Terrorisme
L’Ivoirien a servi d’intermédiaire dans l’acquisition du revolver utilisé par Cherif Chekatt lors de l’attentat.
Exercice de contorsion ce 11 mars à Arras, lieu de l’assassinat de Dominique Bernard : on dénonce « l’obscurantisme ».
À nos yeux de séculiers ayant tout oublié de la théocratie, le fanatisme religieux prend les traits de la folie.
Depuis longtemps, le boucher musulman – à deux doigts d’être un boucher islamiste – aurait dû éveiller les soupçons.
Une bonne occasion de savoir si Gérald Darmanin compte réellement passer aux actes.
Puisque la maison France laisse sa porte d’entrée ouverte à tous vents, il faut bien fouiller les chambres.
Certains médias ont choisi délibérément de mettre en avant la menace terroriste d’ultra-droite.
Selon une source proche du dossier, « il était déterminé à fabriquer des explosifs ».
Une banalisation – voire un déni – qui en dit long sur l’état social du pays.
Selon les informations du Figaro, les deux individus « Éric, un Français de 51 ans, et Abdelwahed, 29 ans, se disant Libyen mais étant a priori
Les mosquées, elles, sont pleines tous les vendredis, à la différence des églises, et on n’a jamais vu un catholique ou un juif entrer à l’heure de la prière et égorger l’imam devant tout le monde.
À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.
« Sonia » a porté plainte contre la production du film Novembre, de Cédric Jimenez, qui raconte cette nuit de carnage.
« L’homme a en outre crié plusieurs fois « Allahu Akbar » pendant l’exécution des faits », rapporte également la police locale.
Une attaque qui relance brutalement la question de l’insurrection islamiste, qui dure depuis 15 ans, face au gouvernement fédéral.
Le dernier rapport d’Europol sur les tendances du terrorisme au sein de l’Union européenne est angoissant. Tandis que le djihadiste se calme, l’exalté d’extrême droite prolifère.
« Aujourd’hui, la question principale n’est plus de savoir si un attentat sera commis sur le territoire national, mais quand. »
L’affaire illustre à merveille la situation humiliante de la France vis-à-vis des pays du Maghreb. Une situation qui dure.
Pour l’avocat, certains sont tellement biberonnés à la cause palestinienne qu’ils en perdent toute capacité d’objectivité.
« Vous avez mon amour ! Je vous demande pardon ! » « J’ai un doute sur votre sincérité », réplique la sœur du père Hamel.
L’agresseur, quant à lui, aurait été « blessé par balle » par un autre policier, et son pronostic vital serait engagé.
L’institution est prise au piège. On ne peut pas, d’un côté, prôner le respect de la liberté de conscience et bafouer avec violence, lors de débats, la conscience des élèves sur ce sujet si intime qu’est leur religion.
Pour Marc Trévidic, le risque devient aussi inquiétant que lors des attentats de 2015.
la police a découvert un autre dossier sur ce disque dur, intitulé « Targets ». Ce dossier fait référence à un attentat qui ne semble pas avoir été anticipé, et qui aurait dû se dérouler à La Défense. Dans ce dossier apparaissent deux sous-dossiers : « Défense » et « Jeunesses catholiques ».
Si Emmanuel Macron et Jean Castex avaient dépensé le quart de l’énergie, de la communication et des interdictions qu’ils nous imposent sur le Covid, nous pourrions croire à leur détermination à lutter contre l’islamisme.
La victime est un enseignant du collège du Bois d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine. L’homme aurait montré les caricatures de Mahomet durant un cours, ce qui aurait motivé l’acte du tueur.
Il dit venir de Kothli Kazi, un village du district agricole de Mandi du Pendjab au Pakistan.
Hasard du calendrier : le jour même où Ali commet son acte terroriste, Éric Zemmour se voit condamné par les magistrats de la 17e chambre correctionnelle de Paris…
L’Ivoirien a servi d’intermédiaire dans l’acquisition du revolver utilisé par Cherif Chekatt lors de l’attentat.
Exercice de contorsion ce 11 mars à Arras, lieu de l’assassinat de Dominique Bernard : on dénonce « l’obscurantisme ».
À nos yeux de séculiers ayant tout oublié de la théocratie, le fanatisme religieux prend les traits de la folie.
Depuis longtemps, le boucher musulman – à deux doigts d’être un boucher islamiste – aurait dû éveiller les soupçons.
Une bonne occasion de savoir si Gérald Darmanin compte réellement passer aux actes.
Puisque la maison France laisse sa porte d’entrée ouverte à tous vents, il faut bien fouiller les chambres.
Certains médias ont choisi délibérément de mettre en avant la menace terroriste d’ultra-droite.
Selon une source proche du dossier, « il était déterminé à fabriquer des explosifs ».
Une banalisation – voire un déni – qui en dit long sur l’état social du pays.
Selon les informations du Figaro, les deux individus « Éric, un Français de 51 ans, et Abdelwahed, 29 ans, se disant Libyen mais étant a priori
Les mosquées, elles, sont pleines tous les vendredis, à la différence des églises, et on n’a jamais vu un catholique ou un juif entrer à l’heure de la prière et égorger l’imam devant tout le monde.
À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.
« Sonia » a porté plainte contre la production du film Novembre, de Cédric Jimenez, qui raconte cette nuit de carnage.
« L’homme a en outre crié plusieurs fois « Allahu Akbar » pendant l’exécution des faits », rapporte également la police locale.
Une attaque qui relance brutalement la question de l’insurrection islamiste, qui dure depuis 15 ans, face au gouvernement fédéral.
Le dernier rapport d’Europol sur les tendances du terrorisme au sein de l’Union européenne est angoissant. Tandis que le djihadiste se calme, l’exalté d’extrême droite prolifère.
« Aujourd’hui, la question principale n’est plus de savoir si un attentat sera commis sur le territoire national, mais quand. »
L’affaire illustre à merveille la situation humiliante de la France vis-à-vis des pays du Maghreb. Une situation qui dure.
Pour l’avocat, certains sont tellement biberonnés à la cause palestinienne qu’ils en perdent toute capacité d’objectivité.
« Vous avez mon amour ! Je vous demande pardon ! » « J’ai un doute sur votre sincérité », réplique la sœur du père Hamel.
L’agresseur, quant à lui, aurait été « blessé par balle » par un autre policier, et son pronostic vital serait engagé.
L’institution est prise au piège. On ne peut pas, d’un côté, prôner le respect de la liberté de conscience et bafouer avec violence, lors de débats, la conscience des élèves sur ce sujet si intime qu’est leur religion.
Pour Marc Trévidic, le risque devient aussi inquiétant que lors des attentats de 2015.
la police a découvert un autre dossier sur ce disque dur, intitulé « Targets ». Ce dossier fait référence à un attentat qui ne semble pas avoir été anticipé, et qui aurait dû se dérouler à La Défense. Dans ce dossier apparaissent deux sous-dossiers : « Défense » et « Jeunesses catholiques ».
Si Emmanuel Macron et Jean Castex avaient dépensé le quart de l’énergie, de la communication et des interdictions qu’ils nous imposent sur le Covid, nous pourrions croire à leur détermination à lutter contre l’islamisme.
La victime est un enseignant du collège du Bois d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine. L’homme aurait montré les caricatures de Mahomet durant un cours, ce qui aurait motivé l’acte du tueur.
Il dit venir de Kothli Kazi, un village du district agricole de Mandi du Pendjab au Pakistan.
Hasard du calendrier : le jour même où Ali commet son acte terroriste, Éric Zemmour se voit condamné par les magistrats de la 17e chambre correctionnelle de Paris…
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