Donald Trump
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Il donne ainsi du crédit au premier rival de Donald Trump chez les républicains.
« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.
Dans son discours du 15 novembre, Trump, en habitué des vents contraires, a promis de se battre comme il ne l’a jamais fait auparavant.
Malgré cette filiation idéologique, Ron DeSantis pourrait bien se retourner contre son maître.
Si Biden n’a plus de majorité à la Chambre des représentants, son mandat est terminé. Il n’est pas en très grande forme physique et ne représente pas un avenir certain pour incarner autre chose…
Lors de la perquisition menée à Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, le FBI a saisi un document contenant des « informations » d’ordre privé sur le Président français Emmanuel Macron.
La candidate républicaine Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président Dick Cheney, a perdu la primaire face à son adversaire ouvertement pro-Trump.
Il semblerait que l’ancien locataire de la Maison-Blanche ait conservé des documents officiels après sa défaite à l’élection présidentielle de 2020.
La course à la Maison-Blanche s’annonce donc serrée pour le magnat de l’immobilier. Donald Trump n’est plus, comme ce fut le cas en 2016, en pole position pour briguer le mandat du Parti républicain aux primaires de 2024.
Pour un président déchu, force est de constater que l’énergie déployée par le camp de l’opposition pour le mettre davantage à terre est sans précédent. On le mesure d’autant plus face à l’inertie du gouvernement en place pour résoudre les problèmes majeurs des Américains.
Pour la presse, c’est le scandale. Pas les frasques et affaires de corruption du clan Biden, non. La simple mention du président russe « prouverait » que Donald Trump entretient des liens avec le va-t-en-guerre Vladimir Poutine.
47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.
La discrétion du candidat au lendemain de ce rendez-vous majeur peut surprendre. En réalité, son équipe est partagée sur la publicité à donner à ce coup préparé de longue date.
L’Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ? L’essayiste Nikola Mirkovic publie L’Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu’il qualifie d’impérialiste et de belliqueuse
L’analyste Jack Posobiec faisait récemment une remarque intéressante. Pour lui, le dossier du Capitole illustre la faiblesse de la droite conservatrice, qui pèche toujours au même endroit : laisser la gauche faire l’actualité sur les sujets qu’elle-même choisit.
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Quand certains ne font que parler, lui agit. Et c’est bien la marque de fabrique de cet hyperactif, de pourtant soixante-quinze ans.
Longue vie, donc, à Truth Social. Ce ne sera certes pas la matinale de France Culture, mais il faut de tout, et nos adversaires l’ont oublié depuis bien trop longtemps.
Kyle Rittenhouse, ce jeune Américain de 17 ans, aurait pu terminer ses jours en prison. Le tribunal de Kenosha, dans le Wisconsin, en a décidé
Bien que le dernier bébé de Donald Trump soit moqué par la presse, notamment française (on se rappelle les sarcasmes de début 2016 sur le « ridicule » candidat républicain), la nouvelle a fait mouche du côté des investisseurs.
J’apprécie des gens qui sont des patriotes et qui défendent leur pays. Poutine, Orbán défendent leur pays et une certaine idée de l’Europe chrétienne. Ils ont compris les enjeux historiques de cette vague démographique venue du Sud et ils en tiennent compte.
Crise diplomatique, réseaux sociaux, « wokisme », cancel culture, mandat Biden… Le conseiller de l’ancien président américain est l’invité de Boulevard Voltaire. Que pense-t-il de
La décision de retirer les soldats américains stationnés en Afghanistan depuis 2001 avait pourtant été actée par Donald Trump lui-même, le 29 février 2020…
Pour dénoncer la crise migratoire, le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, a envoyé des bus de migrants à Washington devant le domicile du vice-président, Kamala Harris, le soir du réveillon.
Si les opposants de Trump ont perdu une première manche avec le Russiagate, ils semblent, cette fois-ci, en passe de remporter la deuxième grâce aux conclusions de la commission.
Ce voyage, c’est peut-être l’occasion de prendre de bonnes idées chez le grand ami Biden.
Il donne ainsi du crédit au premier rival de Donald Trump chez les républicains.
« Vox populi, vox Dei », a réagi Elon Musk après l’annonce des résultats de son sondage.
