Emmanuel Macron
Emmanuel Macron n’a pas pu s’empêcher de revenir sur les dernières fausses notes de son année scolaire…
Marine Le Pen devra donc laisser de côté sa volonté d’imposer l’hégémonie de son parti aux opposants à Emmanuel Macron et comprendre que la pluralité est une valeur ajoutée pour proposer une alternative fiable.
On cherche toujours la troupe des 150 Français qui devaient sortir de la loterie macronienne, chargés de leurs citoyennes propositions pour faire entendre raison au climat…
La réalité est simple : l’Union européenne est devenue obèse et ingouvernable dans un système dominé par la technocratie.
Les ex nous rassurent : ils sont là sans l’être.
En effet, alors qu’un certain nombre de compétences ont été dévolues aux régions ou aux départements, les fonctionnaires qui s’occupaient de celles-ci n’ont pas été transférés.
Ce n’était pas Georges Pompidou qui parlait en anglais aux chefs des gouvernements espagnol et portugais.
Assurément, Emmanuel Macron, mû par une sentimentalité impolitique largement dictée par son tropisme mondialiste, commet une grave erreur…
Or, dans l’ombre de cette ténébreuse affaire, il y a un homme, et qui n’est pas le premier venu : Emmanuel Macron…
Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
Une santiag est une botte d’origine texane portée par des cow-boys et configurée pour une meilleure prise au sol quand il faut maintenir un veau fougueux…
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.
Le mondialisme social-démocrate de Macron est en tous points opposé à cette trilogie droitière du patriotisme, du conservatisme et du libéralisme.
Symboliquement, ce casque signifie aussi qu’il y a beaucoup de travail à faire pour que la France, fille aînée de l’Église, retrouve ses racines chrétiennes.
Macron, c’est le ralliement à la politique catastrophique de la demande…
Si les Français voulaient se persuader que, depuis deux ans, ils ont été invités à un spectacle unique et permanent, le titre donné par tous les médias encenseurs du pouvoir leur fournirait un argument…
Cette expression, née sous Giscard, n’est d’ailleurs presque jamais employée en Allemagne.
Une opération bien menée : 72 élus « de la droite et du centre » ont décidé de se rallier à Macron. Parmi eux, ceux de
« Si leur maître se moque, ils feront le pareil »
Il y a longtemps que ces maires qui sont présentés comme LR ont déjà franchi la ligne du reniement et de l’apostasie.
Avez-vous remarqué comme, chez les LREM, les mots sonnent toujours bien ? Ça sonne souvent creux, mais ça sonne toujours bien !
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Il serait bon que la France « des territoires », comme ils disent, se mobilise et se rende visible.
Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
Quel que soit le résultat effectif de la bataille, il suffit de claironner assez fort que c’est une victoire pour que ce soit une victoire.
Est-on en train d’assister à la résurgence du courant « opportuniste » ?
Opportunistes, girouettes : ils ne seront ni les premiers ni les derniers.
Emmanuel Macron n’a pas pu s’empêcher de revenir sur les dernières fausses notes de son année scolaire…
Marine Le Pen devra donc laisser de côté sa volonté d’imposer l’hégémonie de son parti aux opposants à Emmanuel Macron et comprendre que la pluralité est une valeur ajoutée pour proposer une alternative fiable.
On cherche toujours la troupe des 150 Français qui devaient sortir de la loterie macronienne, chargés de leurs citoyennes propositions pour faire entendre raison au climat…
La réalité est simple : l’Union européenne est devenue obèse et ingouvernable dans un système dominé par la technocratie.
Les ex nous rassurent : ils sont là sans l’être.
En effet, alors qu’un certain nombre de compétences ont été dévolues aux régions ou aux départements, les fonctionnaires qui s’occupaient de celles-ci n’ont pas été transférés.
Ce n’était pas Georges Pompidou qui parlait en anglais aux chefs des gouvernements espagnol et portugais.
Assurément, Emmanuel Macron, mû par une sentimentalité impolitique largement dictée par son tropisme mondialiste, commet une grave erreur…
Or, dans l’ombre de cette ténébreuse affaire, il y a un homme, et qui n’est pas le premier venu : Emmanuel Macron…
Enfin Macron vint, tenant Brigitte par la main.
Une santiag est une botte d’origine texane portée par des cow-boys et configurée pour une meilleure prise au sol quand il faut maintenir un veau fougueux…
C’est fou comme nous sommes devenus sages. Tristes. Peureux. « Castrés », en quelque sorte.
Le mondialisme social-démocrate de Macron est en tous points opposé à cette trilogie droitière du patriotisme, du conservatisme et du libéralisme.
Symboliquement, ce casque signifie aussi qu’il y a beaucoup de travail à faire pour que la France, fille aînée de l’Église, retrouve ses racines chrétiennes.
Macron, c’est le ralliement à la politique catastrophique de la demande…
Si les Français voulaient se persuader que, depuis deux ans, ils ont été invités à un spectacle unique et permanent, le titre donné par tous les médias encenseurs du pouvoir leur fournirait un argument…
Cette expression, née sous Giscard, n’est d’ailleurs presque jamais employée en Allemagne.
Une opération bien menée : 72 élus « de la droite et du centre » ont décidé de se rallier à Macron. Parmi eux, ceux de
« Si leur maître se moque, ils feront le pareil »
Il y a longtemps que ces maires qui sont présentés comme LR ont déjà franchi la ligne du reniement et de l’apostasie.
Avez-vous remarqué comme, chez les LREM, les mots sonnent toujours bien ? Ça sonne souvent creux, mais ça sonne toujours bien !
La France doit se redresser, et pour cela, elle a besoin d’une droite à l’idéologie forte.
Il serait bon que la France « des territoires », comme ils disent, se mobilise et se rende visible.
Quelle idée de réunir Emmanuelle Mignon et Marlène Schiappa. Deux profils politiques apparemment si différents.
Quel que soit le résultat effectif de la bataille, il suffit de claironner assez fort que c’est une victoire pour que ce soit une victoire.
Est-on en train d’assister à la résurgence du courant « opportuniste » ?
Opportunistes, girouettes : ils ne seront ni les premiers ni les derniers.