Agriculture
La saison pascale, qui correspond cette année à celle de l’aïd, est en France celle où l’on consomme le plus d’agneau.
Qu’il ait lieu ou pas, envisager l’abattage de 195.000 bovins sains paraît monstrueux – sauf pour les écologistes.
Valérie Hayer a ainsi fait savoir que le gouvernement pourrait parfaitement s’asseoir sur le vote des parlementaires.
Alors que les ministres de l’Agriculture de l’UE se réunissaient ce mardi pour réviser la PAC, la colère agricole gronde
Dans un bel ensemble, le tandem infernal Macron-Canfin prend la parole pour régler la question agricole.
La mobilisation des agriculteurs pourrait reprendre.
Les références « agricoles » du communisme sont en effet exemplaires.
Les agriculteurs demandent une simplification : le ministre livre un bel embrouillamini de complexité administrative.
« On demande aux producteurs français d’être parfaits… et on achète au moins-disant social et environnemental »
Administratif. Ce mot, les agriculteurs semblent en avoir une sainte-horreur.
Pour les agriculteurs, c’était la provocation de trop. Mais certains, comme Patrick Cohen, regrettent cette attitude.
La moitié des visiteurs attendus n’auraient pas répondu à l’appel.
On satisfait d’un côté les professionnels de la filière viande et l’on plombe de l’autre ceux de la filière végétale.
Les jeunes agriculteurs se heurtent à de lourdes démarches, comme ils l’expliquent au micro de Jordan Florentin.
Il en faudra sans doute plus pour calmer la colère, l’incompréhension et, surtout, remettre l’agriculture au centre.
S’ils n’y sont pas chez eux, qui y est chez lui ? Emmanuel Macron, en Catherine II traversant le village Potemkine ?
Vraies propositions à l’égard de la détresse agricole ou coup de communication des divers partis ?
C’est bien de montrer son soutien à l’Ukraine, mais si c’est pour concurrencer nos éleveurs il y a peut-être mieux…
Ces derniers jours, on a un peu tout vu, en termes d’agriculture.
Tout était donc pensé pour assurer une déambulation triomphale à Emmanuel Macron…
Mais ce que révèle ce fiasco, c’est qu’Emmanuel n’a rien compris, rien appris de ces sept semaines de crise agricole.
Emmanuel Macron promet un grand débat. Mais les agriculteurs ne se satisfont plus de mots.
L’enjeu, désormais, c’est que le mouvement prenne de l’ampleur et, surtout, qu’il persiste.
La France que l’on dit périphérique, c’est en fait le cœur de la France, la France éternelle.
Entre le pseudo-étudiant Black Bloc et le paysan qui veut survivre, il y a une différence.
Des camions espagnols chargés de tomates sont régulièrement arraisonnés par les paysans français.
Outre le Mercosur, bien d’autres accords – effectifs – représentent un danger pour nos agriculteurs.
Attaqués de l’intérieur par les normes de l’UE, les agriculteurs font aussi face à la concurrence extra-européenne.
La saison pascale, qui correspond cette année à celle de l’aïd, est en France celle où l’on consomme le plus d’agneau.
Qu’il ait lieu ou pas, envisager l’abattage de 195.000 bovins sains paraît monstrueux – sauf pour les écologistes.
Valérie Hayer a ainsi fait savoir que le gouvernement pourrait parfaitement s’asseoir sur le vote des parlementaires.
Alors que les ministres de l’Agriculture de l’UE se réunissaient ce mardi pour réviser la PAC, la colère agricole gronde
Dans un bel ensemble, le tandem infernal Macron-Canfin prend la parole pour régler la question agricole.
La mobilisation des agriculteurs pourrait reprendre.
Les références « agricoles » du communisme sont en effet exemplaires.
Les agriculteurs demandent une simplification : le ministre livre un bel embrouillamini de complexité administrative.
« On demande aux producteurs français d’être parfaits… et on achète au moins-disant social et environnemental »
Administratif. Ce mot, les agriculteurs semblent en avoir une sainte-horreur.
Pour les agriculteurs, c’était la provocation de trop. Mais certains, comme Patrick Cohen, regrettent cette attitude.
La moitié des visiteurs attendus n’auraient pas répondu à l’appel.
On satisfait d’un côté les professionnels de la filière viande et l’on plombe de l’autre ceux de la filière végétale.
Les jeunes agriculteurs se heurtent à de lourdes démarches, comme ils l’expliquent au micro de Jordan Florentin.
Il en faudra sans doute plus pour calmer la colère, l’incompréhension et, surtout, remettre l’agriculture au centre.
S’ils n’y sont pas chez eux, qui y est chez lui ? Emmanuel Macron, en Catherine II traversant le village Potemkine ?
Vraies propositions à l’égard de la détresse agricole ou coup de communication des divers partis ?
C’est bien de montrer son soutien à l’Ukraine, mais si c’est pour concurrencer nos éleveurs il y a peut-être mieux…
Ces derniers jours, on a un peu tout vu, en termes d’agriculture.
Tout était donc pensé pour assurer une déambulation triomphale à Emmanuel Macron…
Mais ce que révèle ce fiasco, c’est qu’Emmanuel n’a rien compris, rien appris de ces sept semaines de crise agricole.
Emmanuel Macron promet un grand débat. Mais les agriculteurs ne se satisfont plus de mots.
L’enjeu, désormais, c’est que le mouvement prenne de l’ampleur et, surtout, qu’il persiste.
La France que l’on dit périphérique, c’est en fait le cœur de la France, la France éternelle.
Entre le pseudo-étudiant Black Bloc et le paysan qui veut survivre, il y a une différence.
Des camions espagnols chargés de tomates sont régulièrement arraisonnés par les paysans français.
Outre le Mercosur, bien d’autres accords – effectifs – représentent un danger pour nos agriculteurs.
Attaqués de l’intérieur par les normes de l’UE, les agriculteurs font aussi face à la concurrence extra-européenne.