Quotidien pousse le bouchon un peu plus loin en pratiquant la délation auprès des forces de l’ordre.
Allez tenir ce discours si politiquement correct, Monsieur le secrétaire d’État, face aux familles de victimes de Nice dont l’assaillant venait d’être accueilli par la Croix-Rouge à Lampedusa.
Au-delà de la découverte des expositions permanentes et temporaires actuelles, il est possible d’accéder à des lieux normalement difficiles d’accès ou fermés pour des raisons de sécurité.
Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »
Voici quelques bonnes idées pour occuper ce confinement imposé, qui nous met de nouveau à l’arrêt, par ce qui ne s’invente pas : La République en marche !
Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…
Si certains semblent rassurés par cette nouvelle mesure, d’autres sont scandalisés de cette atteinte à l’intégrité physique et morale de leur progéniture.
Quant au ministère de l’Éducation, visiblement dépassé par cette double crise sanitaire et sécuritaire, il feint de ne pas voir le problème…
« La liberté de culte n’est pas négociable. Si commerces et écoles restent ouverts, les catholiques doivent avoir le droit d’assister à la messe. »
Comme le père Hamel, il y a quatre ans, ces trois personnes sont mortes sauvagement assassinées d’avoir pratiqué leur foi ou consacré leur vie à servir l’Église.
Constatant que nous sommes en guerre, « que le djihad est lancé contre la France », que « les cellules islamistes, suite à la décapitation de Samuel Paty, sont en train de se réactiver d’un coup sur tout le territoire », elle en appelle à un vote du peuple pour une vraie réforme constitutionnelle.
Un nouveau pas vient d’être franchi dans la dhimmitude de notre pays baptisé, jusque-là, France fille aînée de l’Église.
Qu’il soit réélu ou pas, il laisse ainsi son empreinte sur la politique américaine pour encore de nombreuses années.
Ce nouvel assujetissement apparaîtrait comme un moyen légitime et indispensable pour casser les courbes épidémiques dites catastrophiques.
Un livre à (re)lire à l’heure où Notre-Dame de Paris pleure le général Georgelin qui a tant œuvré pour elle.
Dimanche 8 novembre, ces 6 femmes et 27 hommes, déjà des héros, relèveront le défi de parcourir 21.638 milles soit 40.075 kilomètres.
Aux élus locaux de saisir cette chance pour valoriser leurs atouts…
Toute cette presse française bien-pensante et si habituée à critiquer les catholiques quand ils manifestent contre la PMA et la GPA jubile.
On le sent dans les profondeurs du pays : les mots ne suffisent plus, il faut des actes…
En limitant les mesures obligatoires imposées aux citoyens, les autorités suédoises misent donc sur la responsabilité individuelle. Les règles seront conseillées mais les amendes ne sont pas envisagées.
Derrière ces polémiques, l’on devine les motivations secrètes à l’encontre de ce haut lieu de dévotion.
Il est probable que cette possibilité attrayante de pouvoir s’entasser comme des pommes dans un logement social flambant neuf ne fasse pas rêver les familles…
« Il nous faudra nous rappeler aussi que notre pays, aujourd’hui, tient tout entier sur des femmes et des hommes que nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal », déclarait le Président dans un hommage vibrant et sonnant (mais pas trébuchant), le 13 avril.
A force d’interpréter de manière fallacieuse les courbes épidémiques, une partie de nos concitoyens vit désormais tétanisée et sans aucune gêne d’être à nouveau privée de libertés.
Les réfugiés ainsi logés en priorité pour une somme symbolique (75 euros par mois pour un studio de 24 mètres carrés près du Louvre) auraient bien tort de se priver de cette belle générosité.
Donald Trump ne devait pas être président. Il n’en avait pas le droit. Pas les codes.
Pauline Harmange et son livre Moi, les hommes, je les déteste ont les honneurs de Libé…
Quotidien pousse le bouchon un peu plus loin en pratiquant la délation auprès des forces de l’ordre.
