Aujourd’hui démasquée, cette gauche bien-pensante et libérée prend des airs de vierge effarouchée.
En se substituant à la responsabilité des parents, l’État ne risque-t-il pas, encore une fois, de favoriser l’assistanat ?
Les Gaulois réfractaires se laisseront-ils convaincre par ce nouveau simulacre de démocratie participative ?
Parmi son lot de surprises, bonnes ou mauvaises, quelques dates se profilent déjà dans ce nouvel agenda…
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…
En pleine pandémie, même si, au Brésil, aucune loi ne s’oppose à l’organisation d’un tel événement, cette fiesta prévue durant cinq jours ne pouvait passer inaperçue et a suscité un véritable tollé.
Son tort ? Poser entouré de sa femme et ses deux filles devant le sapin de Noël et poster cette scène de bonheur familial sur les réseaux sociaux.
Dans ce conte populaire, les rois mages peuvent encore venir adorer l’Enfant, accompagnés « d’une armée de petits négrillons », sans susciter l’indignation collective des racialistes, la femme adultère est pardonnée et le brigadier n’a pas besoin de charger son pistolet.
Notre monde a bien changé. Nos aïeux sont désormais isolés et mis à distance de leurs petits-enfants pour les « protéger ». Quant à la messe de minuit, elle est ancrée dans les esprits comme un souvenir suranné.
L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?
En Égypte, l’islam est la religion d’État, et la charia islamique sa source principale de la législation.
Qu’importent les critiques d’une certaine caste journalistique, puisque malgré la multiplicité des chapelles, les fidèles sont nombreux à suivre sa grand-messe cathodique et ses traditions !
Ne dites plus jamais que la mère est une femme et le père est un homme.
Désormais, le sort de la deuxième fille de saint Bernard de Clairvaux (après l’abbaye de Cîteaux) semble acté. Sauf annulation de la délibération par la Justice ou… miracle !
Cinq jours après l’accident, les médecins engagent un protocole d’arrêt des traitements en fin de vie.
À quelques mètres de l’inégalable merveille de marbre sculptée par Michel-Ange, cette crèche est une insulte au bon goût.
On attend fébrilement la bonne parole venue d’en haut, sachant pertinemment que de la part d’un gouvernement qui ouvre les stations de ski sans les remontées mécaniques, ou qui permet l’installation de grandes roues sans ouverture au public, l’on peut s’attendre à tout.
Le message va plus loin encore, il valorise la lactation induite…
Etonnante façon de gouverner que de pondre des mesures inconsidérées…
Il y aura encore des cœurs avec des mains, des ballons colorés et de l’émotion parfaitement orchestrée lors de cette grand-messe cathodique au profit de la recherche génétique.
Les motifs exposés démontrent que ce n’est pas tant l’intérêt de l’enfant qui est pris en compte que celui des parents candidats à l’adoption…
Est-ce vraiment de plates-formes d’écoute et d’« une information générale et non stigmatisante sur le mal-être pour qu’il ne soit pas un sujet tabou » que nos agriculteurs ont besoin ?
Être bon en tapant dans un ballon suffit-il à commenter l’actualité dont, manifestement, on ne maîtrise ni les tenants ni les aboutissants ?
Après le débat sur la flèche, finalement tranché par Emmanuel Macron reconnaissant le consensus national autour d’une restauration à l’identique, l’archevêché de Paris évoque l’hypothèse d’intégrer des vitraux d’art contemporain et du mobilier du XXIe siècle.
Un conditionnement idéologique subversif pour leur inculquer, dès le plus jeune âge, des valeurs sociales bien ancrées dans le subconscient. Aldous Huxley en rêvait, le gouvernement macronien l’aura fait.
Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »
Pendant que l’affaire Daval défraie la chronique avec son lot de révélations voyeuristes, un autre procès a démarré le 16 novembre…
Solide comme un roc, le père Hovhannisyan prie, baptise, console et embrasse une dernière fois ses fidèles.
Aujourd’hui démasquée, cette gauche bien-pensante et libérée prend des airs de vierge effarouchée.
