Emmanuel Macron
Pas d’élus pour DLF n’apporte qu’un député de plus pour le RN, des élus DLF ajoutent 4 ou 5 députés au camp national.
Cette année, j’ai envie de me lâcher, de me faire plaisir, loin des calculs électoraux, et tant pis si je tombe dans un piège macronien…
Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.
Les solutions qu’envisage Emmanuel Macron, loin de pallier la ségrégation, l’accentuent en créant de nouveaux privilèges.
Celle qui souffrira le plus de cette modeste campagne publicitaire est bien la tête de liste, dont le charisme est resté au vestiaire.
Emmanuel Macron était tâcheron à l’Élysée et travaillait dur sur le chantier.
Une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique.
Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».
Qui lui dira que le bon plaisir ne commande pas de s’asseoir sur les usages ?
Il existe un Saint Louis, il n’existera jamais de saint Macron.
Le 26 mai, jour symbolique de la fête des Mères, nous dira si le Père de la Nation a vaincu son ennemi…
Macron, qui a été élu avec à peine plus de 43 % des inscrits, soit nettement moins d’un Français sur deux, pourrait voir la liste qu’il soutient l’emporter avec 21 ou 22 % des suffrages.
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
S’il s’est permis de faire la leçon à une dame de 73 ans, peut-être aurait-il pu la rééditer pour les « deux garçons »…
Nous étions nombreux à nous demander comment ce quasi-inconnu qu’était Emmanuel Macron avait réussi à s’imposer aussi rapidement dans le paysage politique français…
Il est tout de même très contestable de voir se lancer dans une campagne électorale un chef de l’État supposé être le président de tous les Français.
Le RN n’a même plus besoin de prouver qu’il est le centre du débat public puisque ses adversaires le font pour lui.
Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes.
Désormais, elle trace sa route au cœur de la France des ronds-points et des zones rurales oubliées.
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.
Finalement, qu’on le regrette ou non, l’intérêt de cette élection se résume au duel entre Macron et Marine Le Pen…
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
La supercherie éclate aux yeux de tous, aujourd’hui. Le nouveau monde n’était qu’un leurre, qu’un simple slogan de campagne électorale. Cette élection fut une fausse route.
La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…
Pas d’élus pour DLF n’apporte qu’un député de plus pour le RN, des élus DLF ajoutent 4 ou 5 députés au camp national.
Cette année, j’ai envie de me lâcher, de me faire plaisir, loin des calculs électoraux, et tant pis si je tombe dans un piège macronien…
Je serais gilet jaune, j’aurais furieusement envie de prendre Emmanuel Macron au mot, de voter. Et de voter contre.
Les solutions qu’envisage Emmanuel Macron, loin de pallier la ségrégation, l’accentuent en créant de nouveaux privilèges.
Celle qui souffrira le plus de cette modeste campagne publicitaire est bien la tête de liste, dont le charisme est resté au vestiaire.
Emmanuel Macron était tâcheron à l’Élysée et travaillait dur sur le chantier.
Une défaite sévère de la liste soutenue, désormais, ouvertement et sans vergogne par Macron déclencherait un séisme politique.
Une enseignante « gilet jaune », militante syndicale, placée en garde à vue pour « injure publique envers le président de la République ».
Qui lui dira que le bon plaisir ne commande pas de s’asseoir sur les usages ?
Il existe un Saint Louis, il n’existera jamais de saint Macron.
Le 26 mai, jour symbolique de la fête des Mères, nous dira si le Père de la Nation a vaincu son ennemi…
Macron, qui a été élu avec à peine plus de 43 % des inscrits, soit nettement moins d’un Français sur deux, pourrait voir la liste qu’il soutient l’emporter avec 21 ou 22 % des suffrages.
Le 10 mai, le Conseil constitutionnel a rendu un avis favorable à la tenue d’un référendum d’initiative partagée concernant la vente de la société publique Aéroports de Paris.
On aimerait que les hommes qui décident du destin des autres aient, dans leur vie, montré qu’ils étaient à la hauteur des sacrifices qu’ils réclament des autres.
S’il s’est permis de faire la leçon à une dame de 73 ans, peut-être aurait-il pu la rééditer pour les « deux garçons »…
Nous étions nombreux à nous demander comment ce quasi-inconnu qu’était Emmanuel Macron avait réussi à s’imposer aussi rapidement dans le paysage politique français…
Il est tout de même très contestable de voir se lancer dans une campagne électorale un chef de l’État supposé être le président de tous les Français.
Le RN n’a même plus besoin de prouver qu’il est le centre du débat public puisque ses adversaires le font pour lui.
Un président de la République ne doit pas laisser choir sa fonction au niveau des guerres partisanes.
Désormais, elle trace sa route au cœur de la France des ronds-points et des zones rurales oubliées.
Il est bien plus facile de mettre en place des interdictions et des taxes en tout genre que de redresser la situation économique du pays ou de satisfaire aux revendications des gilets jaunes.
Ce Président sera bientôt à la croisée des chemins, à l’heure de vérité, et cela le rend nerveux.
Finalement, qu’on le regrette ou non, l’intérêt de cette élection se résume au duel entre Macron et Marine Le Pen…
L’action de longue durée, assurée par tout un peuple dirigé par une suite d’hommes avisés et opiniâtres, est plus efficace que le volontarisme d’un seul.
La supercherie éclate aux yeux de tous, aujourd’hui. Le nouveau monde n’était qu’un leurre, qu’un simple slogan de campagne électorale. Cette élection fut une fausse route.
La réforme projetée, si elle est adoptée, risque de modifier fondamentalement la manière dont beaucoup d’enseignants conçoivent leur fonction.
D’une main, Mitterrand relançait le FN, de l’autre, il adoubait la création de SOS Racisme afin de maintenir son ostracisation. Les mâchoires du piège étaient tendues, la droite chiraquienne n’avait plus qu’à se jeter dedans…