François Hollande
Sous la carapace inflammable de Claire Nouvian se cache un cœur pur qui retourne aujourd’hui à ses premières amours : l’écologie…
Valérie Trierweiler continue de presser le citron littéraire de son passage à l’Élysée en tant que première dame furtive.
Il faut tenir son rang, disait-on autrefois.
À force de tout réduire à ce qui est monnayable, on finit par perdre de vue l’essentiel : la fierté d’appartenir à une grande nation.
Jusqu’à présent, Christophe Castaner s’était bien gardé de recourir à cette sanction…
Le candidat à la mairie de Barcelone entame sa diatribe : « François a été élu sur un malentendu. » Les socialistes font du ski.
Sauver l’Homme plutôt que les peuples, la Terre plutôt que sa terre et, enfin, la minorité (sexuelle, raciale ou culturelle) plutôt que sa nation.
Tout récemment, Emmanuel Macron a été élevé au rang de chevalier de l’ordre de l’Éléphant par la reine de Danemark.
François Hollande se gargarise de cette célébrité qu’il pense due à ses mérites. Il gonfle, glousse, donne des leçons de bonne gouvernance… tellement infatué qu’il en oublie toute retenue.
Vous auriez pu croire qu’après la déculottée qu’il a prise, au point de renoncer à se représenter, il aurait l’humilité de rester discret…
Comme quoi, si la bravitude n’est pas réservée aux hommes, la pestitude, elle, n’est pas l’apanage des femmes.
Il veut faire croire qu’il est indispensable – ou s’en convaincre lui-même.
Mais Monsieur “petites phrases” a ses démons qui le démangent : la pipelette en lui n’est jamais en sommeil.
Le temps qui passe n’est pas l’ennemi des gilets jaunes mais leur plus sûr allié, désormais.
Après, on remarquera que François Hollande a encore des progrès à accomplir pour jouer dans la cour des grands, sachant qu’à lui seul, un Bill Clinton a déjà empoché 75 millions de dollars en faisant la causette aux puissants de ce monde.
Messieurs les présidents de la République, faites un geste : abandonnez au Trésor public vos scandaleux avantages sonnants et trébuchants.
À avoir méprisé et avoir trop confiance en lui, il a perdu celle des Français et gagné leur mépris. Et ça, c’est fatal.
Le pouvoir se trompe. Cette révolution n’obéit ni aux règles de la tragédie classique ni au fonctionnement d’un mouvement social traditionnel.
Des yeux s’ouvrent, des prises de conscience se font, des déterminations grandissent, une colère qui vient de loin ne cesse de grossir.
Mais qu’il réprime ses envies de jouer de nouveau un rôle politique !
S’il était de nouveau Président, bien sûr, ça changerait tout !
Peut-être même qu’il passait le balai et la serpillière.
En fait, Emmanuel Macron n’est plus que le Président des macronistes du premier tour de la présidentielle…
La chaleur de l’hospitalité grecque lui est apparemment montée à la tête.
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.
Sous la carapace inflammable de Claire Nouvian se cache un cœur pur qui retourne aujourd’hui à ses premières amours : l’écologie…
Valérie Trierweiler continue de presser le citron littéraire de son passage à l’Élysée en tant que première dame furtive.
Il faut tenir son rang, disait-on autrefois.
À force de tout réduire à ce qui est monnayable, on finit par perdre de vue l’essentiel : la fierté d’appartenir à une grande nation.
Jusqu’à présent, Christophe Castaner s’était bien gardé de recourir à cette sanction…
Le candidat à la mairie de Barcelone entame sa diatribe : « François a été élu sur un malentendu. » Les socialistes font du ski.
Sauver l’Homme plutôt que les peuples, la Terre plutôt que sa terre et, enfin, la minorité (sexuelle, raciale ou culturelle) plutôt que sa nation.
Tout récemment, Emmanuel Macron a été élevé au rang de chevalier de l’ordre de l’Éléphant par la reine de Danemark.
François Hollande se gargarise de cette célébrité qu’il pense due à ses mérites. Il gonfle, glousse, donne des leçons de bonne gouvernance… tellement infatué qu’il en oublie toute retenue.
Vous auriez pu croire qu’après la déculottée qu’il a prise, au point de renoncer à se représenter, il aurait l’humilité de rester discret…
Comme quoi, si la bravitude n’est pas réservée aux hommes, la pestitude, elle, n’est pas l’apanage des femmes.
Il veut faire croire qu’il est indispensable – ou s’en convaincre lui-même.
Mais Monsieur “petites phrases” a ses démons qui le démangent : la pipelette en lui n’est jamais en sommeil.
Le temps qui passe n’est pas l’ennemi des gilets jaunes mais leur plus sûr allié, désormais.
Après, on remarquera que François Hollande a encore des progrès à accomplir pour jouer dans la cour des grands, sachant qu’à lui seul, un Bill Clinton a déjà empoché 75 millions de dollars en faisant la causette aux puissants de ce monde.
Messieurs les présidents de la République, faites un geste : abandonnez au Trésor public vos scandaleux avantages sonnants et trébuchants.
À avoir méprisé et avoir trop confiance en lui, il a perdu celle des Français et gagné leur mépris. Et ça, c’est fatal.
Le pouvoir se trompe. Cette révolution n’obéit ni aux règles de la tragédie classique ni au fonctionnement d’un mouvement social traditionnel.
Des yeux s’ouvrent, des prises de conscience se font, des déterminations grandissent, une colère qui vient de loin ne cesse de grossir.
Mais qu’il réprime ses envies de jouer de nouveau un rôle politique !
S’il était de nouveau Président, bien sûr, ça changerait tout !
Peut-être même qu’il passait le balai et la serpillière.
En fait, Emmanuel Macron n’est plus que le Président des macronistes du premier tour de la présidentielle…
La chaleur de l’hospitalité grecque lui est apparemment montée à la tête.
Nous apprenons que la France a contribué à hauteur de 51 % au financement, sous forme de prêts et de dons, à la construction de la première ligne de TGV au Maroc.