En se substituant à la responsabilité des parents, l’État ne risque-t-il pas, encore une fois, de favoriser l’assistanat ?
Les Gaulois réfractaires se laisseront-ils convaincre par ce nouveau simulacre de démocratie participative ?
Parmi son lot de surprises, bonnes ou mauvaises, quelques dates se profilent déjà dans ce nouvel agenda…
Alexander Neef a beau démentir la disparition de certaines œuvres, le processus est déjà lancé depuis plusieurs années…
En pleine pandémie, même si, au Brésil, aucune loi ne s’oppose à l’organisation d’un tel événement, cette fiesta prévue durant cinq jours ne pouvait passer inaperçue et a suscité un véritable tollé.
Son tort ? Poser entouré de sa femme et ses deux filles devant le sapin de Noël et poster cette scène de bonheur familial sur les réseaux sociaux.
Dans ce conte populaire, les rois mages peuvent encore venir adorer l’Enfant, accompagnés « d’une armée de petits négrillons », sans susciter l’indignation collective des racialistes, la femme adultère est pardonnée et le brigadier n’a pas besoin de charger son pistolet.
Notre monde a bien changé. Nos aïeux sont désormais isolés et mis à distance de leurs petits-enfants pour les « protéger ». Quant à la messe de minuit, elle est ancrée dans les esprits comme un souvenir suranné.
L’Église, dernier rempart moral dans cette société, ne vient-elle pas d’ouvrir une brèche dans laquelle certains ne manqueront pas de s’engouffrer ?
En Égypte, l’islam est la religion d’État, et la charia islamique sa source principale de la législation.
Qu’importent les critiques d’une certaine caste journalistique, puisque malgré la multiplicité des chapelles, les fidèles sont nombreux à suivre sa grand-messe cathodique et ses traditions !
Ne dites plus jamais que la mère est une femme et le père est un homme.
Désormais, le sort de la deuxième fille de saint Bernard de Clairvaux (après l’abbaye de Cîteaux) semble acté. Sauf annulation de la délibération par la Justice ou… miracle !
Cinq jours après l’accident, les médecins engagent un protocole d’arrêt des traitements en fin de vie.
À quelques mètres de l’inégalable merveille de marbre sculptée par Michel-Ange, cette crèche est une insulte au bon goût.
On attend fébrilement la bonne parole venue d’en haut, sachant pertinemment que de la part d’un gouvernement qui ouvre les stations de ski sans les remontées mécaniques, ou qui permet l’installation de grandes roues sans ouverture au public, l’on peut s’attendre à tout.
Le message va plus loin encore, il valorise la lactation induite…
Etonnante façon de gouverner que de pondre des mesures inconsidérées…
Il y aura encore des cœurs avec des mains, des ballons colorés et de l’émotion parfaitement orchestrée lors de cette grand-messe cathodique au profit de la recherche génétique.
Les motifs exposés démontrent que ce n’est pas tant l’intérêt de l’enfant qui est pris en compte que celui des parents candidats à l’adoption…
Est-ce vraiment de plates-formes d’écoute et d’« une information générale et non stigmatisante sur le mal-être pour qu’il ne soit pas un sujet tabou » que nos agriculteurs ont besoin ?
Être bon en tapant dans un ballon suffit-il à commenter l’actualité dont, manifestement, on ne maîtrise ni les tenants ni les aboutissants ?
Après le débat sur la flèche, finalement tranché par Emmanuel Macron reconnaissant le consensus national autour d’une restauration à l’identique, l’archevêché de Paris évoque l’hypothèse d’intégrer des vitraux d’art contemporain et du mobilier du XXIe siècle.
Un conditionnement idéologique subversif pour leur inculquer, dès le plus jeune âge, des valeurs sociales bien ancrées dans le subconscient. Aldous Huxley en rêvait, le gouvernement macronien l’aura fait.
Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »
Pendant que l’affaire Daval défraie la chronique avec son lot de révélations voyeuristes, un autre procès a démarré le 16 novembre…
Solide comme un roc, le père Hovhannisyan prie, baptise, console et embrasse une dernière fois ses fidèles.