Attentat de Nice, exactions turques : la France affaiblie, attaquée de toutes parts

manif turcs

Avec l'attentat à la basilique Notre-Dame à Nice, le mode opératoire comme le choix de la cible est clairement une attaque contre notre civilisation et notre nation.

La France est dans le collimateur d'un l'islam conquérant, désormais rassemblé sous la bannière au croissant rouge d'Erdoğan. Si nos dirigeants étaient moins naïfs, moins angéliques, moins compromis avec leurs clientèles musulmanes, ils auraient pu largement prévoir la situation dans laquelle nous nous trouvons. Et défendre notre pays. Surtout en ce moment précis, avec la tension qui monte, et cet islam qui déverse via un certain nombre de chefs d'État, et désormais sans aucune crainte apparente, son hostilité envers notre pays, notre civilisation, nos mœurs et modes de vie.

Cela fait des années que nous annonçons, moi comme tant d'autres, l'imminence d'une guerre civile en France. Jusqu'à ce sinistre 14 octobre, nous n'avons jamais essuyé que des quolibets, procès en racisme, islamophobie, fascisme, nazisme et toutes sortes de noms d'oiseaux. Il ne fallait pourtant pas être un génie visionnaire pour rapprocher la présence sur notre sol d'environ 25 % de la population musulmane d'Europe et la recrudescence d'attentats terroristes, mais aussi d'actes de sauvagerie, d'attaques au couteau, de guérilla contre l'autorité. Seuls des aveugles pouvaient ne pas voir cela, à part, bien sûr, les aveugles de circonstance, ceux qui ne voient que ce qu'ils veulent voir et dont certains continuent encore à parler du terrorisme d'extrême droite comme du principal fléau - dixit Mélenchon récemment. Le malheur de la France est la trahison de ses élites, si promptes à évoquer Hitler et le nazisme, mais qui se comportent depuis des années comme ces « Munichois » qui préféraient lâchement laisser le mal prospérer, croyant sans doute qu'il allait les épargner, plutôt que de l'affronter.

Aujourd'hui, la cinquième colonne de l'islam conquérant est là, bien là, sûre d'elle-même et décidée à en découdre. Elle vient de frapper par deux fois en moins de douze heures, et juste après les annonces martiales de Macron. Comme un défi à l'autorité de ce pays, comme pour montrer qu'eux se moquent des décisions d'un gouvernement qui ne peut plus, désormais, les atteindre. Comme l'ont démontré les Turcs de la région lyonnaise, mercredi soir, rassemblés par centaines, peut-être à l'initiative des « Loups gris », pour chasser de l'Arménien aux cris de "Allah Akbar" ; mais aussi, et surtout, pour humilier la France, son gouvernement, il est vrai si veule, si incapable, et apporter à Erdoğan une nouvelle et facile victoire, en terre ennemie qui plus est.

La conquête islamiste de l'Europe est en marche. C'est par la France, le maillon faible, aveuglée par l'universalisme et le droit-de-l'hommisme, qu'elle commence. Et pour l'arrêter, il nous faudra des chefs de guerre d'une autre trempe que Macron et Merkel…

Olivier Piacentini
Olivier Piacentini
Ecrivain, politologue

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