L'État islamique en a rêvé. Les dirigeants européens - Merkel, Hollande et Juncker en tête - l'ont fait. Avec l'appui de tout ce que le continent compte de crétins humanitaires, de politicards opportunistes et d'artistes ignares (qu'ils chantent ou fassent leur métier d'acteur ou de cultureux, mais par pitié qu'ils se taisent sur les sujets où ils n'ont aucune compétence !).

Plus rien ne va plus. Les frontières sont débordées. Toute la tuyauterie de Schengen est en train de sauter. Le moment est si grave que la seule parade trouvée par quelques-uns est d'appeler à interdire de parole publique les dirigeants du FN, ceux par qui le scandale (de dire la vérité) arrive ! On hésite entre sidération et grand éclat de rire, tant la réalité est sans commune mesure avec les discours ronflants de nos dirigeants et de nos bien-pensants. 

En direct, de la frontière hongroise, nos gentils conquérants se font plus violents maintenant que l'on prétend leur interdire le « droit » au passage, comme la Hongrie est tout à fait fondée à le faire, en protégeant les frontières extérieures de l'Union. Ils lancent des pierres comme on le fait au Moyen-Orient pour canarder les troupes israéliennes ou lapider la femme adultère ! 

De la frontière croate, les policiers sont débordés, les barrières renversées, le flot coule comme un torrent furieux. De la frontière autrichienne les bus et les trains amènent le flux continu de nos remplaçants, et la encore nous avons l'impression d'une inondation. De la Méditerranée, même sensation liquide, celle d'une marée humaine, venue d'Afrique noire.  

Mais pourquoi bon sang tous ces migrants/réfugiés débarquent en masse, seulement maintenant, par la voie terrestre, depuis l'Irak et la Syrie, alors que le conflit là-bas dure déjà depuis 4 ans !? Nous n'avions jusqu'à présent que le train-train des arrivées, et des noyades, venues de Libye. 

Est ce Erdoğan qui a lâché les vannes en vidant les camps de réfugiés en Turquie ? Ou alors l'État islamique ne conduit-il pas une action délibérée de la terre brûlée, à vider les territoires sous son contrôle, pour provoquer la submersion de l'Europe avec son lot de djihadistes infiltrés ?     

Quand certains mots s'imposent dans l'opinion, c'est que l'idée qui les sous-tend va de soi, que la force du phénomène est plus forte que les contre-feux spécieux de la propagande officielle et des médias à la botte. Pensons au « Daech » que les socialistes ont voulu nous faire ingurgiter pour ne pas mécontenter leurs amis musulmans en prononçant les termes d'islam ou d'islamisque, « cette hostie consacrée, l'Agnus dei des bobos », comme dirait Olivier Rolin.

« Migrants », « barbares » et « dirigeants criminels » sont de ceux-là. Ce sont les mots d'un nouveau paradigme de pensée. Criminels est le mot qui convient pour qualifier nos dirigeants, et non celui de collabos, que l'on a pu lire sous la plume de Renaud Camus ou Pierre Cassen, mot trop doux, et surtout anachronique, et tombant dans la reductio ad hitlerum.

Criminels sont nos dirigeants européens dépliant le tapis rouge à tous les migrants de l'Afrique et du Moyen-Orient en faisant de l'Europe une terre de conquête après qu'ils ont déstabilisé ou détruit leurs pays d'origine avec l'ami américain ! L'Histoire plus que les tribunaux jugera nos dirigeants ! Patience !

133 vues

17 septembre 2015

VOS COMMENTAIRES

BVoltaire.fr vous offre la possibilité de réagir à ses articles (excepté les brèves) sur une période de 5 jours. Toutefois, nous vous demandons de respecter certaines règles :

  • Pas de commentaires excessifs, inutiles ou hors-sujet (publicité ou autres).
  • Pas de commentaires insultants. La critique doit obéir aux règles de la courtoisie.
  • Pas de commentaires en majuscule.
  • Les liens sont interdits.
  • L’utilisation excessive de ponctuations comme les points d’exclamation ou les points de suspension rendent la lecture difficile pour les autres utilisateurs, merci de ne pas en abuser !

Pas encore de compte, inscrivez-vous gratuitement !

La possibilité d'ajouter de nouveaux commentaires a été désactivée.