Bien que n’ayant hérité d’aucun portefeuille ministériel, Christian Estrosi continue à assurer le service après-vente de la politique sanitaire d’Emmanuel Macron, et la sienne.
On ne sait pas ce qu’est un « style néo-monacal au confort 5 étoiles »…
Ainsi, ce n’est plus un problème de réfléchir aux conditions par lesquelles on utilisera la reconnaissance faciale, c’est-à-dire la surveillance des citoyens, pour instaurer ce qui se passe déjà en Chine.
Le rapport de Reporters sans frontières (RSF) paru la semaine dernière fustige la « foxisation de l’information » comme une cause d’aggravation des tensions sociales en France.
Le skipper toulonnais Sébastien Destremau a décidé, face à la situation d’urgence touchant la population ukrainienne, d’organiser un convoi humanitaire pour venir en aide aux réfugiés.
Le mot d’ordre principal de cette marche du 16 janvier est de faire de la protection de la vie une grande cause nationale.
À ce stade, rien n’est encore fait et le futur hôtel des Polices ressemble toujours actuellement à ce qu’il est depuis des années : un hôpital désaffecté.
La campagne de Macron sera centrée sur la pandémie, certes, mais non pas pour s’enorgueillir de ses victoires (il n’ y en a pas), plutôt pour en désigner les responsables : les citoyens récalcitrants.
Solidarność a symbolisé le combat pour la liberté, et il continuera de le mener : quand on a réussi à faire tomber une dictature, cinq syndicats français, même appuyés par de puissants relais à la tête de la Commission européenne, ne font pas peur.
Sur le fond, il faut que les sénateurs se saisissent de la dimension psychologique évoquée par le chef de l’Etat en ouvrant la voie à la tenue d’états généraux de la périnatalité…
Le système du passe sanitaire conduit six millions de personnes hors de la société en les privant de toute une série de droits essentiels et de libertés fondamentales.
Face à de telles accusations, on ne peut rester indifférents et ne pas penser aux responsabilités immenses que devront assumer nos dirigeants…
Les Autrichiens non vaccinés ne pourront plus se rendre dans les commerces non essentiels ou aux traditionnels marchés de Noël.
Notre fils s’est enfermé dans sa chambre, il a pleuré une heure environ. Ensuite, il a eu l’idée de confectionner un bracelet, bracelet qu’il ne pourrait jamais lui donner, mais qu’il a posé sur son coin prière.
Claire Hédon, le Défenseur des droits, s’est exprimée mercredi matin pour dire son inquiétude au sujet de la fin du remboursement des tests de dépistage du Covid, qui s’apparenterait, selon elle, à « une obligation vaccinale déguisée ».
Le suspect, un ressortissant tunisien de 26 ans en situation irrégulière et alcoolisé, a essayé de s’enfuir en menaçant le sacristain.
Soyons clairs : aucune menace ne pèse sur le droit à l’IVG dans ce pays.
Entendez que le terme « complotiste » signifie, en réalité, non pas tant les supposées « fake news » que toutes les sources d’information sur le vaccin qui échapperaient au contrôle de l’État.
Entendez cela, messieurs les « pros de la com’ ». Ce sont les soignants eux-mêmes qui refusent le vaccin. Cela signifie qu’on est face à une défiance du corps médical lui-même, ce qui est inédit et qui devrait vous alerter.
Avec Jean-Paul Hamon, on est sûr au moins d’une chose : on est monté d’un cran dans la finesse de la communication.
L’incident désastreux de ce chef d’entreprise, licencié pour un tweet, montre jusqu’où peut aller, aujourd’hui, la chasse aux sorcières contre ceux qui osent émettre un avis divergent sur l’avortement.
Comme il le disait récemment au sujet des opposants au passe sanitaire : « La liberté ne se conjugue pas au singulier. » Plus de liberté individuelle, donc, mais une grande marche forcée destinée à permettre le bien de tous.
Toutes les tyrannies se construisent sur ces procédés : unir une partie de la population contre une autre…
Pourvu que vous soyez du « bon bord politique », vous avez carte blanche pour dénigrer, insulter, mépriser ceux qui ne partagent pas vos idées.
On aimerait que le président de la République soit aussi prompt à se « rendre sur place » pour mesurer l’ampleur de l’incendie social qui est en train de se propager dans le pays.
La grande utopie sanitaire nous promet un avenir radieux : un avenir sous QR code.
Il n’est plus de liberté de circuler en France, mais par contre, il est toujours la liberté de tuer.
