« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la Justice » (Montesquieu).
Soyons prudents face au piège que pourrait nous tendre le gouvernement : celui de la violence. L’État aurait tout intérêt à laisser prospérer les extrêmes pour ensuite venir se poser en garant de l’ordre républicain.
La responsabilité de l’État est de tout faire pour que les chrétiens n’aient plus la peur au ventre en se rendant dans leur église pour pratiquer leur culte.
Il faut espérer que la phrase du président de la République encouragera les femmes qui ont souffert de leur avortement à sortir du silence pour rétablir enfin la vérité.
Et on est pris d’un doute : est-ce donc cela, « les valeurs fondamentales de l’UE » ?
Il faut saluer une décision qui permet de montrer clairement que nulle organisation, quelle qu’elle soit, ne peut vouloir instrumentaliser le sport.
En réalité, ce que les partisans de l’homosexualité dénoncent, c’est que l’idéologie qu’ils promeuvent puisse être aujourd’hui contestée dans ses fondements.
Le vivant sera désormais soumis aux changements aléatoires de la volonté, du seul désir individuel.
Ainsi, faudrait-il que les homélies des prêtres soient de purs discours républicains, qui sacrifient à la doxa ambiante sur l’avortement, l’homosexualité et l’euthanasie ?
La mise sous algorithme de la vie privée des citoyens a de beaux jours devant elle.
Le délire racialiste poursuit sa course folle, minant désormais les milieux activistes homosexuels.
Quelqu’un a-t-il pensé à allumer la lumière dans les bureaux du Président ?
Au Royaume-Uni, sous la pression des LGBT, le métro a déjà changé ses annonces en « Hi, everyone », en lieu et place du traditionnel « ladies and gentlemen »…
Ainsi, il faut comprendre qu’un mouvement qui dit promouvoir une société inclusive et ouverte impose préalablement des mesures d’exclusion. Quelqu’un comprend-il la logique ?
La grande offensive de séduction et de recherche de mainmise sur les médias a d’ores et déjà commencé à l’Élysée.
Que peut devenir une nation qui tue ses enfants et ses mourants ?
Cette scène témoignerait d’une intolérable vision machiste dans laquelle l’homme, tout à son narcissisme phallique, jouirait de son pouvoir sur la pauvre femme sans défense.
La basilique Notre-Dame de l’Assomption fut protégée trois jours seulement, au lendemain du 29 octobre, puis les forces de sécurité s’évanouirent pour traquer les citoyens sans masque à l’heure du confinement.
Ni plus ni moins une mise sous surveillance généralisée des réseaux sociaux par l’État.
À quelques mois de la décapitation de Samuel Paty par un terroriste islamiste, le Planning familial croit pertinent d’utiliser une image de décapitation pour dénoncer l’oppression masculine.
Je suis paroissienne de la basilique Notre-Dame de Nice et je m’interroge : faut-il attendre un deuxième 29 octobre pour fermer les mosquées radicalisées de Nice et protéger les lieux de culte chrétien ?
Mais puisque les Français sont abreuvés quotidiennement des statistiques sur la mortalité liée au Covid-19, n’ y a-t-il pas meilleure idée que de lancer un grand plan « fin de vie » en France ?
Ainsi, quelqu’un a cru utile d’affirmer qu’une femme était une personne.
Comment, face aux scandales de la pédophilie et de l’inceste, accepter que ne soit pas inscrite dans ce projet de loi l’imprescriptibilité des crimes sexuels sur mineurs ?
On s’étonne que personne, depuis des siècles, n’ait jamais songé à demander la mise à l’index de Peau d’âne, qui met en scène une tentation incestueuse, du Petit Poucet, qui montre un abandon d’enfants…
Que sert exactement la course effrénée vers le tout avortement ? Pourquoi imposer un tel projet sans tenir compte des avis éclairés et de ce que disent les professionnels de santé ?
Celle-ci est l’œuvre d’un artiste fondateur du Queernaval, du nom de Moya, auquel l’aumônerie des artistes du diocèse a commandé la réalisation de la crèche 2020.
Le 1er décembre, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a donné son feu vert à l’extension de la pratique de l’IVG de 12 à 14 semaines…
« Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la Justice » (Montesquieu).
