C’est le blues du TER. Le budget alloué à l’entretien des petites lignes est insuffisant. À terme, certaines pourraient fermer tandis que la vétusté des autres amènerait les trains à rouler de moins en moins vite.
Ne serait-il pas plus prudent d’enfermer tous les Blancs hétéros à titre préventif ?
La monnaie sonnante et trébuchante n’est plus rien. Les transactions se règlent en bons sentiments.
Après douze allers et retours St-Brieuc-Paris, le passager s’est parfaitement intégré à la carlingue. Il fait partie des meubles, connaît les habitués, devise avec le commandant, raconte des blagues sur Darmanin.
Il faut, toutes affaires cessantes, envoyer sur le front médiatique les plus fines lames de ce nouveau gouvernement. Qu’ils expliquent à tous et toutes, celles z’et ceux compris, que le navire file droit vers des horizons radieux… Que le capitaine tient le cap.
Les riverains sont à bout. Des écrivains à la dérive se battent sous leurs fenêtres, des prix Goncourt agressent les enfants…
Lors du G7 qui se tenait en Allemagne, le plaisant Boris Johnson suggère à la cantonade d’apparaître en chemise sur la photo de famille officielle afin de rivaliser avec la virilité de celui qu’ils souhaitent affaiblir.
Au fil de l’avancée du progressisme, le délayage verbal vient semer le trouble entre la réalité et le mot simple censé la décrire.
La première phrase de la députée Sandrine Rousseau sera le signe annonciateur d’une révolution syntaxique broyant l’antique masculin-féminin en une formule qui fera date : « Bravo à vous pour la magnifique campagne que vous avez fait et faite.
Dimanche soir, au fil de l’annonce des résultats, les Français amateurs de franche rigolade blêmissaient.
Soucieux d’alerter l’électeur sur les dangers de l’extrémisme, les d’jeun’s avec Macron’s ont donné dans la fiction.
Le carrosse LFI se transforma en citrouille. Le courtisé de la veille avait mené sa campagne tambour battant et menaçait maintenant d’envahir l’Assemblée nationale.
Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.
Devant la photo des douze candidats investis par la NUPES en Seine Saint-Denis, Yassine Belattar blêmit : une seule personne semble issue de la diversité.
Le Rhône arrivait de la droite, la Marne ne l’a pas vu venir. Tout s’est mélangé. En réalité, la candidate est victime d’un dégât des eaux.
À défaut d’examiner la réalité, la sphère macronienne est en quête d’une bonne histoire.
Le conciliateur officiel du « vivre ensemble », Cyril Hanouna, invite alors la victime de cette hostilité générale à venir s’exprimer dans son émission.
Au son des « peuchère », « en carette » et autres « boudiou », l’automobiliste parisien qui n’aura pas vraiment compris le sens des indications revivra les affres de ses parents.
Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
À ce jour, aucun haltérophile n’est parvenu à soulever le casier judiciaire de Jawad Bendaoud.
La compétition s’enlise dans les marécages de la bien-pensance.
Une autre Sandrine Rousseau venue de Normandie se présente dans la 9e circonscription de Paris au nez et à la barbe de la version originale.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.
Pour ou contre le port d’un étui pénien dans l’espace public ? La question amuse les réseaux sociaux depuis qu’un Papou d’opérette a lancé sa revendication sur Twitter.
Opération camouflage oblige, l’habitant ne doit pas s’apercevoir que le prétendant député vient de débarquer dans un lieu dont il n’a jamais entendu parler.
Une formation en médecine menée de front avec des études en œnologie confère à Olivier Véran une compétence à nulle autre pareille.
Le signal pour faire partie de la croisière a été lancé. Aux côtés de la passagère postulante, Manuel Valls regrette de ne pas être apparu dans un costume vert et jaune. Le cumul des couleurs pouvait lui attirer les grâces du capitaine.
C’est le blues du TER. Le budget alloué à l’entretien des petites lignes est insuffisant. À terme, certaines pourraient fermer tandis que la vétusté des autres amènerait les trains à rouler de moins en moins vite.
