Port du masque obligatoire dans les lieux publics clos, port du masque obligatoire en extérieur dans les métropoles, port du masque obligatoire dans les communes de plus de 10.000 habitants, comme cela vient d’être décidé dans le Bas-Rhin, port du masque obligatoire dans toutes les entreprises et établissements scolaires : rien ne semble pouvoir rassasier la soif liberticide du pouvoir, en France comme dans la plupart des démocraties occidentales.

Déjà, des projets plus coercitifs sont suggérés dans les journaux, histoire de voir comment réagissent les lecteurs : port du masque obligatoire dès l’âge de 6 ans, port du masque obligatoire chez soi, et même port du masque lors des visioconférences, ainsi que le ministère des Ressources du Wisconsin l’a déjà imposé à ses employés « pour donner l’exemple » ; mais, aussi, interdiction de toutes les réunions familiales, voire séparation des familles, reconfinement drastique, etc.

Eh bien, disons-le sans ambages : ce ne sont là que des demi-mesures qui ne suffiront jamais à éradiquer ce terrible fléau qui menace l’humanité, et tout particulièrement la France, laquelle déplore, chaque jour, plus de 15 décès. Certes, c’est moins que les 450 décès quotidiens du cancer ou les 390 décès liés aux maladies cardio-vasculaires, mais ce n’est pas une raison pour se laisser aller ! Il est temps d’appliquer un protocole rigoureux.

Nous détectons, chaque jour, plus de 6.000 nouveaux porteurs du coronavirus, pour l’essentiel des porteurs sains qui ne nécessitent aucune prise en charge médicale mais qui peuvent diffuser le virus. Si nous abattions automatiquement ces 6.000 jeunes gens en pleine santé, nous pourrions sauver, chaque jour, presque une dizaine de personne âgées gravement malades. Le jeu n’en vaut-il pas la chandelle ?

Bien sûr, parmi ces cas positifs non malades, certains, par pur égoïsme, pourraient être tentés de s’enfuir pour échapper à leur exécution. Mais où donc iraient se cacher ces récalcitrants ? Dans la nature ? Et bien procédons comme les Américains pendant la guerre du Vietnam : dévastons les forêts et les campagnes françaises à coup de bombes au napalm afin que les porteurs de coronavirus ne puissent plus nuire à leurs concitoyens. On tuerait, du même coup, les chauves-souris complices de la pandémie !

Certains petits malins pourraient être tentés de se cacher dans les zones de non-droit où la police ne pénètre jamais ou bien, même, de s’enfuir dans un pays étranger laxiste ? Alors, nous ne devons pas trembler ! Si Emmanuel Macron a le courage d’employer sans faiblir la force de frappe nucléaire française, déclenchant par là même une riposte des Russes, nous pourrions éliminer la menace du coronavirus de façon définitive : plus de mammifères, plus de moyen, pour le virus, de se répliquer ! Sans compter que ce protocole sanitaire réglerait aussi bien d’autres problèmes comme le risque de réélection de Donald Trump, le racisme systémique, la transphobie et le réchauffement climatique.

Vous hésitez à vous laisser convaincre ? Vous avez tort, car il ne fait absolument aucun doute que seule la mort pourra réellement nous débarrasser du risque de mourir.

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30 août 2020 à 21:00

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