Emmanuel Macron
Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.
Cette crise sanitaire va probablement sonner le glas de ce gouvernement…
Le temps mis à choisir le costume aura peut-être coûté la vie à des Français ! L’ex-ministre prévoit des milliers de morts !
La responsabilité d’Emmanuel Macron dans ce nouveau fiasco démocratique est entière.
La technique d’enfumage consiste à convaincre les abeilles citoyennes que le feu se propage dans l’habitat pour les alarmer et les inciter à se concentrer sur leurs affaires domestiques…
Le Président Macron a cru devoir utiliser la crainte légitime du virus pour se poser en « père du peuple » face à la catastrophe qui menace.
Demander aux Français de faire bloc derrière lui et ne pas s’empêcher de faire de la politique politicienne contre la moitié d’entre eux n’est pas digne d’un chef d’État.
Le temps est aux invasions et aux épidémies.
Tout se passe comme si les gens avaient encore une sorte de conviction intime, venue de l’Antiquité, selon laquelle il existe des personnages publics qui
L’impatience de ce pouvoir a définitivement fait perdre patience à une multitude de citoyens ulcérés. De gauche, d’extrême gauche, de droite, d’extrême droite auxquels s’ajoutent les inévitables déçus.
Ce qui accable les macronistes, c’est que, comme tous les nouveaux riches, ils ne connaissent pas le mot « décence ».
Un jeune militant LREM parisien, faisant campagne pour Agnès Buzyn dans le 17e arrondissement à Paris, témoigne des raisons de son engagement au sein du
La politique africaine de Macron nous emmène droit dans un mur de pisé à la vitesse d’un taxi-brousse hors d’âge.
« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?
Du côté de l’internaute qui théorise du complot, l’affaire est entendue. Deux années de suite, les mêmes gens, dans le même salon, allez, allez… À coup sûr, l’Élysée engage des acteurs.
Alors que la judiciarisation de la société envahit tous les actes de la vie quotidienne, les cas flagrants de dévoiement de la justice, entre abus et déni, se multiplient et nuisent à la cohésion sociale.
On nous confie que la stratégie électorale consistera à « changer d’électorat », c’est-à-dire à récupérer à droite ce qu’ils perdent à gauche ; ça, on le sent venir depuis longtemps.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Thermostat de la pièce sur moins douze. Le macronisme entre dans son ère glaciaire.
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
S’attaquer au vrai problème, ce serait renforcer la laïcité en lui instaurant une réalité constitutionnelle de neutralité totale dans l’espace public, collectif et politique. Qui en est capable ?
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Oui, Brune Poirson a raison, la démocratie dans notre pays s’efface au profit d’un totalitarisme soft. Mais pas pour les raisons qu’elle invoque.
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Emmanuel Macron s’est à nouveau présenté comme le visionnaire et le promoteur d’une Europe forte et indépendante…
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.
Cette crise sanitaire va probablement sonner le glas de ce gouvernement…
Le temps mis à choisir le costume aura peut-être coûté la vie à des Français ! L’ex-ministre prévoit des milliers de morts !
La responsabilité d’Emmanuel Macron dans ce nouveau fiasco démocratique est entière.
La technique d’enfumage consiste à convaincre les abeilles citoyennes que le feu se propage dans l’habitat pour les alarmer et les inciter à se concentrer sur leurs affaires domestiques…
Le Président Macron a cru devoir utiliser la crainte légitime du virus pour se poser en « père du peuple » face à la catastrophe qui menace.
Demander aux Français de faire bloc derrière lui et ne pas s’empêcher de faire de la politique politicienne contre la moitié d’entre eux n’est pas digne d’un chef d’État.
Le temps est aux invasions et aux épidémies.
Tout se passe comme si les gens avaient encore une sorte de conviction intime, venue de l’Antiquité, selon laquelle il existe des personnages publics qui
L’impatience de ce pouvoir a définitivement fait perdre patience à une multitude de citoyens ulcérés. De gauche, d’extrême gauche, de droite, d’extrême droite auxquels s’ajoutent les inévitables déçus.
Ce qui accable les macronistes, c’est que, comme tous les nouveaux riches, ils ne connaissent pas le mot « décence ».
Un jeune militant LREM parisien, faisant campagne pour Agnès Buzyn dans le 17e arrondissement à Paris, témoigne des raisons de son engagement au sein du
La politique africaine de Macron nous emmène droit dans un mur de pisé à la vitesse d’un taxi-brousse hors d’âge.
« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?
Du côté de l’internaute qui théorise du complot, l’affaire est entendue. Deux années de suite, les mêmes gens, dans le même salon, allez, allez… À coup sûr, l’Élysée engage des acteurs.
Alors que la judiciarisation de la société envahit tous les actes de la vie quotidienne, les cas flagrants de dévoiement de la justice, entre abus et déni, se multiplient et nuisent à la cohésion sociale.
On nous confie que la stratégie électorale consistera à « changer d’électorat », c’est-à-dire à récupérer à droite ce qu’ils perdent à gauche ; ça, on le sent venir depuis longtemps.
La France a glissé sans s’en rendre compte dans une autocratie, un pouvoir personnel, qui n’est plus du tout une démocratie libérale.
Deux nouvelles questions se posent : Macron sera-t-il à nouveau candidat en 2022 ? Et s’il se représente, sera-t-il présent au second tour ?
Thermostat de la pièce sur moins douze. Le macronisme entre dans son ère glaciaire.
Plutôt que de pérenniser des cours qui entretiennent les liens avec les pays d’origine, un dirigeant responsable, qui voudrait assimiler des populations issues de l’immigration, ne ferait-il pas mieux de mettre des moyens pour leur apprendre la langue française ?
S’attaquer au vrai problème, ce serait renforcer la laïcité en lui instaurant une réalité constitutionnelle de neutralité totale dans l’espace public, collectif et politique. Qui en est capable ?
En somme, c’est à la fois abandon et négation du modèle républicain. Et c’est peut-être de là que vient le problème. L’assimilation républicaine n’est plus.
Oui, Brune Poirson a raison, la démocratie dans notre pays s’efface au profit d’un totalitarisme soft. Mais pas pour les raisons qu’elle invoque.
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Emmanuel Macron s’est à nouveau présenté comme le visionnaire et le promoteur d’une Europe forte et indépendante…
L’explosion en vol de la candidature de Benjamin Griveaux à la mairie de Paris a conduit la Macronie à jouer aux chaises musicales.
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