore, d’être « devenus les bagagistes de Valeurs actuelles » et de faciliter « l’escalade zemmouriste »…
Sacré paradoxe, tout de même, que l’armée soit la solution à tous les problèmes, y compris pour les ténors de la gauche radicale.
Dans cet attelage islamo-gauchiste, qui, des tenants du quinoa ou de la charia, tient l’autre ?
Première victoire, donc : Jean-Luc Mélenchon a obtenu son « investiture populaire » (sic) en cinq jours. 150.000 signatures de « gens »…
Jean-Luc Mélenchon cultive son image de virulent contestataire qui l’enferme dans son rôle d’assaillant politique incapable de gouverner.
Aujourd’hui, un sauveur nous est né : il s’appelle Mélenchon.
Mélenchon dénonce dans tout cela « un procès politicien ». Il n’ose pas dire « stalinien ».
Combien y a-t-il de Tchétchènes, en France ? On ne sait pas. Certes, on le devrait, vu qu’ils sont tous « réfugiés politiques », mais
Comment continuer à exister politiquement quand on est Jean-Luc Mélenchon ?
Il est à craindre que moulin à prières républicain et danse du ventre laïcarde ne soient pas les remèdes les plus appropriés.