Emmanuel Macron
Saturer l’actualité médiatique avec des propositions à l’emporte-pièce qui s’apparentent davantage à des slogans qu’à des politiques élaborées, capables de répondre à la situation de la France.
La « nouvelle méthode » que vient de dévoiler le président de la République montre que, du haut de son Olympe, tel un illusionniste, il continue de jouer à faire semblant.
Les accusations de « désordre » et de « soumission» n’étaient pas les mieux choisies par Emmanuel Macron et risquent de lui revenir en boomerang.
S’il ne veut pas entrer davantage dans la voie de la soumission, le gouvernement doit réagir vite et fermement.
Emmanuel Macron prend le risque de perdre sur les deux tableaux.
Toutefois, l’élément le plus intéressant est, par déduction, le pourcentage de Français qui croient à la version du ministère : 24 %, donc. Un quart, ou presque.
Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.
Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.
Cette nomination en dit bien plus long, du coup, sur le chef de l’État, sur sa ligne politique, sa méthode et ses objectifs que sur les ambitions de Pap Ndiaye.
Cette semaine, les lecteurs de Boulevard Voltaire n’ont pas épargné Emmanuel Macron dans leurs commentaires !
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…
La France n’est pas la préoccupation du Président réélu. Ce qu’il aime, c’est le pouvoir.
« Je veux un Henri IV à Matignon ». Mais alors, qui les Français ont-ils remis à l’Élysée ?
Le signal pour faire partie de la croisière a été lancé. Aux côtés de la passagère postulante, Manuel Valls regrette de ne pas être apparu dans un costume vert et jaune. Le cumul des couleurs pouvait lui attirer les grâces du capitaine.
Cet abandon, sous couvert d’efficacité, cache en réalité le rêve de la présidente de la Commission, des technocrates bruxellois et du Président Emmanuel Macron d’imposer aux peuples une Europe fédérale dans laquelle, petit à petit, seraient dissoutes les nations.
L’Europe, telle que la façonnent aujourd’hui les progressistes (Macron en tête), prend toujours plus la forme d’un projet idéologique.
Un « peuple nouveau » ? Comment ne pas penser à cet « homme nouveau » que le président nouveau, Mao Tsé-toung, voulait voir surgir lors de la révolution culturelle.
Mélenchon a eu l’intuition qu’il y avait une carte à jouer face à ce Président réélu par défaut et sans élan.
Macron est atteint du paradoxe du coquet : il serait capable de descendre de vélo pour se regarder pédaler.
Seuls 34 % des Français lui accordent leur confiance, un chiffre en baisse de 4 points sur un mois.
Cinq ans qu’Emmanuel Macron est à l’Élysée, bientôt quatre ans que deux ministres se sont succédé place Beauvau, après Gérard Collomb, et le non-sens perdurerait dans le pays où, paraît-il, règne le bon sens près de chez vous ?
Profs « à cran » : ils n’avaient qu’à pas voter pour le Président sortant sous prétexte de faire barrage à sa concurrente, surtout qu’entre les deux, en matière d’enseignement, il n’y a pas photo : le programme de Marine Le Pen est beaucoup plus « républicain » que ce que l’on connaît du projet macronien.
Si les candidats du RN et de LFI ont encore les indéniables moyens d’imposer les leurs, Emmanuel Macron a-t-il le pouvoir de faire de même vis-à-vis de ses alliés putatifs ?
« La rediabolisation du Rassemblement national sera de plus en plus difficile à mettre en œuvre »
Mais il y a aussi Mélenchon qui, confondant les législatives et les présidentielles, s’est fait faire une affiche sur laquelle est inscrit : Élisez-moi Premier ministre !
La fermeté affichée par les autorités peut étonner, quand on connaît le laxisme du gouvernement à l’égard des nombreux immigrés économiques, arrivés illégalement en France.
Alors que l’invasion de l’Ukraine est déjà vieille de plus de deux mois, malgré l’alerte, aucun écho public d’une rallonge des crédits consacrés à la défense de notre pays.
La démographie et la sociologie françaises étant ce qu’elles sont, il n’y aura pas de victoire possible pour le camp national sans une implantation urbaine forte.
Saturer l’actualité médiatique avec des propositions à l’emporte-pièce qui s’apparentent davantage à des slogans qu’à des politiques élaborées, capables de répondre à la situation de la France.
La « nouvelle méthode » que vient de dévoiler le président de la République montre que, du haut de son Olympe, tel un illusionniste, il continue de jouer à faire semblant.
