Justice
Chaque fois que la gauche déniche une égérie capable de valider ses théories diversitaires, le réel rattrape les naïfs.
En 2018, 3 hommes et 2 femmes avaient été inquiétés par la justice pour avoir emmuré les locaux du Bastion social.
Depuis 2020, 300 individus condamnés pour des faits de terrorisme en lien avec l’idéologie djihadiste ont été libérés.
Au lendemain de l’acquittement du garde des sceaux, 51% des sondés n’accordent pas leur confiance à la Justice française
En novembre 2022, l’association avait demandé à la Justice de condamner l’État pour « inaction sécuritaire ».
Cette façon de procéder, attentatoire à la présomption d’innocence, devient malheureusement monnaie courante.
En réalité, les juges disposent d’un arsenal juridique extrêmement élargi, s’ils souhaitaient, vraiment, mettre hors d’état de nuire les Black Blocs.
Désormais, soyez donc méfiant ! Pensez à éviter tous propos litigieux envers les sous-groupes regroupés en groupe !
Le tribunal, ayant jugé « irrégulière la procédure de reprise des lieux », condamne le propriétaire à verser 2.000 euros à ses squatteurs.
Quand le tribunal appelle l’affaire et vérifie les parties en présence, côté prévenu, seule l’avocate s’approche de la barre. Son client est absent. Elle tente de justifier son attitude.
Il faut supprimer l’École nationale de la magistrature !
À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.
Ce mardi 22 novembre comparaissaient ainsi devant le tribunal d’Auch (Gers) des membres éminents de Dernière Rénovation. Plus sérieux, on apprend que des producteurs de fruits et légumes déposent plainte contre Julien Bayou.
Ce mercredi 31 août, l’audience qui se tient devant le Conseil supérieur de la magistrature ne devrait pas permettre de redorer le blason du garde des Sceaux.
Si la Justice punissait les délinquants de manière dissuasive, l’insécurité diminuerait drastiquement en France, c’est une certitude.
Tout cela sert l’idéologie appelée « antispéciste », forgée par des militants pour servir la cause de la libération animale.
Une telle politique est catastrophique : outre l’impunité, aux effets délétères, elle constitue surtout un déni de justice envers la société et, au premier chef, envers les victimes.
Les démolisseurs et voyous du 1er Mai attrapés par la police comparaissent devant la juge Isabelle Prévost-Desprez. Qui sont-ils ?
« Justice pour Théo ! » Ce jeudi 7 avril, c’est chose faite. Ainsi le tribunal de Bobigny vient-il de condamner les trois frères Luhaka, Mickaël, Grégory et… Théo, pour « escroquerie ».
Privées de moyens humains et financiers, police, Justice et administration pénitentiaire ne peuvent mener à bien leur mission de répression des infractions pénales et de sauvegarde de l’ordre public, pour le plus grand malheur des Français.
« Pour prétendre à davantage, il faut trente jours d’ITT. Et, donc, sur ces 1.000 euros, l’État vous en prendra 360 pour payer mes frais. »
Augmenter sans cesse la manne financière ne sert à rien sans une profonde réforme. Celle-ci passera par trois axes majeurs : décharger, former, sanctionner.
Tandis que, ce 18 octobre, Emmanuel Macron lance les états généraux de la Justice afin de redonner confiance aux Français dans leurs institutions judiciaires, Guillaume
De gadgets en mesurettes, la politique pénale s’égare. La dernière idée du gouvernement consiste à réformer le « rappel à la loi » pour y
Les rares organes de presse ayant relaté la première journée de ce procès se comptent sur les doigts d’une seule main.
La nouvelle purge administrée à l’institution par Dupond-Moretti a toutes les chance d’achever une institution qui n’en demandait pas tant.
Toutes les réformes de l’institution judiciaire n’y changeront rien. Si les hommes ont perdu le sens moral, aucune loi ne les rendra meilleurs ou moins mauvais…
Le terrorisme est une catégorie criminelle à part et les juges s’abusent quand ils lui appliquent les grilles judiciaires ordinaires.
Chaque fois que la gauche déniche une égérie capable de valider ses théories diversitaires, le réel rattrape les naïfs.
