Nicolas Sarkozy
La bien-pensance veut choisir les mots que nous pouvons utiliser…
L’itinéraire politique de ces deux locataires de la Place Beauvau n’est pas sans présenter quelques étranges similitudes, puisque consistant à immanquablement camper sur des positions de droite pour mieux chercher à plaire à gauche.
Bien qu’il ait promis de ne pas participer à la prochaine élection, ils sont de moins en moins nombreux à y croire…
Nicolas Sarkozy marche sur l’eau, tandis qu’Emmanuel Macron tremble de boire la tasse.
Nicolas Sarkozy sera toujours le meilleur avocat de lui-même…
Il ne s’agit ni d’une chasse aux sorcières, ni d’un désir de nuire aux ambitions de Mme Royal, si tant est qu’elle en ait ; il faut tout simplement clarifier cette situation.
Le rebond de popularité d’Emmanuel Macron dans l’électorat de droite n’aura duré que le temps de son hommage des Invalides…
Pour les Français, entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, il y en a un de trop. Et peut-être deux.
La sanction de 2012 n’est-elle donc pas suffisante pour la Justice ?
Sans surestimer les échanges entre les deux, la proximité surjouée donne un semblant de légitimité à cet impérialisme macronien qui ne pourrait pas se contenter de leur détestation commune de François Hollande.
Avouez que trop de complaisance à l’égard du camp macronien ne contribue pas à clarifier les positions.
Plus fort que la médaille chiraculeuse qui fit croire à des générations d’électeurs de droite que le Grand Jacques allait terrasser l’hydre socialo-communiste, il y a aujourd’hui le Petit Nicolas…
On dira que Nicolas Sarkozy n’est jamais aussi vrai que lorsqu’il est faux.
Vendredi après-midi, Nicolas Sarkozy dédicaçait son dernier livre dans une librairie du XVIe arrondissement parisien. De nombreux admirateurs s’y pressaient, Boulevard Voltaire les a rencontrés.
Ségolène Royal, comme Nicolas Sarkozy, malgré la canicule, semble en pleine forme.
Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
À force d’être ni ni, de n’être ni eurosceptique ni eurobéate, la droite des Républicains coule, permet à Macron de faire passer sa défaite relative en victoire.
Est-il concevable aussi, sans être qualifié de fasciste, de glisser dans la réflexion la piste d’une union des droites…
Pour un homme de l’ombre, le moins qu’on puisse prétendre est que la lumière ne lui déplaît pas…
Sa décision est sans appel : lors d’un discours prononcé le dimanche 20 novembre 2016, le soir de sa défaite à la primaire, Nicolas Sarkozy
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Avoir un ancien Président dans la manche, c’est assurément bon pour les affaires.
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
« Personne n’a de leçons à vous donner. Quand on a des frontières, on doit les défendre. »
La bien-pensance veut choisir les mots que nous pouvons utiliser…
L’itinéraire politique de ces deux locataires de la Place Beauvau n’est pas sans présenter quelques étranges similitudes, puisque consistant à immanquablement camper sur des positions de droite pour mieux chercher à plaire à gauche.
Bien qu’il ait promis de ne pas participer à la prochaine élection, ils sont de moins en moins nombreux à y croire…
Nicolas Sarkozy marche sur l’eau, tandis qu’Emmanuel Macron tremble de boire la tasse.
Nicolas Sarkozy sera toujours le meilleur avocat de lui-même…
Il ne s’agit ni d’une chasse aux sorcières, ni d’un désir de nuire aux ambitions de Mme Royal, si tant est qu’elle en ait ; il faut tout simplement clarifier cette situation.
Le rebond de popularité d’Emmanuel Macron dans l’électorat de droite n’aura duré que le temps de son hommage des Invalides…
Pour les Français, entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, il y en a un de trop. Et peut-être deux.
La sanction de 2012 n’est-elle donc pas suffisante pour la Justice ?
Sans surestimer les échanges entre les deux, la proximité surjouée donne un semblant de légitimité à cet impérialisme macronien qui ne pourrait pas se contenter de leur détestation commune de François Hollande.
Avouez que trop de complaisance à l’égard du camp macronien ne contribue pas à clarifier les positions.
Plus fort que la médaille chiraculeuse qui fit croire à des générations d’électeurs de droite que le Grand Jacques allait terrasser l’hydre socialo-communiste, il y a aujourd’hui le Petit Nicolas…
On dira que Nicolas Sarkozy n’est jamais aussi vrai que lorsqu’il est faux.
Vendredi après-midi, Nicolas Sarkozy dédicaçait son dernier livre dans une librairie du XVIe arrondissement parisien. De nombreux admirateurs s’y pressaient, Boulevard Voltaire les a rencontrés.
Ségolène Royal, comme Nicolas Sarkozy, malgré la canicule, semble en pleine forme.
Comme François Hollande dans sa tournée des supermarchés, l’ex-Président, ex-patron d’une droite en coma dépassé, dispose d’un fan-club qui ne raterait sa dédicace pour rien au monde.
Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
À force d’être ni ni, de n’être ni eurosceptique ni eurobéate, la droite des Républicains coule, permet à Macron de faire passer sa défaite relative en victoire.
Est-il concevable aussi, sans être qualifié de fasciste, de glisser dans la réflexion la piste d’une union des droites…
Pour un homme de l’ombre, le moins qu’on puisse prétendre est que la lumière ne lui déplaît pas…
Sa décision est sans appel : lors d’un discours prononcé le dimanche 20 novembre 2016, le soir de sa défaite à la primaire, Nicolas Sarkozy
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
De l’ex-Yougoslavie au Moyen-Orient en passant par le Rwanda, les méandres diplomatiques du « machin » qu’on appelle l’ONU n’ont obtenu que deux résultats : soit le chaos permanent, soit la victoire de l’un des adversaires, et pas nécessairement le meilleur.
Avoir un ancien Président dans la manche, c’est assurément bon pour les affaires.
Pour une fois, on a célébré la Résistance et non pas déploré, dans le chagrin et la pitié, la collaboration et le pétainisme aux heures sombres de notre histoire.
« Personne n’a de leçons à vous donner. Quand on a des frontières, on doit les défendre. »