Donald Trump
Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Les startupers et les traders ont, sans haine ni violence, fait la peau aux ouvriers, aux salariés et aux précaires.
Loin de vouloir, comme tant d’hommes politiques, séduire ceux qui n’avaient pas voté pour lui, il a d’abord cherché à fidéliser sa « clientèle ».
Trump a perdu la Chambre mais a renforcé son influence au Sénat.
Après la fusillade qui a visé une synagogue à Pittsburgh, aux États-Unis, Donald Trump a été accusé de faire monter l’antisémitisme dans son pays. Réaction
Trump a mis le turbo, quadrillant le territoire. À mardi prochain pour le résultat.
Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.
Les démocrates affirment que les discours de Trump sont à l’origine des colis piégés tandis que Donald Trump répond que les mensonges des médias sont la cause de cette violence.
À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.
Depuis la chute de l’Union soviétique, la tentative de création d’un État vassal assis sur Eltsine et les « oligarques » russes a échoué…
Mais que l’on se rassure : quoi qu’il arrive, au Proche-Orient, les gentils sont Israël et l’Arabie saoudite et les méchants les Iraniens et les Syriens. Ainsi en a décidé la grande Amérique.
Le « trumpisme » montre que le fatalisme n’existe pas en politique, que le progressisme de gauche est vulnérable et surtout que le mandat de Trump est une première étape de la droitisation de l’Occident.
Hier, c’était la Suisse. Aujourd’hui, ce sont les États-Unis.
Quant à Emmanuel Macron, qui attend une discussion avec MBS « dans les prochains jours », il ne paraît pas pressé « que la vérité et la clarté soient établies ».
Quant à Trump, une fois de plus, il met les pieds dans le plat, parlant directement à ses électeurs…
Pour la première fois depuis son élection, Donald Trump a obtenu un score parfait sur plusieurs sujets…
En Europe, le sursaut populaire est dénoncé comme populiste par l’oligarchie qui contrôle les rouages complexes de l’Union européenne.
Il serait temps, en effet, de mettre un coup d’arrêt à cet islam de combat dont les ravages grandissants portent immanquablement la même signature : celle de Riyad.
Donald Trump et Emmanuel Macron continuent de s’affronter à l’ONU.
Encore plus brut de décoffrage que son illustre prédécesseur Nixon, il s’est mis à dos les mêmes puissants que jadis.
Macron a privilégié ce sommet de la tribune de l’ONU pour tenter de remonter la pente vertigineuse qu’il a connue cet été en France.
Les patriotes français devraient prendre conscience de la dimension fratricide de leur antiaméricanisme et adopter l’idéal d’un empire occidental s’étendant de Seattle à Vladivostok.
Y aurait-il des tensions entre la France et les États-Unis ? C’est ce que semblent révéler les trois tweets de Donald Trump directement adressés à
La question n’est pas l’avis de Yann Barthès sur Donald Trump mais l’exemplarité. Que tout le monde envoie se faire foutre depuis belle lurette.
Fort bien, mais de quelle Europe avons-nous besoin ?
Malaise de voir le centenaire de l’Armistice servir de tribune au combat des bons « progressistes » contre les vilains « nationalistes »…
La liturgie mémorielle du 11 Novembre visait les échéances européennes qui apparaissent de plus en plus comme les élections de mi-mandat d’Emmanuel Macron.
Les startupers et les traders ont, sans haine ni violence, fait la peau aux ouvriers, aux salariés et aux précaires.
Loin de vouloir, comme tant d’hommes politiques, séduire ceux qui n’avaient pas voté pour lui, il a d’abord cherché à fidéliser sa « clientèle ».
Trump a perdu la Chambre mais a renforcé son influence au Sénat.
Après la fusillade qui a visé une synagogue à Pittsburgh, aux États-Unis, Donald Trump a été accusé de faire monter l’antisémitisme dans son pays. Réaction
Trump a mis le turbo, quadrillant le territoire. À mardi prochain pour le résultat.
Avec l’élection de Bolsonaro au Brésil, la questions se posera tôt ou tard car ce nouveau président, encore plus atypique que Donald Trump, a eu des mots durs et vrais contre la Chine.
Les démocrates affirment que les discours de Trump sont à l’origine des colis piégés tandis que Donald Trump répond que les mensonges des médias sont la cause de cette violence.
À croire que personne ne l’aime, hormis le peuple.
Depuis la chute de l’Union soviétique, la tentative de création d’un État vassal assis sur Eltsine et les « oligarques » russes a échoué…
Mais que l’on se rassure : quoi qu’il arrive, au Proche-Orient, les gentils sont Israël et l’Arabie saoudite et les méchants les Iraniens et les Syriens. Ainsi en a décidé la grande Amérique.
Le « trumpisme » montre que le fatalisme n’existe pas en politique, que le progressisme de gauche est vulnérable et surtout que le mandat de Trump est une première étape de la droitisation de l’Occident.
Hier, c’était la Suisse. Aujourd’hui, ce sont les États-Unis.
Quant à Emmanuel Macron, qui attend une discussion avec MBS « dans les prochains jours », il ne paraît pas pressé « que la vérité et la clarté soient établies ».
Quant à Trump, une fois de plus, il met les pieds dans le plat, parlant directement à ses électeurs…
Pour la première fois depuis son élection, Donald Trump a obtenu un score parfait sur plusieurs sujets…
En Europe, le sursaut populaire est dénoncé comme populiste par l’oligarchie qui contrôle les rouages complexes de l’Union européenne.
Il serait temps, en effet, de mettre un coup d’arrêt à cet islam de combat dont les ravages grandissants portent immanquablement la même signature : celle de Riyad.
Donald Trump et Emmanuel Macron continuent de s’affronter à l’ONU.
Encore plus brut de décoffrage que son illustre prédécesseur Nixon, il s’est mis à dos les mêmes puissants que jadis.
Macron a privilégié ce sommet de la tribune de l’ONU pour tenter de remonter la pente vertigineuse qu’il a connue cet été en France.