En 2018, 3 hommes et 2 femmes avaient été inquiétés par la justice pour avoir emmuré les locaux du Bastion social.
Depuis 2020, 300 individus condamnés pour des faits de terrorisme en lien avec l’idéologie djihadiste ont été libérés.
Au lendemain de l’acquittement du garde des sceaux, 51% des sondés n’accordent pas leur confiance à la Justice française
En novembre 2022, l’association avait demandé à la Justice de condamner l’État pour « inaction sécuritaire ».
Cette façon de procéder, attentatoire à la présomption d’innocence, devient malheureusement monnaie courante.
En réalité, les juges disposent d’un arsenal juridique extrêmement élargi, s’ils souhaitaient, vraiment, mettre hors d’état de nuire les Black Blocs.
Désormais, soyez donc méfiant ! Pensez à éviter tous propos litigieux envers les sous-groupes regroupés en groupe !
Le tribunal, ayant jugé « irrégulière la procédure de reprise des lieux », condamne le propriétaire à verser 2.000 euros à ses squatteurs.
Quand le tribunal appelle l’affaire et vérifie les parties en présence, côté prévenu, seule l’avocate s’approche de la barre. Son client est absent. Elle tente de justifier son attitude.
Il faut supprimer l’École nationale de la magistrature !
À Nice, la liste des victimes compte des vieillards, des mères et pères de famille, des touristes, des jeunes mais aussi des enfants. Beaucoup d’enfants.
Ce mardi 22 novembre comparaissaient ainsi devant le tribunal d’Auch (Gers) des membres éminents de Dernière Rénovation. Plus sérieux, on apprend que des producteurs de fruits et légumes déposent plainte contre Julien Bayou.
Ce mercredi 31 août, l’audience qui se tient devant le Conseil supérieur de la magistrature ne devrait pas permettre de redorer le blason du garde des Sceaux.
Si la Justice punissait les délinquants de manière dissuasive, l’insécurité diminuerait drastiquement en France, c’est une certitude.
Tout cela sert l’idéologie appelée « antispéciste », forgée par des militants pour servir la cause de la libération animale.
Une telle politique est catastrophique : outre l’impunité, aux effets délétères, elle constitue surtout un déni de justice envers la société et, au premier chef, envers les victimes.
Les démolisseurs et voyous du 1er Mai attrapés par la police comparaissent devant la juge Isabelle Prévost-Desprez. Qui sont-ils ?
« Justice pour Théo ! » Ce jeudi 7 avril, c’est chose faite. Ainsi le tribunal de Bobigny vient-il de condamner les trois frères Luhaka, Mickaël, Grégory et… Théo, pour « escroquerie ».
Privées de moyens humains et financiers, police, Justice et administration pénitentiaire ne peuvent mener à bien leur mission de répression des infractions pénales et de sauvegarde de l’ordre public, pour le plus grand malheur des Français.
« Pour prétendre à davantage, il faut trente jours d’ITT. Et, donc, sur ces 1.000 euros, l’État vous en prendra 360 pour payer mes frais. »
Augmenter sans cesse la manne financière ne sert à rien sans une profonde réforme. Celle-ci passera par trois axes majeurs : décharger, former, sanctionner.
Tandis que, ce 18 octobre, Emmanuel Macron lance les états généraux de la Justice afin de redonner confiance aux Français dans leurs institutions judiciaires, Guillaume
De gadgets en mesurettes, la politique pénale s’égare. La dernière idée du gouvernement consiste à réformer le « rappel à la loi » pour y
Les rares organes de presse ayant relaté la première journée de ce procès se comptent sur les doigts d’une seule main.
La nouvelle purge administrée à l’institution par Dupond-Moretti a toutes les chance d’achever une institution qui n’en demandait pas tant.
Toutes les réformes de l’institution judiciaire n’y changeront rien. Si les hommes ont perdu le sens moral, aucune loi ne les rendra meilleurs ou moins mauvais…
Le terrorisme est une catégorie criminelle à part et les juges s’abusent quand ils lui appliquent les grilles judiciaires ordinaires.