Édouard Philippe
La présentation cavalière de cette loi était sidérante. Était-ce un ballon d’essai ?
Voilà une nouvelle petite taxe qui sort en douce pour confirmer que le gouvernement se moque ouvertement des Français
Après l’Élysée, au tour de Matignon de se trouver au bord de l’œil du cyclone ?
Cerise sur le gâteau : quelle mesure a fait se lever d’enthousiasme la majorité ? La PMA pour les lesbiennes !
S’il persiste, Emmanuel Macron prend le risque de se retrouver avec une nouvelle mobilisation sociale dans la rue.
Imaginons que se réalise l’hypothèse, peu probable mais possible, souhaitée en tout cas tant par Éric Zemmour que Marion Maréchal, d’une convergence des luttes ?
Le député RN réagit au discours de politique générale d’Édouard Philippe censé engager l’acte II du quinquennat. Il dénonce un « habillage de com’ »
Rappelons tout d’abord le début de l’article 2 de notre Constitution : « La langue de la République est le français. »
Faute d’arguments susceptibles d’entraîner les foules, les listes pro-européennes ont trouvé un moyen qu’ils croient imparable pour déconsidérer leurs adversaires : c’est le retour des années
Jean-Pierre Raffarin prétend agir au nom de l’intérêt de la France.
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.
Nathalie Loiseau a, évidemment, reçu la consigne cinq sur cinq, même si son paquetage programmatique semble être, pour le moment, resté bloqué dans les lignes arrière.
Ils se veulent avocats et ne font qu’enfoncer leur client.
Le grand débat aura été la machine à laver du quinquennat.
Hier, le Premier ministre Édouard Philippe restituait le bilan des contributions des Français au grand débat. A-t-il répondu aux attentes des Français ? Comment a-t-il
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Ce pouvoir manque singulièrement de fair-play démocratique.
C’est une photo qui a tourné en boucle sur les réseaux sociaux : Édouard Philippe et Franck Riester tenant à la main ce livre pour enfants : Caca Boudin.
Anecdotes croustillantes, révélations de couloir et bruissements furtifs sont livrés à un public avide…
C’est un aveu d’échec politique, stratégique et opérationnel qui s’impose aujourd’hui.
Dominique de Villepin avait procédé à la désastreuse privatisation des autoroutes en 2006. La même faute est commise aujourd’hui par un autre énarque, Édouard Philippe.
Finalement, Macron n’a rien à apprendre de Bouteflika !
Ceux qui font l’effort de travailler gagnent, certes, plus que ceux qui vivent des minima sociaux, mais leur avantage est rogné par les impôts qu’ils doivent payer sur leurs revenus…
Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.
Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
La présentation cavalière de cette loi était sidérante. Était-ce un ballon d’essai ?
Voilà une nouvelle petite taxe qui sort en douce pour confirmer que le gouvernement se moque ouvertement des Français
Après l’Élysée, au tour de Matignon de se trouver au bord de l’œil du cyclone ?
Cerise sur le gâteau : quelle mesure a fait se lever d’enthousiasme la majorité ? La PMA pour les lesbiennes !
S’il persiste, Emmanuel Macron prend le risque de se retrouver avec une nouvelle mobilisation sociale dans la rue.
Imaginons que se réalise l’hypothèse, peu probable mais possible, souhaitée en tout cas tant par Éric Zemmour que Marion Maréchal, d’une convergence des luttes ?
Le député RN réagit au discours de politique générale d’Édouard Philippe censé engager l’acte II du quinquennat. Il dénonce un « habillage de com’ »
Rappelons tout d’abord le début de l’article 2 de notre Constitution : « La langue de la République est le français. »
Faute d’arguments susceptibles d’entraîner les foules, les listes pro-européennes ont trouvé un moyen qu’ils croient imparable pour déconsidérer leurs adversaires : c’est le retour des années
Jean-Pierre Raffarin prétend agir au nom de l’intérêt de la France.
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.
Nathalie Loiseau a, évidemment, reçu la consigne cinq sur cinq, même si son paquetage programmatique semble être, pour le moment, resté bloqué dans les lignes arrière.
Ils se veulent avocats et ne font qu’enfoncer leur client.
Le grand débat aura été la machine à laver du quinquennat.
Hier, le Premier ministre Édouard Philippe restituait le bilan des contributions des Français au grand débat. A-t-il répondu aux attentes des Français ? Comment a-t-il
Du coup, montagne qui accouche d’une souris ? Ou taupinière qui nous aurait pondu une paramécie. La réponse aux prochaines échéances électorales.
Ce pouvoir manque singulièrement de fair-play démocratique.
C’est une photo qui a tourné en boucle sur les réseaux sociaux : Édouard Philippe et Franck Riester tenant à la main ce livre pour enfants : Caca Boudin.
Anecdotes croustillantes, révélations de couloir et bruissements furtifs sont livrés à un public avide…
C’est un aveu d’échec politique, stratégique et opérationnel qui s’impose aujourd’hui.
Dominique de Villepin avait procédé à la désastreuse privatisation des autoroutes en 2006. La même faute est commise aujourd’hui par un autre énarque, Édouard Philippe.
Finalement, Macron n’a rien à apprendre de Bouteflika !
Ceux qui font l’effort de travailler gagnent, certes, plus que ceux qui vivent des minima sociaux, mais leur avantage est rogné par les impôts qu’ils doivent payer sur leurs revenus…
Le grand débat est une période de suspension généralisée : suspension des taxes, suspension des décisions.
Cinq années de baisse sont significatives, mais une amélioration ponctuelle ne prouve strictement rien.
Tous les ingrédients idéologiques et stratégiques sont maintenant réunis pour que notre pays sombre dans le chaos.
Et en effet, depuis un mois, le Premier ministre jouissait tranquillement de cette notoriété zéro. Rasage de murs. Matignon toutes lumières éteintes.
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