Emmanuel Macron
Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »
Le régime à bout de souffle se réfugie dans la pompe…
Sommes-nous gouvernés par des amateurs et des naïfs ?
Force, non pas à la loi, mais à la science. À la loi de la science.
Quels chiffres Covid-19 le gouvernement va-t-il sortir du chapeau pour justifier sa politique ?
Les plus indulgents diront qu’Emmanuel Macron a pris conscience de la gravité de la situation…
Les Français seront au moins heureux d’apprendre que le premier d’entre eux se porte comme un charme, tant les motifs de contentement se font rares, ces temps derniers.
Alors que les résultats du scrutin ne sont toujours pas rendus officiels, Emmanuel Macron est l’un des premiers chefs d’État européens à féliciter Joe Biden pour son élection.
Les crises sont toujours des révélateurs d’un état profond, mais que l’on ne voulait pas voir. 2020 constitue, de ce point de vue, un tournant : le roi est nu.
Il faudra, un jour, qu’on s’occupe aussi des frontières qui se sont érigées à l’intérieur même du territoire national.
Le gouvernement ne songe même pas à lutter contre l’immigration alors que le lien entre immigration et ensauvagement de la France est indiscutable.
Il semble que, aussi bien dans le monde enseignant, qui a longtemps plié l’échine, que dans la population, les discours lénifiants ne prennent plus guère.
Emmanuel Macron a annoncé, le 28 octobre, la mise en place d’un reconfinement généralisé sur l’ensemble du territoire français pour endiguer la propagation du Covid-19. Réaction
Erdoğan ne raisonne pas autrement : mobiliser le monde musulman pour mieux mobiliser son électorat.
Le cynisme est bien de la partie. Les Français accepteront-ils de se laisser duper ? N’ont-ils pas déjà assez payé ?
Ne manque plus qu’il guérisse les écrouelles, fasse don de sa personne à la France et le tableau sera complet.
Et voilà que l’utopie se brise crise après crise sur les digues du réel.
Comment penser qu’ils sont vraiment sincères et qu’ils ne cherchent pas, d’abord, à sauver les meubles pour tenter d’échapper à la déconfiture ?
Donald Trump, en pleine forme après avoir été guéri du coronavirus, enchaîne actuellement les meetings dans plusieurs États clés, à moins de trois semaines de l’élection présidentielle.
Les islamistes ne veulent nullement se séparer territorialement de la France. Ce qu’ils veulent, c’est y instaurer une contre-société conforme à leurs croyances à leurs mœurs…
Les enseignants seront-ils contraints, pour ne pas se mettre en danger, de céder au chantage ?
Le Président prétend que l’assassin islamiste voulait abattre la République. Il en sait quoi ?
Tout juste si la police ne sera pas autorisée à frapper à votre porte pour vérifier que vous n’êtes pas plus de six autour de la table.
C’est la démesure, celle qui identifiait les tyrans selon les Grecs anciens, qui marque la présidence actuelle.
Limitation du nombre de convives à table ? 70 % applaudissent. Moins on est de fous, plus on rit !
En clair, au bout du bout, cela veut dire que l’on va enfoncer un peu plus la France dans l’endettement. Au point où on en est…
Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, d’Emmanuelle Ménard aux mesures annoncées par Emmanuel Macron, ce mercredi soir, pour limiter la propagation du coronavirus.
Si la situation n’était pas si grave, ce serait presque drôle de l’entendre ajouter : « Il faut de la cohérence, de la clarté, un cap. Savoir ensemble où nous allons et comment y aller. »
Le régime à bout de souffle se réfugie dans la pompe…
Sommes-nous gouvernés par des amateurs et des naïfs ?
Force, non pas à la loi, mais à la science. À la loi de la science.
Quels chiffres Covid-19 le gouvernement va-t-il sortir du chapeau pour justifier sa politique ?
Les plus indulgents diront qu’Emmanuel Macron a pris conscience de la gravité de la situation…
Les Français seront au moins heureux d’apprendre que le premier d’entre eux se porte comme un charme, tant les motifs de contentement se font rares, ces temps derniers.
Alors que les résultats du scrutin ne sont toujours pas rendus officiels, Emmanuel Macron est l’un des premiers chefs d’État européens à féliciter Joe Biden pour son élection.
Les crises sont toujours des révélateurs d’un état profond, mais que l’on ne voulait pas voir. 2020 constitue, de ce point de vue, un tournant : le roi est nu.
Il faudra, un jour, qu’on s’occupe aussi des frontières qui se sont érigées à l’intérieur même du territoire national.
Le gouvernement ne songe même pas à lutter contre l’immigration alors que le lien entre immigration et ensauvagement de la France est indiscutable.
Il semble que, aussi bien dans le monde enseignant, qui a longtemps plié l’échine, que dans la population, les discours lénifiants ne prennent plus guère.
Emmanuel Macron a annoncé, le 28 octobre, la mise en place d’un reconfinement généralisé sur l’ensemble du territoire français pour endiguer la propagation du Covid-19. Réaction
Erdoğan ne raisonne pas autrement : mobiliser le monde musulman pour mieux mobiliser son électorat.
Le cynisme est bien de la partie. Les Français accepteront-ils de se laisser duper ? N’ont-ils pas déjà assez payé ?
Ne manque plus qu’il guérisse les écrouelles, fasse don de sa personne à la France et le tableau sera complet.
Et voilà que l’utopie se brise crise après crise sur les digues du réel.
Comment penser qu’ils sont vraiment sincères et qu’ils ne cherchent pas, d’abord, à sauver les meubles pour tenter d’échapper à la déconfiture ?
Donald Trump, en pleine forme après avoir été guéri du coronavirus, enchaîne actuellement les meetings dans plusieurs États clés, à moins de trois semaines de l’élection présidentielle.
Les islamistes ne veulent nullement se séparer territorialement de la France. Ce qu’ils veulent, c’est y instaurer une contre-société conforme à leurs croyances à leurs mœurs…
Les enseignants seront-ils contraints, pour ne pas se mettre en danger, de céder au chantage ?
Le Président prétend que l’assassin islamiste voulait abattre la République. Il en sait quoi ?
Tout juste si la police ne sera pas autorisée à frapper à votre porte pour vérifier que vous n’êtes pas plus de six autour de la table.
C’est la démesure, celle qui identifiait les tyrans selon les Grecs anciens, qui marque la présidence actuelle.
Limitation du nombre de convives à table ? 70 % applaudissent. Moins on est de fous, plus on rit !
En clair, au bout du bout, cela veut dire que l’on va enfoncer un peu plus la France dans l’endettement. Au point où on en est…
Réaction, au micro de Boulevard Voltaire, d’Emmanuelle Ménard aux mesures annoncées par Emmanuel Macron, ce mercredi soir, pour limiter la propagation du coronavirus.