Dans son discours du 15 novembre, Trump, en habitué des vents contraires, a promis de se battre comme il ne l’a jamais fait auparavant.
Malgré cette filiation idéologique, Ron DeSantis pourrait bien se retourner contre son maître.
Si Biden n’a plus de majorité à la Chambre des représentants, son mandat est terminé. Il n’est pas en très grande forme physique et ne représente pas un avenir certain pour incarner autre chose…
Lors de la perquisition menée à Mar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride, le FBI a saisi un document contenant des « informations » d’ordre privé sur le Président français Emmanuel Macron.
La candidate républicaine Liz Cheney, fille de l’ancien vice-président Dick Cheney, a perdu la primaire face à son adversaire ouvertement pro-Trump.
Il semblerait que l’ancien locataire de la Maison-Blanche ait conservé des documents officiels après sa défaite à l’élection présidentielle de 2020.
La course à la Maison-Blanche s’annonce donc serrée pour le magnat de l’immobilier. Donald Trump n’est plus, comme ce fut le cas en 2016, en pole position pour briguer le mandat du Parti républicain aux primaires de 2024.
Pour un président déchu, force est de constater que l’énergie déployée par le camp de l’opposition pour le mettre davantage à terre est sans précédent. On le mesure d’autant plus face à l’inertie du gouvernement en place pour résoudre les problèmes majeurs des Américains.
Pour la presse, c’est le scandale. Pas les frasques et affaires de corruption du clan Biden, non. La simple mention du président russe « prouverait » que Donald Trump entretient des liens avec le va-t-en-guerre Vladimir Poutine.
47 % des Américains se considèrent républicains, face à 42 % de démocrates.
Force est de constater que le discours de l’ancien président tranchait avec celui tenu par son successeur, quelques jours plus tard, le 1er mars, sur l’état de l’Union.
La discrétion du candidat au lendemain de ce rendez-vous majeur peut surprendre. En réalité, son équipe est partagée sur la publicité à donner à ce coup préparé de longue date.
L’Amérique nous pousse-t-elle à la guerre ? L’essayiste Nikola Mirkovic publie L’Amérique empire. Il revient sur la politique américaine qu’il qualifie d’impérialiste et de belliqueuse
L’analyste Jack Posobiec faisait récemment une remarque intéressante. Pour lui, le dossier du Capitole illustre la faiblesse de la droite conservatrice, qui pèche toujours au même endroit : laisser la gauche faire l’actualité sur les sujets qu’elle-même choisit.
Force est de constater que pour tous les titres de presse américains, de tous bords, Trump est le seul compétiteur possible.
Quand certains ne font que parler, lui agit. Et c’est bien la marque de fabrique de cet hyperactif, de pourtant soixante-quinze ans.
Longue vie, donc, à Truth Social. Ce ne sera certes pas la matinale de France Culture, mais il faut de tout, et nos adversaires l’ont oublié depuis bien trop longtemps.
Kyle Rittenhouse, ce jeune Américain de 17 ans, aurait pu terminer ses jours en prison. Le tribunal de Kenosha, dans le Wisconsin, en a décidé
Bien que le dernier bébé de Donald Trump soit moqué par la presse, notamment française (on se rappelle les sarcasmes de début 2016 sur le « ridicule » candidat républicain), la nouvelle a fait mouche du côté des investisseurs.
J’apprécie des gens qui sont des patriotes et qui défendent leur pays. Poutine, Orbán défendent leur pays et une certaine idée de l’Europe chrétienne. Ils ont compris les enjeux historiques de cette vague démographique venue du Sud et ils en tiennent compte.
Crise diplomatique, réseaux sociaux, « wokisme », cancel culture, mandat Biden… Le conseiller de l’ancien président américain est l’invité de Boulevard Voltaire. Que pense-t-il de
La décision de retirer les soldats américains stationnés en Afghanistan depuis 2001 avait pourtant été actée par Donald Trump lui-même, le 29 février 2020…
Pour ne rien rater
Les plus lus du jour
LES PLUS LUS DU JOUR
- Jean Kast - 8 393 vues
L'intervention média
Les plus lus de la semaine
LES PLUS LUS DE LA SEMAINE
Les plus lus du mois
LES PLUS LUS DU MOIS
- Gabrielle Cluzel - 49 680 vues