Presse
Les influences étrangères sur des acteurs médiatiques ou politiques, ça n’existe plus, voyons !
Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.
La dimension religieuse de la Nativité semble passer totalement par-dessus la tête de Libé.
Et le pire, c’est que l’AFP s’appuie sur des arguments pseudo-éthiques pour justifier son refus de dire… la vérité.
Cet épisode déplorable discrédite une nouvelle fois la presse bien-pensante.
C’est en même temps, quand voulant faire plaisir à tel ou tel, qu’on finit par se fâcher avec tout le monde.
Karl Olive avait été L’invité de BV, le 6 novembre dernier.
Le journaliste prendra ses fonctions à la tête de l’hebdomadaire malgré la grève des journalistes.
Quand un homme politique au pouvoir se décidera-t-il à couper clair ces financements publics ?
L’humour à deux balles des révolutionnaires en peau de lapin ne fait plus rire grand monde, alors il faut en rajouter
La presse étrangère balance entre comptes rendus mécaniques et petites interprétations.
Derrière sa volonté de défendre la liberté de la presse, la gauche souhaite conserver les terres qui lui sont acquises.
Après Charlotte d’Ornellas et Gilles-William Goldnadel, c’est au tour de Raphaël Stainville
C’était il y a un an, jour pour jour, le 19 juin 2022 : le RN créait la surprise en envoyant 89 députés à l’Assemblée.
Les extrêmes, c’est comme les casseurs pour la mairie de Lyon : il y a les bons et les mauvais.
Voilà donc Madame Figaro saisie elle aussi par la crise qui démange toute la société.
Joyeux anniversaire quand même à Libération qui n’a jamais aussi mal porté son nom qu’aujourd’hui.
Pendant que la gauche joue à se faire peur en imaginant le bruit des bottes, la droite demande simplement à faire son travail.
Dans son numéro du mois de mars, le mensuel L’Incorrect a mis en une un débat entre le président de Génération Z Stanislas Rigault, le président du RNJ Pierre-Romain Thionnet et celui des jeunes LR Guilhem Carayon. Ces jeunes se parlent et ne s’embarrassent pas de ce qui est fréquentable ou non.
Au Quotidien de Paris, Tesson laisse la bride sur le cou de ses journalistes. Parmi eux, un certain Éric Zemmour qui lui a rendu hommage.
La seule question intéressante est celle-ci : la publication de nouvelles caricatures obscènes va-t-elle améliorer le sort des femmes iraniennes ?
Si Charlie Hebdo a parfaitement le droit de s’exprimer en toute liberté – et ce n’est pas BV qui lui récusera ce droit -, doit-on forcément approuver tout ce que fait Charlie Hebdo ?
Une femme nue en position gynécologique, les jambes écartées, accueille dans son vagin, marchant en file indienne, des religieux iraniens. En titre de cette nouvelle une du journal satirique : « Mollahs, retournez d’où vous venez ! »
On ne sait aujourd’hui ce qui, de cette omerta ou du caractère systémique de ce meurtre, est le plus épouvantable. En fait, les deux sont liés.
On ne parle pas ici du viol d’une Ukrainienne de 55 ans par un Guinéen de 27 ans. Non, on parle de l’odieuse « instrumentalisation » qu’en a faite Giorgia Meloni…
C’est le bad buzz de la journée : la déclaration officielle de la Société des journalistes de Paris Match qui « s’indigne » (sic) de voir le cardinal Sarah sur la couverture glacée du dernier numéro.
Le journaliste du Point, Aziz Zemouri, auteur de l’article, a été mis à pied et convoqué à un entretien préalable à un possible licenciement le vendredi 24 juin.
Alors Marine Le Pen a perdu, mais cette présidentielle signe surtout l’absolue défaite de la pluralité de la presse.
Les influences étrangères sur des acteurs médiatiques ou politiques, ça n’existe plus, voyons !
Stanislas est, pour la gauche, la statue du Commandeur. Un reproche vivant. La preuve de leur échec patent.
La dimension religieuse de la Nativité semble passer totalement par-dessus la tête de Libé.
Et le pire, c’est que l’AFP s’appuie sur des arguments pseudo-éthiques pour justifier son refus de dire… la vérité.
Cet épisode déplorable discrédite une nouvelle fois la presse bien-pensante.
C’est en même temps, quand voulant faire plaisir à tel ou tel, qu’on finit par se fâcher avec tout le monde.
Karl Olive avait été L’invité de BV, le 6 novembre dernier.
Le journaliste prendra ses fonctions à la tête de l’hebdomadaire malgré la grève des journalistes.
Quand un homme politique au pouvoir se décidera-t-il à couper clair ces financements publics ?
L’humour à deux balles des révolutionnaires en peau de lapin ne fait plus rire grand monde, alors il faut en rajouter
La presse étrangère balance entre comptes rendus mécaniques et petites interprétations.
Derrière sa volonté de défendre la liberté de la presse, la gauche souhaite conserver les terres qui lui sont acquises.
Après Charlotte d’Ornellas et Gilles-William Goldnadel, c’est au tour de Raphaël Stainville
C’était il y a un an, jour pour jour, le 19 juin 2022 : le RN créait la surprise en envoyant 89 députés à l’Assemblée.
Les extrêmes, c’est comme les casseurs pour la mairie de Lyon : il y a les bons et les mauvais.
Voilà donc Madame Figaro saisie elle aussi par la crise qui démange toute la société.
Joyeux anniversaire quand même à Libération qui n’a jamais aussi mal porté son nom qu’aujourd’hui.
Pendant que la gauche joue à se faire peur en imaginant le bruit des bottes, la droite demande simplement à faire son travail.
Dans son numéro du mois de mars, le mensuel L’Incorrect a mis en une un débat entre le président de Génération Z Stanislas Rigault, le président du RNJ Pierre-Romain Thionnet et celui des jeunes LR Guilhem Carayon. Ces jeunes se parlent et ne s’embarrassent pas de ce qui est fréquentable ou non.
Au Quotidien de Paris, Tesson laisse la bride sur le cou de ses journalistes. Parmi eux, un certain Éric Zemmour qui lui a rendu hommage.
La seule question intéressante est celle-ci : la publication de nouvelles caricatures obscènes va-t-elle améliorer le sort des femmes iraniennes ?
Si Charlie Hebdo a parfaitement le droit de s’exprimer en toute liberté – et ce n’est pas BV qui lui récusera ce droit -, doit-on forcément approuver tout ce que fait Charlie Hebdo ?
Une femme nue en position gynécologique, les jambes écartées, accueille dans son vagin, marchant en file indienne, des religieux iraniens. En titre de cette nouvelle une du journal satirique : « Mollahs, retournez d’où vous venez ! »
On ne sait aujourd’hui ce qui, de cette omerta ou du caractère systémique de ce meurtre, est le plus épouvantable. En fait, les deux sont liés.
On ne parle pas ici du viol d’une Ukrainienne de 55 ans par un Guinéen de 27 ans. Non, on parle de l’odieuse « instrumentalisation » qu’en a faite Giorgia Meloni…
C’est le bad buzz de la journée : la déclaration officielle de la Société des journalistes de Paris Match qui « s’indigne » (sic) de voir le cardinal Sarah sur la couverture glacée du dernier numéro.
Le journaliste du Point, Aziz Zemouri, auteur de l’article, a été mis à pied et convoqué à un entretien préalable à un possible licenciement le vendredi 24 juin.
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