Hier, le Duc d’Édimbourg a présidé pour la dernière fois une cérémonie de la Royal Navy.
Tonnerre de Zeus ! Il arrive donc à Jupiter d’être grossier.
Tout au long du mois d’août, Boulevard Voltaire nous emmène, via ses lecteurs, visiter les trésors méconnus de notre pays…
Une bombe, c’est symbolique ou c’est violent ?
Le bon sens près de chez vous : n’est-ce pas ainsi que l’on pourrait résumer la pensée politique de Jean Lassalle ?
Des séances houleuses, l’Assemblée en a connu, mais des pitoyables comme celle de cette semaine, rarement.
Pour défendre du haut de la tribune le projet de loi, Mme Bergé n’y est pas allée avec le dos de sa petite cuillère en vermeil.
L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.
François Bayrou pourra regarder devant son téléviseur l’œuvre de sa vie s’accomplir. Un peu comme ces cyclistes qui ont dû quitter le Tour pour claquage.
Traçons une vision claire de notre pays pour nos compatriotes. Pour cela, lisons, étudions notre histoire et pas seulement les sondages d’opinion !
Une telle attaque venant d’un tel héros n’est pas bien dangereuse.
Depuis quarante ans, c’est sur les doigts de la main que l’on compte les officiers généraux de très haut rang démissionnés ou démissionnaires.
Quelle mouche a donc piqué le président de la République ?
Le chef d’état-major des armées est un « technicien » de la défense. Son devoir est de dire si les moyens qui sont alloués aux armées sont suffisants.
Le gouvernement va faire comme tous les gouvernements depuis trente ans : se servir de la défense comme d’une variable d’ajustement du budget de l’Etat.
Manuel Valls va récupérer, à l’Assemblée nationale, le bureau qu’occupait François Fillon lors du précédent mandat.
On a du mal à voir sa ligne politique. Ou plutôt, on la voit se dessiner en creux, ce qui n’est pas du meilleur effet.
On a bien le droit de changer d’avis. Certains pourront même prétendre qu’il s’agit d’une mesure d’hygiène.
Mettons-nous un instant à leur place, aux LR. Juste un instant.
L’armée LR, sans chef, sans objectif, sans stratégie, déboussolée, voit ses divisions, ses incohérences s’exacerber.
Jadis, voire même autrefois, on s’enorgueillissait dans les milieux populaires de s’habiller « comme il faut » à certaines occasions.
Sagesse ou instinct de survie, les Français priorisent les problèmes.
Vendredi dernier, une cérémonie très particulière s’est déroulée à Aubagne, maison mère de la Légion étrangère.
Au fond, qu’est-ce que la morale dans la vie publique, en politique ?
Pas vraiment un scoop, ni un drame non plus, mais bon, un petit événement tout de même pour celui qui y était encarté depuis 1980.
Ségolène Royal vient d’apporter sa petite pierre personnelle à la lapidation du garde des Sceaux émérite.
Hier, le Duc d’Édimbourg a présidé pour la dernière fois une cérémonie de la Royal Navy.
Tonnerre de Zeus ! Il arrive donc à Jupiter d’être grossier.
Tout au long du mois d’août, Boulevard Voltaire nous emmène, via ses lecteurs, visiter les trésors méconnus de notre pays…
Une bombe, c’est symbolique ou c’est violent ?
Le bon sens près de chez vous : n’est-ce pas ainsi que l’on pourrait résumer la pensée politique de Jean Lassalle ?
Des séances houleuses, l’Assemblée en a connu, mais des pitoyables comme celle de cette semaine, rarement.
Pour défendre du haut de la tribune le projet de loi, Mme Bergé n’y est pas allée avec le dos de sa petite cuillère en vermeil.
L’honneur du général de Villiers est celui, tout simple, de la cohérence, chose assez rare aujourd’hui.
François Bayrou pourra regarder devant son téléviseur l’œuvre de sa vie s’accomplir. Un peu comme ces cyclistes qui ont dû quitter le Tour pour claquage.
Traçons une vision claire de notre pays pour nos compatriotes. Pour cela, lisons, étudions notre histoire et pas seulement les sondages d’opinion !
Une telle attaque venant d’un tel héros n’est pas bien dangereuse.
Depuis quarante ans, c’est sur les doigts de la main que l’on compte les officiers généraux de très haut rang démissionnés ou démissionnaires.
Quelle mouche a donc piqué le président de la République ?
Le chef d’état-major des armées est un « technicien » de la défense. Son devoir est de dire si les moyens qui sont alloués aux armées sont suffisants.
Le gouvernement va faire comme tous les gouvernements depuis trente ans : se servir de la défense comme d’une variable d’ajustement du budget de l’Etat.
Manuel Valls va récupérer, à l’Assemblée nationale, le bureau qu’occupait François Fillon lors du précédent mandat.
On a du mal à voir sa ligne politique. Ou plutôt, on la voit se dessiner en creux, ce qui n’est pas du meilleur effet.
On a bien le droit de changer d’avis. Certains pourront même prétendre qu’il s’agit d’une mesure d’hygiène.
Mettons-nous un instant à leur place, aux LR. Juste un instant.
L’armée LR, sans chef, sans objectif, sans stratégie, déboussolée, voit ses divisions, ses incohérences s’exacerber.
Jadis, voire même autrefois, on s’enorgueillissait dans les milieux populaires de s’habiller « comme il faut » à certaines occasions.
Sagesse ou instinct de survie, les Français priorisent les problèmes.
Vendredi dernier, une cérémonie très particulière s’est déroulée à Aubagne, maison mère de la Légion étrangère.
Au fond, qu’est-ce que la morale dans la vie publique, en politique ?
Pas vraiment un scoop, ni un drame non plus, mais bon, un petit événement tout de même pour celui qui y était encarté depuis 1980.
Ségolène Royal vient d’apporter sa petite pierre personnelle à la lapidation du garde des Sceaux émérite.
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