Ne serait-il pas plus prudent d’enfermer tous les Blancs hétéros à titre préventif ?
La monnaie sonnante et trébuchante n’est plus rien. Les transactions se règlent en bons sentiments.
Après douze allers et retours St-Brieuc-Paris, le passager s’est parfaitement intégré à la carlingue. Il fait partie des meubles, connaît les habitués, devise avec le commandant, raconte des blagues sur Darmanin.
Il faut, toutes affaires cessantes, envoyer sur le front médiatique les plus fines lames de ce nouveau gouvernement. Qu’ils expliquent à tous et toutes, celles z’et ceux compris, que le navire file droit vers des horizons radieux… Que le capitaine tient le cap.
Les riverains sont à bout. Des écrivains à la dérive se battent sous leurs fenêtres, des prix Goncourt agressent les enfants…
Lors du G7 qui se tenait en Allemagne, le plaisant Boris Johnson suggère à la cantonade d’apparaître en chemise sur la photo de famille officielle afin de rivaliser avec la virilité de celui qu’ils souhaitent affaiblir.
Au fil de l’avancée du progressisme, le délayage verbal vient semer le trouble entre la réalité et le mot simple censé la décrire.
La première phrase de la députée Sandrine Rousseau sera le signe annonciateur d’une révolution syntaxique broyant l’antique masculin-féminin en une formule qui fera date : « Bravo à vous pour la magnifique campagne que vous avez fait et faite.
Dimanche soir, au fil de l’annonce des résultats, les Français amateurs de franche rigolade blêmissaient.
Soucieux d’alerter l’électeur sur les dangers de l’extrémisme, les d’jeun’s avec Macron’s ont donné dans la fiction.
Le carrosse LFI se transforma en citrouille. Le courtisé de la veille avait mené sa campagne tambour battant et menaçait maintenant d’envahir l’Assemblée nationale.
Jean-Luc Mélenchon a peur. À tout moment, un fou, un fanatique d’extrême droite ou un jobard de l’ultra-méga-extrême droite peut surgir et le faire passer de vie à trépas d’une quelconque manière.
Devant la photo des douze candidats investis par la NUPES en Seine Saint-Denis, Yassine Belattar blêmit : une seule personne semble issue de la diversité.
Le Rhône arrivait de la droite, la Marne ne l’a pas vu venir. Tout s’est mélangé. En réalité, la candidate est victime d’un dégât des eaux.
À défaut d’examiner la réalité, la sphère macronienne est en quête d’une bonne histoire.
Le conciliateur officiel du « vivre ensemble », Cyril Hanouna, invite alors la victime de cette hostilité générale à venir s’exprimer dans son émission.
Au son des « peuchère », « en carette » et autres « boudiou », l’automobiliste parisien qui n’aura pas vraiment compris le sens des indications revivra les affres de ses parents.
Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
À ce jour, aucun haltérophile n’est parvenu à soulever le casier judiciaire de Jawad Bendaoud.
La compétition s’enlise dans les marécages de la bien-pensance.
Une autre Sandrine Rousseau venue de Normandie se présente dans la 9e circonscription de Paris au nez et à la barbe de la version originale.
Par chance, l’animateur de l’émission a eu la bonne idée d’inviter le devin officiel de la République : Jacques Attali.
Pour ou contre le port d’un étui pénien dans l’espace public ? La question amuse les réseaux sociaux depuis qu’un Papou d’opérette a lancé sa revendication sur Twitter.
Opération camouflage oblige, l’habitant ne doit pas s’apercevoir que le prétendant député vient de débarquer dans un lieu dont il n’a jamais entendu parler.
Une formation en médecine menée de front avec des études en œnologie confère à Olivier Véran une compétence à nulle autre pareille.
Le signal pour faire partie de la croisière a été lancé. Aux côtés de la passagère postulante, Manuel Valls regrette de ne pas être apparu dans un costume vert et jaune. Le cumul des couleurs pouvait lui attirer les grâces du capitaine.