Allez tenir ce discours si politiquement correct, Monsieur le secrétaire d’État, face aux familles de victimes de Nice dont l’assaillant venait d’être accueilli par la Croix-Rouge à Lampedusa.
Au-delà de la découverte des expositions permanentes et temporaires actuelles, il est possible d’accéder à des lieux normalement difficiles d’accès ou fermés pour des raisons de sécurité.
Plus ou moins consentants, nous serions manipulés, prêts à tout accepter de cette technocratie sanitaire et ce bio-pouvoir mis en place avec, en ligne de mire, « la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu […] le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine… »
Voici quelques bonnes idées pour occuper ce confinement imposé, qui nous met de nouveau à l’arrêt, par ce qui ne s’invente pas : La République en marche !
Qu’avons-nous à proposer à ces jeunes radicalisés qui ont soif d’idéal, en quête d’identité et de verticalité ? Une bûche surgelée devant la télé ? Et l’on s’étonne…
Si certains semblent rassurés par cette nouvelle mesure, d’autres sont scandalisés de cette atteinte à l’intégrité physique et morale de leur progéniture.
Quant au ministère de l’Éducation, visiblement dépassé par cette double crise sanitaire et sécuritaire, il feint de ne pas voir le problème…
« La liberté de culte n’est pas négociable. Si commerces et écoles restent ouverts, les catholiques doivent avoir le droit d’assister à la messe. »
Comme le père Hamel, il y a quatre ans, ces trois personnes sont mortes sauvagement assassinées d’avoir pratiqué leur foi ou consacré leur vie à servir l’Église.
Constatant que nous sommes en guerre, « que le djihad est lancé contre la France », que « les cellules islamistes, suite à la décapitation de Samuel Paty, sont en train de se réactiver d’un coup sur tout le territoire », elle en appelle à un vote du peuple pour une vraie réforme constitutionnelle.
Un nouveau pas vient d’être franchi dans la dhimmitude de notre pays baptisé, jusque-là, France fille aînée de l’Église.
Qu’il soit réélu ou pas, il laisse ainsi son empreinte sur la politique américaine pour encore de nombreuses années.
Ce nouvel assujetissement apparaîtrait comme un moyen légitime et indispensable pour casser les courbes épidémiques dites catastrophiques.
Un livre à (re)lire à l’heure où Notre-Dame de Paris pleure le général Georgelin qui a tant œuvré pour elle.
Dimanche 8 novembre, ces 6 femmes et 27 hommes, déjà des héros, relèveront le défi de parcourir 21.638 milles soit 40.075 kilomètres.
Aux élus locaux de saisir cette chance pour valoriser leurs atouts…
Toute cette presse française bien-pensante et si habituée à critiquer les catholiques quand ils manifestent contre la PMA et la GPA jubile.
On le sent dans les profondeurs du pays : les mots ne suffisent plus, il faut des actes…
En limitant les mesures obligatoires imposées aux citoyens, les autorités suédoises misent donc sur la responsabilité individuelle. Les règles seront conseillées mais les amendes ne sont pas envisagées.
Derrière ces polémiques, l’on devine les motivations secrètes à l’encontre de ce haut lieu de dévotion.
Il est probable que cette possibilité attrayante de pouvoir s’entasser comme des pommes dans un logement social flambant neuf ne fasse pas rêver les familles…
« Il nous faudra nous rappeler aussi que notre pays, aujourd’hui, tient tout entier sur des femmes et des hommes que nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal », déclarait le Président dans un hommage vibrant et sonnant (mais pas trébuchant), le 13 avril.
A force d’interpréter de manière fallacieuse les courbes épidémiques, une partie de nos concitoyens vit désormais tétanisée et sans aucune gêne d’être à nouveau privée de libertés.
Les réfugiés ainsi logés en priorité pour une somme symbolique (75 euros par mois pour un studio de 24 mètres carrés près du Louvre) auraient bien tort de se priver de cette belle générosité.
Donald Trump ne devait pas être président. Il n’en avait pas le droit. Pas les codes.
Pauline Harmange et son livre Moi, les hommes, je les déteste ont les honneurs de Libé…