Emmanuel Macron
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la Justice » (Montesquieu).
On imagine que ce geste ne doit rien au hasard.
La Macronie a réussi cet exploit en une semaine : démontrer elle-même l’inefficacité d’une mesure présentée comme LA solution et mettre, en plein été, des centaines de milliers de Français dans les rues depuis trois semaines.
L’accession de M. Macron à la présidence est à la fois une imposture et une conclusion de la dérive de nos institutions.
Ainsi, par la grâce d’Emmanuel Macron, la France est redevenue un phare pour le monde libre, en brandissant la torche de l’obligation et de la contrainte.
La conjonction du quinquennat et de l’élection d’un personnage atypique a permis la dérive dictatoriale.
Contrer Macron sur sa gestion de la guerre aux islamistes serait plus utile à la patrie.
Emmanuel Macron voudrait exciter encore davantage la colère du peuple qu’il ne s’y prendrait pas autrement.
Il veut être un roi – dont il déplorait naguère l’absence cruelle en France – gouvernant en son conseil, il n’est, tout au plus, qu’un roitelet décidant seul en son conseil… de scientifiques.
Une guerre contre les virus est une guerre particulière, mais c’est une guerre.
L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Élysée est décidément sans limite.
« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »
Le lendemain du jour où il a obtenu aux forceps le vote d’une loi prétendue bioéthique qui contient les pires entorses non seulement à la morale chrétienne mais à un fonds anthropologique multimillénaire qu’il est habituel d’appeler la loi naturelle.
Après les enfants avec père et les enfants sans père, les gilets jaunes et les sans gilet, la fracture est une spécialité française. Olivier Véran devrait s’en préoccuper, de cette fracture systémique.
Et le vaccin contre la trouille ? Faudrait peut-être le mettre en chantier, lui aussi !
Emmanuel Macron laissera, à ce rythme, l’image du Président le plus brutal de la Ve République…
La visite présidentielle a été vue par certains comme du « racolage électoral » à huit mois de l’élection présidentielle.
Dans cette déclaration du président de la République, faite sur la route du Tour de France dans les Pyrénées, le mot « cynisme » est employé. Celui qui dit qui l’est.
Le Président est l’un des premiers responsables de cette inflation langagière lorsqu’il assure, à propos de l’épidémie : « Nous sommes en guerre ! »
La nation en fête ? Elle est fracturée comme jamais.
Que demander de plus ? Une pression, peut-être…
Cette politique migratoire est à l’image du chef de l’État : quand un sujet le gêne, il est apparemment ferme dans ses déclarations, mais fluctuant, tiède, voire pleutre dans ses actes.
D’abord, pourquoi sur fond de tour Eiffel ? On n’avait jamais vu ça.
L’Union européenne sombre de plus en plus dans une crise structurelle, mais Emmanuel Macron continue plus que jamais à croire dans l’avenir de cette organisation
Les Français sanctionnent en fait l’incohérence de la régence gouvernementale qui va à hue et à dia !
Il faut espérer que la phrase du président de la République encouragera les femmes qui ont souffert de leur avortement à sortir du silence pour rétablir enfin la vérité.
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la Justice » (Montesquieu).
On imagine que ce geste ne doit rien au hasard.
La Macronie a réussi cet exploit en une semaine : démontrer elle-même l’inefficacité d’une mesure présentée comme LA solution et mettre, en plein été, des centaines de milliers de Français dans les rues depuis trois semaines.
L’accession de M. Macron à la présidence est à la fois une imposture et une conclusion de la dérive de nos institutions.
Ainsi, par la grâce d’Emmanuel Macron, la France est redevenue un phare pour le monde libre, en brandissant la torche de l’obligation et de la contrainte.
La conjonction du quinquennat et de l’élection d’un personnage atypique a permis la dérive dictatoriale.
Contrer Macron sur sa gestion de la guerre aux islamistes serait plus utile à la patrie.
Emmanuel Macron voudrait exciter encore davantage la colère du peuple qu’il ne s’y prendrait pas autrement.
Il veut être un roi – dont il déplorait naguère l’absence cruelle en France – gouvernant en son conseil, il n’est, tout au plus, qu’un roitelet décidant seul en son conseil… de scientifiques.
Une guerre contre les virus est une guerre particulière, mais c’est une guerre.
L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Élysée est décidément sans limite.
« Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. »
Le lendemain du jour où il a obtenu aux forceps le vote d’une loi prétendue bioéthique qui contient les pires entorses non seulement à la morale chrétienne mais à un fonds anthropologique multimillénaire qu’il est habituel d’appeler la loi naturelle.
Après les enfants avec père et les enfants sans père, les gilets jaunes et les sans gilet, la fracture est une spécialité française. Olivier Véran devrait s’en préoccuper, de cette fracture systémique.
Et le vaccin contre la trouille ? Faudrait peut-être le mettre en chantier, lui aussi !
Emmanuel Macron laissera, à ce rythme, l’image du Président le plus brutal de la Ve République…
La visite présidentielle a été vue par certains comme du « racolage électoral » à huit mois de l’élection présidentielle.
Dans cette déclaration du président de la République, faite sur la route du Tour de France dans les Pyrénées, le mot « cynisme » est employé. Celui qui dit qui l’est.
Le Président est l’un des premiers responsables de cette inflation langagière lorsqu’il assure, à propos de l’épidémie : « Nous sommes en guerre ! »
La nation en fête ? Elle est fracturée comme jamais.
Que demander de plus ? Une pression, peut-être…
Cette politique migratoire est à l’image du chef de l’État : quand un sujet le gêne, il est apparemment ferme dans ses déclarations, mais fluctuant, tiède, voire pleutre dans ses actes.
D’abord, pourquoi sur fond de tour Eiffel ? On n’avait jamais vu ça.
L’Union européenne sombre de plus en plus dans une crise structurelle, mais Emmanuel Macron continue plus que jamais à croire dans l’avenir de cette organisation
Les Français sanctionnent en fait l’incohérence de la régence gouvernementale qui va à hue et à dia !
Il faut espérer que la phrase du président de la République encouragera les femmes qui ont souffert de leur avortement à sortir du silence pour rétablir enfin la vérité.