Maintenant c’est de la France et de sa civilisation, de son génie, de son histoire, de sa culture qu’il s’agit en premier lieu.
« Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es », dit l’adage. Emmanuel Macron devrait surveiller ses fréquentations.
Il s’agit de mettre au pouvoir directement les hommes de la caste financière, atlantiste, mondialiste, alignée sur Bruxe
Le collectif « Libérez ma pilule » lance un appel pour la délivrance d’une pilule contraceptive sans ordonnance.
Le vote Marine Le Pen, c’est aussi celui de ceux qui ressentent ou voient le danger mortel.
Le marcheur sous-entend que tous ceux qui ne sont pas ses partisans seraient des « réactionnaires ». Une vision aussi manichéenne que mensongère.
Eh oui, tout arrive et certaines tendances peuvent aussi se renverser…
Il semblerait qu’une grande majorité des Français (environ les deux tiers) n’est pas du tout satisfaite du choix qui lui est laissé au second tour.
Dans la série « Les Français, ces électeurs paradoxaux », les épisodes se suivent et se ressemblent.
Serge Federbusch analyse les scores très élevés d’Emmanuel Macron – et les scores très mauvais de Marine Le Pen – à Paris.
C’est une information qui n’a pas fait grand bruit, tout juste un petit chuintement…
Très grande proximité du couple politico-médiatique dans son exercice au service d’Emmanuel Macron…
Les « Survivants » ont recouvert le métro de Paris avec les vainqueurs du premier tour en les appelant à prendre à bras-le-corps le sujet de l’avortement.
Tout est sur la table, rien n’est caché, le choix est d’une absolue clarté.
L’urgence, le problème absolu, c’est l’immigration !
Si une majorité préfère Le Pen, non seulement celle-ci l’emportera, mais les dirigeants du parti Les Républicains perdront la face.
Elle s’oppose fort logiquement depuis plus de quatre ans à la destruction systématique de la famille, ce rempart entre l’individu et le marché.
Difficile de trouver personnalité politique plus archétypale de tout ce qui, en politique, révulse les Français et décourage les électeurs.
Ce que révèle – enfin ! – cette video est un scandale. Regardez…
La lecture de l’éditorial de Jean-Pierre Denis, directeur de La Vie, daté du 23 avril, m’a plongé dans la perplexité.
Mieux vaudrait enseigner aux élèves, le plus objectivement possible, tous les faits historiques…
Une arme comme le vote ne doit-elle pas, elle aussi, être, comme toutes les autres armes, réglementée ?
Marine Le Pen a montré une grande empathie à l’égard de ces ouvriers français, sacrifiés sur l’autel des profits.
Nicolas Dhuicq refuse de voter pour Emmanuel Macron : les idées de celui-ci sont destructrices pour la nation.
La lente agonie, ponctuée de soubresauts grotesques, de ces partis naguère donnés pour être de gouvernement est un émerveillement de chaque instant.
Votre bulletin de vote le 7 mai pourrait faire avancer les choses. Offrez-vous ce frisson car il est sans danger.
Les médias étrangers n’ont guère différé de leurs homologues français dans le traitement de l’information.
Trop de monde sur le coup. Ça se bouscule, ça joue des coudes. « Je l’ai dit le premier ! » « Non, c’est moi, j’étais là avant ! »
Maintenant c’est de la France et de sa civilisation, de son génie, de son histoire, de sa culture qu’il s’agit en premier lieu.
« Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es », dit l’adage. Emmanuel Macron devrait surveiller ses fréquentations.
Il s’agit de mettre au pouvoir directement les hommes de la caste financière, atlantiste, mondialiste, alignée sur Bruxe
Le collectif « Libérez ma pilule » lance un appel pour la délivrance d’une pilule contraceptive sans ordonnance.
Le vote Marine Le Pen, c’est aussi celui de ceux qui ressentent ou voient le danger mortel.
Le marcheur sous-entend que tous ceux qui ne sont pas ses partisans seraient des « réactionnaires ». Une vision aussi manichéenne que mensongère.
Eh oui, tout arrive et certaines tendances peuvent aussi se renverser…
Il semblerait qu’une grande majorité des Français (environ les deux tiers) n’est pas du tout satisfaite du choix qui lui est laissé au second tour.
Dans la série « Les Français, ces électeurs paradoxaux », les épisodes se suivent et se ressemblent.
Serge Federbusch analyse les scores très élevés d’Emmanuel Macron – et les scores très mauvais de Marine Le Pen – à Paris.
C’est une information qui n’a pas fait grand bruit, tout juste un petit chuintement…
Très grande proximité du couple politico-médiatique dans son exercice au service d’Emmanuel Macron…
Les « Survivants » ont recouvert le métro de Paris avec les vainqueurs du premier tour en les appelant à prendre à bras-le-corps le sujet de l’avortement.
Tout est sur la table, rien n’est caché, le choix est d’une absolue clarté.
L’urgence, le problème absolu, c’est l’immigration !
Si une majorité préfère Le Pen, non seulement celle-ci l’emportera, mais les dirigeants du parti Les Républicains perdront la face.
Elle s’oppose fort logiquement depuis plus de quatre ans à la destruction systématique de la famille, ce rempart entre l’individu et le marché.
Difficile de trouver personnalité politique plus archétypale de tout ce qui, en politique, révulse les Français et décourage les électeurs.
Ce que révèle – enfin ! – cette video est un scandale. Regardez…
La lecture de l’éditorial de Jean-Pierre Denis, directeur de La Vie, daté du 23 avril, m’a plongé dans la perplexité.
Mieux vaudrait enseigner aux élèves, le plus objectivement possible, tous les faits historiques…
Une arme comme le vote ne doit-elle pas, elle aussi, être, comme toutes les autres armes, réglementée ?
Marine Le Pen a montré une grande empathie à l’égard de ces ouvriers français, sacrifiés sur l’autel des profits.
Nicolas Dhuicq refuse de voter pour Emmanuel Macron : les idées de celui-ci sont destructrices pour la nation.
La lente agonie, ponctuée de soubresauts grotesques, de ces partis naguère donnés pour être de gouvernement est un émerveillement de chaque instant.
Votre bulletin de vote le 7 mai pourrait faire avancer les choses. Offrez-vous ce frisson car il est sans danger.
Les médias étrangers n’ont guère différé de leurs homologues français dans le traitement de l’information.
Trop de monde sur le coup. Ça se bouscule, ça joue des coudes. « Je l’ai dit le premier ! » « Non, c’est moi, j’étais là avant ! »