Donald Trump
Il n’y avait pas grand-chose à attendre de cette rencontre. Pour une fois, les attentes n’auront pas été déçues.
C’est parce que les riches sont de plus en plus riches que les pauvres sont de plus en plus pauvres.
Préparant le terrain, une kyrielle d’articles et de reportages métamorphosant le comportement plébéien du président en actes de démence.
Dès l’origine, ils s’étaient ouvertement déclarés « anti-système » assumés.
Donc, ces obsèques, vaste machine à manipuler les idiots utiles patriotiques…
…c’est une page de la politique américaine qui se tourne.
Pour une fois que l’on pourra soutenir Merkel….
Mais il faut bien le dire, « le Donald » fait plus penser au Docteur Folamour qu’au Prince de Machiavel…
La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.
Après le « tout est politique », tout devient psychiatrique.
La guerre de Corée n’en était pas une parce que le Congrès, seul habilité à déclarer la guerre, ne l’avait pas fait.
Le feuilleton russe continue, qui recycle en permanence de vieilles allégations en nouvelles.
Restait le dernier missile à ogives multiples… le sexe.
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
Cette semaine, dans une déclaration à l’AFP, il s’en est pris au président des États-Unis, une cible d’une grande originalité.
Est-ce que Trump est allé voir Poutine comme de Gaulle s’en était allé à Baden-Baden ? Pour se protéger contre l’actuel coup d’État rampant mené contre lui par la coalition des services secrets anglo-saxons ?
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.
À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?
Il laisse qui voudra sauter de joie comme un cabri, préférant savourer intérieurement sa victoire.
Traduction : cher Donald, si tu ne rentres pas dans le rang, on va arrêter « tes proches » et tu n’auras que les yeux pour pleurer.
Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.
La seule chose qu’on puisse regretter, c’est qu’il n’y ait pas un Président français pour tenir les mêmes propos !
Est-il entre les mains de Poutine ? Des néoconservateurs ? Ou bien Trump veut-il tout simplement régler ses comptes ?
Qu’on la dissolve, donc. Que l’Europe reprenne son indépendance militaire et son destin en main. Voilà peut-être le genre de discours qu’il faudrait tenir à Donald Trump ; discours que, paradoxalement, lui seul pourrait entendre.
Ces politiques traduisent, voire déguisent, un échec : l’incapacité de mettre en œuvre une juste méritocratie…
Il n’y avait pas grand-chose à attendre de cette rencontre. Pour une fois, les attentes n’auront pas été déçues.
C’est parce que les riches sont de plus en plus riches que les pauvres sont de plus en plus pauvres.
Préparant le terrain, une kyrielle d’articles et de reportages métamorphosant le comportement plébéien du président en actes de démence.
Dès l’origine, ils s’étaient ouvertement déclarés « anti-système » assumés.
Donc, ces obsèques, vaste machine à manipuler les idiots utiles patriotiques…
…c’est une page de la politique américaine qui se tourne.
Pour une fois que l’on pourra soutenir Merkel….
Mais il faut bien le dire, « le Donald » fait plus penser au Docteur Folamour qu’au Prince de Machiavel…
La coalition italienne exige que l’Union européenne efface 250 milliards d’euros de la dette publique de l’Italie, sinon Rome sortira de la zone euro.
Après le « tout est politique », tout devient psychiatrique.
La guerre de Corée n’en était pas une parce que le Congrès, seul habilité à déclarer la guerre, ne l’avait pas fait.
Le feuilleton russe continue, qui recycle en permanence de vieilles allégations en nouvelles.
Restait le dernier missile à ogives multiples… le sexe.
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
Cette semaine, dans une déclaration à l’AFP, il s’en est pris au président des États-Unis, une cible d’une grande originalité.
Est-ce que Trump est allé voir Poutine comme de Gaulle s’en était allé à Baden-Baden ? Pour se protéger contre l’actuel coup d’État rampant mené contre lui par la coalition des services secrets anglo-saxons ?
Donald Trump est ce qu’il est. Mais au moins a-t-il tenté de préserver un dialogue d’homme à homme.
À Helsinki, Trump et Poutine auront donc beaucoup à se dire. Tandis que Mercron et Makel se tiendront au courant de l’affaire en se contentant de la lecture des journaux ?
Il laisse qui voudra sauter de joie comme un cabri, préférant savourer intérieurement sa victoire.
Traduction : cher Donald, si tu ne rentres pas dans le rang, on va arrêter « tes proches » et tu n’auras que les yeux pour pleurer.
Trump, c’est l’éléphant plus républicain que jamais qui piétine avec bonheur les porcelaines du magasin-musée européen…
Donald Trump respecte ce qui est respectable. À savoir ceux qui ont la force de lui tenir tête.
La seule chose qu’on puisse regretter, c’est qu’il n’y ait pas un Président français pour tenir les mêmes propos !
Est-il entre les mains de Poutine ? Des néoconservateurs ? Ou bien Trump veut-il tout simplement régler ses comptes ?
Qu’on la dissolve, donc. Que l’Europe reprenne son indépendance militaire et son destin en main. Voilà peut-être le genre de discours qu’il faudrait tenir à Donald Trump ; discours que, paradoxalement, lui seul pourrait entendre.
Ces politiques traduisent, voire déguisent, un échec : l’incapacité de mettre en œuvre une juste méritocratie…
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