Bien que n’ayant hérité d’aucun portefeuille ministériel, Christian Estrosi continue à assurer le service après-vente de la politique sanitaire d’Emmanuel Macron, et la sienne.
On ne sait pas ce qu’est un « style néo-monacal au confort 5 étoiles »…
Ainsi, ce n’est plus un problème de réfléchir aux conditions par lesquelles on utilisera la reconnaissance faciale, c’est-à-dire la surveillance des citoyens, pour instaurer ce qui se passe déjà en Chine.
Le rapport de Reporters sans frontières (RSF) paru la semaine dernière fustige la « foxisation de l’information » comme une cause d’aggravation des tensions sociales en France.
Le skipper toulonnais Sébastien Destremau a décidé, face à la situation d’urgence touchant la population ukrainienne, d’organiser un convoi humanitaire pour venir en aide aux réfugiés.
Le mot d’ordre principal de cette marche du 16 janvier est de faire de la protection de la vie une grande cause nationale.
À ce stade, rien n’est encore fait et le futur hôtel des Polices ressemble toujours actuellement à ce qu’il est depuis des années : un hôpital désaffecté.
La campagne de Macron sera centrée sur la pandémie, certes, mais non pas pour s’enorgueillir de ses victoires (il n’ y en a pas), plutôt pour en désigner les responsables : les citoyens récalcitrants.
Solidarność a symbolisé le combat pour la liberté, et il continuera de le mener : quand on a réussi à faire tomber une dictature, cinq syndicats français, même appuyés par de puissants relais à la tête de la Commission européenne, ne font pas peur.
Sur le fond, il faut que les sénateurs se saisissent de la dimension psychologique évoquée par le chef de l’Etat en ouvrant la voie à la tenue d’états généraux de la périnatalité…
Le système du passe sanitaire conduit six millions de personnes hors de la société en les privant de toute une série de droits essentiels et de libertés fondamentales.
Face à de telles accusations, on ne peut rester indifférents et ne pas penser aux responsabilités immenses que devront assumer nos dirigeants…
Les Autrichiens non vaccinés ne pourront plus se rendre dans les commerces non essentiels ou aux traditionnels marchés de Noël.
Notre fils s’est enfermé dans sa chambre, il a pleuré une heure environ. Ensuite, il a eu l’idée de confectionner un bracelet, bracelet qu’il ne pourrait jamais lui donner, mais qu’il a posé sur son coin prière.
Claire Hédon, le Défenseur des droits, s’est exprimée mercredi matin pour dire son inquiétude au sujet de la fin du remboursement des tests de dépistage du Covid, qui s’apparenterait, selon elle, à « une obligation vaccinale déguisée ».
Le suspect, un ressortissant tunisien de 26 ans en situation irrégulière et alcoolisé, a essayé de s’enfuir en menaçant le sacristain.
Soyons clairs : aucune menace ne pèse sur le droit à l’IVG dans ce pays.
Entendez que le terme « complotiste » signifie, en réalité, non pas tant les supposées « fake news » que toutes les sources d’information sur le vaccin qui échapperaient au contrôle de l’État.
Entendez cela, messieurs les « pros de la com’ ». Ce sont les soignants eux-mêmes qui refusent le vaccin. Cela signifie qu’on est face à une défiance du corps médical lui-même, ce qui est inédit et qui devrait vous alerter.
Avec Jean-Paul Hamon, on est sûr au moins d’une chose : on est monté d’un cran dans la finesse de la communication.
L’incident désastreux de ce chef d’entreprise, licencié pour un tweet, montre jusqu’où peut aller, aujourd’hui, la chasse aux sorcières contre ceux qui osent émettre un avis divergent sur l’avortement.
Comme il le disait récemment au sujet des opposants au passe sanitaire : « La liberté ne se conjugue pas au singulier. » Plus de liberté individuelle, donc, mais une grande marche forcée destinée à permettre le bien de tous.
Toutes les tyrannies se construisent sur ces procédés : unir une partie de la population contre une autre…
Pourvu que vous soyez du « bon bord politique », vous avez carte blanche pour dénigrer, insulter, mépriser ceux qui ne partagent pas vos idées.
On aimerait que le président de la République soit aussi prompt à se « rendre sur place » pour mesurer l’ampleur de l’incendie social qui est en train de se propager dans le pays.
La grande utopie sanitaire nous promet un avenir radieux : un avenir sous QR code.
Il n’est plus de liberté de circuler en France, mais par contre, il est toujours la liberté de tuer.