Emmanuel Macron
La plèbe française, dans un réflexe de survie, répond à nouveau à la sécession des élites.
Réconciliation, comme après une guerre civile ?
Pour faire bonne mesure et assurer le coup, Macron est donc parti en campagne. Il a lancé un grand débat à sa seule gloire et sillonne désormais la France à la pêche aux voix.
Eudes Baufreton, de Contribuables associés, explique pourquoi le retour de la taxe carbone est une très mauvaise idée. Il pointe des gaspillages et des dérapages
Officiellement, ce dernier partirait écrire un livre.
Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
M. Macron remplit sciemment le cahier des charges qui lui a été remis en échange de son élection.
Le ministre de l’Intérieur est dans son rôle quand il s’inquiète de la hausse de 74 % des actes antisémites en France…
Macron, c’est un Giscard de gauche, en retard sur l’Histoire.
Emmanuel Macron, s’il a promis de tirer des enseignements décisifs du grand débat, le fera-t-il vraiment ?
Le coup d’éclat du grand débat semble bien parti pour se terminer dans l’indifférence générale. Des rencontres en catimini, façon réunion Tupperware®.
La Banque de France annonce un taux de croissance de 0,4 % au premier trimestre 2019.
Et voilà que s’invite dans ce débat notre Macron hexagonal, venu balayer d’un effet de manche le système démocratique de nos voisins helvétiques…
Ce grand débat qui devait faire oublier les images des violences de la fin 2018 ne les a en rien fait disparaître.
Il poursuit, avec assurance, sa campagne électorale en vue des européennes sans que le CSA, pourtant alerté par l’opposition, ni la presse ne s’en offusquent.
Au bout de quatre heures, il parlait encore, il parlait toujours. Quel débat ! Pensez très fort à moi quand vous irez voter, les enfants !
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Tous les commentateurs le disent : Emmanuel Macron n’est jamais aussi fort que quand il est en campagne.
À quand Merkel venant présider le Conseil des ministres à l’Élysée ?
D’abord, le besoin d’ordre, suscité par la médiatisation de la « violence » des gilets jaunes, dramatisée par le gouvernement…
Grand débat par-ci, grand débat par-là. Sous perfusion. En cachets ou suppositoires. Matin, midi, soir. Ad nauseam.
Tel un directeur des ressources humaines qui divise ses salariés pour mieux régner, Macron promeut une opposition morcelée en micro-partis.
Emmanuel Macron s’est déjà engagé dans une campagne électorale nationale et, au mépris de toutes les règles d’équité entre les partis politiques, il use de son mandat pour convaincre un électorat qui lui sera fort utile en mai.
Un « Gitan », c’est d’abord un Français. Il est aussi français qu’un djihadiste qui revient de quelques années de séjour en Syrie…
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Macron, dix-huit mois après : un fiasco, une grosse grosse panne…
La plèbe française, dans un réflexe de survie, répond à nouveau à la sécession des élites.
Réconciliation, comme après une guerre civile ?
Pour faire bonne mesure et assurer le coup, Macron est donc parti en campagne. Il a lancé un grand débat à sa seule gloire et sillonne désormais la France à la pêche aux voix.
Eudes Baufreton, de Contribuables associés, explique pourquoi le retour de la taxe carbone est une très mauvaise idée. Il pointe des gaspillages et des dérapages
Officiellement, ce dernier partirait écrire un livre.
Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
M. Macron remplit sciemment le cahier des charges qui lui a été remis en échange de son élection.
Le ministre de l’Intérieur est dans son rôle quand il s’inquiète de la hausse de 74 % des actes antisémites en France…
Macron, c’est un Giscard de gauche, en retard sur l’Histoire.
Emmanuel Macron, s’il a promis de tirer des enseignements décisifs du grand débat, le fera-t-il vraiment ?
Le coup d’éclat du grand débat semble bien parti pour se terminer dans l’indifférence générale. Des rencontres en catimini, façon réunion Tupperware®.
La Banque de France annonce un taux de croissance de 0,4 % au premier trimestre 2019.
Et voilà que s’invite dans ce débat notre Macron hexagonal, venu balayer d’un effet de manche le système démocratique de nos voisins helvétiques…
Ce grand débat qui devait faire oublier les images des violences de la fin 2018 ne les a en rien fait disparaître.
Il poursuit, avec assurance, sa campagne électorale en vue des européennes sans que le CSA, pourtant alerté par l’opposition, ni la presse ne s’en offusquent.
Au bout de quatre heures, il parlait encore, il parlait toujours. Quel débat ! Pensez très fort à moi quand vous irez voter, les enfants !
Depuis des décennies, la France attendait son sauveur. Pour l’instant, son Président cherche d’abord à se sauver lui-même !
…le rappel de notre ambassadeur à Rome est une manière, pour Emmanuel Macron, de mettre en scène, de se mettre en scène, à quatre mois des élections européennes…
Tous les commentateurs le disent : Emmanuel Macron n’est jamais aussi fort que quand il est en campagne.
À quand Merkel venant présider le Conseil des ministres à l’Élysée ?
D’abord, le besoin d’ordre, suscité par la médiatisation de la « violence » des gilets jaunes, dramatisée par le gouvernement…
Grand débat par-ci, grand débat par-là. Sous perfusion. En cachets ou suppositoires. Matin, midi, soir. Ad nauseam.
Tel un directeur des ressources humaines qui divise ses salariés pour mieux régner, Macron promeut une opposition morcelée en micro-partis.
Emmanuel Macron s’est déjà engagé dans une campagne électorale nationale et, au mépris de toutes les règles d’équité entre les partis politiques, il use de son mandat pour convaincre un électorat qui lui sera fort utile en mai.
Un « Gitan », c’est d’abord un Français. Il est aussi français qu’un djihadiste qui revient de quelques années de séjour en Syrie…
Comme la place de la République, le grand débat est une nasse dans laquelle le pouvoir entend noyer ce poisson détestable qu’est le peuple.
Macron, dix-huit mois après : un fiasco, une grosse grosse panne…