Soyons prudents face au piège que pourrait nous tendre le gouvernement : celui de la violence. L’État aurait tout intérêt à laisser prospérer les extrêmes pour ensuite venir se poser en garant de l’ordre républicain.
La responsabilité de l’État est de tout faire pour que les chrétiens n’aient plus la peur au ventre en se rendant dans leur église pour pratiquer leur culte.
Il faut espérer que la phrase du président de la République encouragera les femmes qui ont souffert de leur avortement à sortir du silence pour rétablir enfin la vérité.
Et on est pris d’un doute : est-ce donc cela, « les valeurs fondamentales de l’UE » ?
Il faut saluer une décision qui permet de montrer clairement que nulle organisation, quelle qu’elle soit, ne peut vouloir instrumentaliser le sport.
En réalité, ce que les partisans de l’homosexualité dénoncent, c’est que l’idéologie qu’ils promeuvent puisse être aujourd’hui contestée dans ses fondements.
Le vivant sera désormais soumis aux changements aléatoires de la volonté, du seul désir individuel.
Ainsi, faudrait-il que les homélies des prêtres soient de purs discours républicains, qui sacrifient à la doxa ambiante sur l’avortement, l’homosexualité et l’euthanasie ?
La mise sous algorithme de la vie privée des citoyens a de beaux jours devant elle.
Le délire racialiste poursuit sa course folle, minant désormais les milieux activistes homosexuels.
Quelqu’un a-t-il pensé à allumer la lumière dans les bureaux du Président ?
Au Royaume-Uni, sous la pression des LGBT, le métro a déjà changé ses annonces en « Hi, everyone », en lieu et place du traditionnel « ladies and gentlemen »…
Ainsi, il faut comprendre qu’un mouvement qui dit promouvoir une société inclusive et ouverte impose préalablement des mesures d’exclusion. Quelqu’un comprend-il la logique ?
La grande offensive de séduction et de recherche de mainmise sur les médias a d’ores et déjà commencé à l’Élysée.
Que peut devenir une nation qui tue ses enfants et ses mourants ?
Cette scène témoignerait d’une intolérable vision machiste dans laquelle l’homme, tout à son narcissisme phallique, jouirait de son pouvoir sur la pauvre femme sans défense.
La basilique Notre-Dame de l’Assomption fut protégée trois jours seulement, au lendemain du 29 octobre, puis les forces de sécurité s’évanouirent pour traquer les citoyens sans masque à l’heure du confinement.
Ni plus ni moins une mise sous surveillance généralisée des réseaux sociaux par l’État.
À quelques mois de la décapitation de Samuel Paty par un terroriste islamiste, le Planning familial croit pertinent d’utiliser une image de décapitation pour dénoncer l’oppression masculine.
Je suis paroissienne de la basilique Notre-Dame de Nice et je m’interroge : faut-il attendre un deuxième 29 octobre pour fermer les mosquées radicalisées de Nice et protéger les lieux de culte chrétien ?
Mais puisque les Français sont abreuvés quotidiennement des statistiques sur la mortalité liée au Covid-19, n’ y a-t-il pas meilleure idée que de lancer un grand plan « fin de vie » en France ?
Ainsi, quelqu’un a cru utile d’affirmer qu’une femme était une personne.
Comment, face aux scandales de la pédophilie et de l’inceste, accepter que ne soit pas inscrite dans ce projet de loi l’imprescriptibilité des crimes sexuels sur mineurs ?
On s’étonne que personne, depuis des siècles, n’ait jamais songé à demander la mise à l’index de Peau d’âne, qui met en scène une tentation incestueuse, du Petit Poucet, qui montre un abandon d’enfants…
Que sert exactement la course effrénée vers le tout avortement ? Pourquoi imposer un tel projet sans tenir compte des avis éclairés et de ce que disent les professionnels de santé ?
Celle-ci est l’œuvre d’un artiste fondateur du Queernaval, du nom de Moya, auquel l’aumônerie des artistes du diocèse a commandé la réalisation de la crèche 2020.
Le 1er décembre, le Comité consultatif national d’éthique (CCNE) a donné son feu vert à l’extension de la pratique de l’IVG de 12 à 14 semaines…