Les accusations de « désordre » et de « soumission» n’étaient pas les mieux choisies par Emmanuel Macron et risquent de lui revenir en boomerang.
S’il ne veut pas entrer davantage dans la voie de la soumission, le gouvernement doit réagir vite et fermement.
Emmanuel Macron prend le risque de perdre sur les deux tableaux.
Toutefois, l’élément le plus intéressant est, par déduction, le pourcentage de Français qui croient à la version du ministère : 24 %, donc. Un quart, ou presque.
Les « réformes » de la Macronie ont mis sens dessus dessous ce corps réputé discret et dévoué.
Accompagné du ministre-symbole de la diversité qu’est désormais Pap Ndiaye, le message est clair. Le message est clair que la priorité, pour Emmanuel Macron, est désormais une certaine France.
Cette nomination en dit bien plus long, du coup, sur le chef de l’État, sur sa ligne politique, sa méthode et ses objectifs que sur les ambitions de Pap Ndiaye.
Cette semaine, les lecteurs de Boulevard Voltaire n’ont pas épargné Emmanuel Macron dans leurs commentaires !
Le Président s’est levé de son banc. C’est décidé : la Première ministre, ce sera…
La France n’est pas la préoccupation du Président réélu. Ce qu’il aime, c’est le pouvoir.
« Je veux un Henri IV à Matignon ». Mais alors, qui les Français ont-ils remis à l’Élysée ?
Le signal pour faire partie de la croisière a été lancé. Aux côtés de la passagère postulante, Manuel Valls regrette de ne pas être apparu dans un costume vert et jaune. Le cumul des couleurs pouvait lui attirer les grâces du capitaine.
Cet abandon, sous couvert d’efficacité, cache en réalité le rêve de la présidente de la Commission, des technocrates bruxellois et du Président Emmanuel Macron d’imposer aux peuples une Europe fédérale dans laquelle, petit à petit, seraient dissoutes les nations.
L’Europe, telle que la façonnent aujourd’hui les progressistes (Macron en tête), prend toujours plus la forme d’un projet idéologique.
Un « peuple nouveau » ? Comment ne pas penser à cet « homme nouveau » que le président nouveau, Mao Tsé-toung, voulait voir surgir lors de la révolution culturelle.
Mélenchon a eu l’intuition qu’il y avait une carte à jouer face à ce Président réélu par défaut et sans élan.
Macron est atteint du paradoxe du coquet : il serait capable de descendre de vélo pour se regarder pédaler.
Seuls 34 % des Français lui accordent leur confiance, un chiffre en baisse de 4 points sur un mois.
Cinq ans qu’Emmanuel Macron est à l’Élysée, bientôt quatre ans que deux ministres se sont succédé place Beauvau, après Gérard Collomb, et le non-sens perdurerait dans le pays où, paraît-il, règne le bon sens près de chez vous ?
Profs « à cran » : ils n’avaient qu’à pas voter pour le Président sortant sous prétexte de faire barrage à sa concurrente, surtout qu’entre les deux, en matière d’enseignement, il n’y a pas photo : le programme de Marine Le Pen est beaucoup plus « républicain » que ce que l’on connaît du projet macronien.
Si les candidats du RN et de LFI ont encore les indéniables moyens d’imposer les leurs, Emmanuel Macron a-t-il le pouvoir de faire de même vis-à-vis de ses alliés putatifs ?
« La rediabolisation du Rassemblement national sera de plus en plus difficile à mettre en œuvre »
Mais il y a aussi Mélenchon qui, confondant les législatives et les présidentielles, s’est fait faire une affiche sur laquelle est inscrit : Élisez-moi Premier ministre !
La fermeté affichée par les autorités peut étonner, quand on connaît le laxisme du gouvernement à l’égard des nombreux immigrés économiques, arrivés illégalement en France.
Alors que l’invasion de l’Ukraine est déjà vieille de plus de deux mois, malgré l’alerte, aucun écho public d’une rallonge des crédits consacrés à la défense de notre pays.
La démographie et la sociologie françaises étant ce qu’elles sont, il n’y aura pas de victoire possible pour le camp national sans une implantation urbaine forte.
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
L'intervention média
Les plus lus de la semaine
LES PLUS LUS DE LA SEMAINE
Les plus lus du mois
LES PLUS LUS DU MOIS
- Gabrielle Cluzel - 49 540 vues