Féminisme
À quelques mois de la décapitation de Samuel Paty par un terroriste islamiste, le Planning familial croit pertinent d’utiliser une image de décapitation pour dénoncer l’oppression masculine.
Les féministes qui comptent partout les pourcentages d’hommes et de femmes ont du souci à se faire.
Les néo-tricoteuses qui réclament des têtes aujourd’hui ressemblent furieusement à celles d’hier, quand Danton, emporté dans la charrette du condamné, criait à Robespierre « Ton tour viendra ! »
Que pense Gabrielle Cluzel, auteur de Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme et rédactrice en chef de Boulevard Voltaire, du féminisme ? https://www.youtube.com/watch?v=fYmpUdjzrms&ab_channel=BoulevardVoltaire
Premier volet de notre série Place des femmes mettant à l’honneur des jeunes femmes engagées, à l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes,
À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.
« Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 », prophétisait Chesterton.
Comment se fait-il que toutes ces femmes, parvenues ces dernières années aux sommets journalistiques, se transforment systématiquement en viragos ?
avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…
Hélas, le progressisme féministe est fort avec les faibles, trouillard avec les forts.
À nous deux, monde sans hommes, à quoi ressemblerais-tu ?
Pauline Harmange et son livre Moi, les hommes, je les déteste ont les honneurs de Libé…
Lundi soir, alors que se tenait le premier conseil de rentrée dans la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, une trentaine de féministes issues de diverses associations sont venues vociférer…
Deux mouvements contradictoires cohabitent donc : le dévoilement et le voilement. C’est le paradoxe de notre société.
Intervenir en cas de harcèlement ? Il n’y a que des coups – physiques et médiatiques – à prendre et rien à gagner.
En un mot comme en mille, cette femme fut aussi, et ce, à sa façon, une grande dame. Après, on a toujours le droit de préférer Alice Coffin à Gisèle Halimi…
C’est donc un tableau idyllique que dépeint la jeune femme, rapporté par deux journalistes de Paris Match sans l’ombre d’une distance critique.
Il n’y a rien dans cette œuvre ancienne qui soit beau ou qui évoque avec justesse ce rôle et cette puissance essentiels de la féminité.
Si les femmes sont sous-représentées dans certains secteurs, elles sont au contraire surreprésentées dans certains autres, ce qui ne paraît pas gêner outre mesure les partisans de la « parité partout ».
Un exemple pour plein de jeunes filles… de l’humiliation à laquelle peut vous conduire une instrumentalisation de votre féminité et de votre appartenance à la diversité.
La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.
Les pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre pour ne pas mourir, ont pour seule compagnie une télé anxiogène qui ne leur parle en boucle que de pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre et en train de mourir…
Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…
On peut saluer la prestation pour le moins originale de Manon Aubry au Parlement européen. Et lui donner la place qu’elle mérite : beaux moyens, bel investissement, mais décalé, hors de propos.
En France, et je pense que c’est le cas dans de nombreux pays européens, on dirait que seule la gauche est autorisée à défendre la cause des femmes. Je refuse cette confiscation.
À quelques mois de la décapitation de Samuel Paty par un terroriste islamiste, le Planning familial croit pertinent d’utiliser une image de décapitation pour dénoncer l’oppression masculine.
Les féministes qui comptent partout les pourcentages d’hommes et de femmes ont du souci à se faire.
Les néo-tricoteuses qui réclament des têtes aujourd’hui ressemblent furieusement à celles d’hier, quand Danton, emporté dans la charrette du condamné, criait à Robespierre « Ton tour viendra ! »
Que pense Gabrielle Cluzel, auteur de Adieu Simone ! Les dernières heures du féminisme et rédactrice en chef de Boulevard Voltaire, du féminisme ? https://www.youtube.com/watch?v=fYmpUdjzrms&ab_channel=BoulevardVoltaire
Premier volet de notre série Place des femmes mettant à l’honneur des jeunes femmes engagées, à l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes,
À Hollywood, une nouvelle obsession woke a vu le jour : l’addiction à l’héroïne.
« Un temps viendra où l’on allumera des bûchers pour y brûler ceux qui osent rappeler que 2 et 2 font 4 », prophétisait Chesterton.
Comment se fait-il que toutes ces femmes, parvenues ces dernières années aux sommets journalistiques, se transforment systématiquement en viragos ?
avec une allégresse tranquille et une brutalité souriante, elle démolit les poncifs prétendument progressistes de ce nouveau féminisme qui rêve de faire sexe à part…
Hélas, le progressisme féministe est fort avec les faibles, trouillard avec les forts.
À nous deux, monde sans hommes, à quoi ressemblerais-tu ?
Pauline Harmange et son livre Moi, les hommes, je les déteste ont les honneurs de Libé…
Lundi soir, alors que se tenait le premier conseil de rentrée dans la mairie du XVIIIe arrondissement de Paris, une trentaine de féministes issues de diverses associations sont venues vociférer…
Deux mouvements contradictoires cohabitent donc : le dévoilement et le voilement. C’est le paradoxe de notre société.
Intervenir en cas de harcèlement ? Il n’y a que des coups – physiques et médiatiques – à prendre et rien à gagner.
En un mot comme en mille, cette femme fut aussi, et ce, à sa façon, une grande dame. Après, on a toujours le droit de préférer Alice Coffin à Gisèle Halimi…
C’est donc un tableau idyllique que dépeint la jeune femme, rapporté par deux journalistes de Paris Match sans l’ombre d’une distance critique.
Il n’y a rien dans cette œuvre ancienne qui soit beau ou qui évoque avec justesse ce rôle et cette puissance essentiels de la féminité.
Si les femmes sont sous-représentées dans certains secteurs, elles sont au contraire surreprésentées dans certains autres, ce qui ne paraît pas gêner outre mesure les partisans de la « parité partout ».
Un exemple pour plein de jeunes filles… de l’humiliation à laquelle peut vous conduire une instrumentalisation de votre féminité et de votre appartenance à la diversité.
La secrétaire d’État en est sûre : le Covid-19 va renvoyer les femmes et les petites filles aux oubliettes du féminisme.
Les pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre pour ne pas mourir, ont pour seule compagnie une télé anxiogène qui ne leur parle en boucle que de pensionnaires d’EHPAD, recluses dans leur chambre et en train de mourir…
Peu de certitudes pour notre avenir, sauf celle-ci : quand nous aurons enfin tordu le coup à ce virus sanitaire, il en restera encore bien d’autres à combattre, idéologiques et délétères…
On peut saluer la prestation pour le moins originale de Manon Aubry au Parlement européen. Et lui donner la place qu’elle mérite : beaux moyens, bel investissement, mais décalé, hors de propos.
En France, et je pense que c’est le cas dans de nombreux pays européens, on dirait que seule la gauche est autorisée à défendre la cause des femmes. Je refuse cette confiscation.
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