Donald Trump
Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.
Trump a-t-il bien mesuré les conséquences de sa décision ? On ose l’espérer, mais alors, pourquoi avoir claironné à de très nombreuses reprises que les interventions lointaines et coûteuses devaient prendre fin ?
La ségrégation et l’esclavagisme des champs de coton ont certes disparu, pourtant la société américaine semble toujours aussi morcelée…
En attendant, l’échéance 2020 approche et elle ne se présente pas sous les meilleurs auspices pour les démocrates.
Donald Trump est en train de bouleverser radicalement les codes politiques que nous connaissions jusqu’à présent.
On allait voir ce que l’on allait voir… Et on n’a rien vu du tout !
Donald Trump en est reparti tout mécontent, boudant la conférence de presse finale, tandis qu’Emmanuel Macron rentrait tout content…
Même à l’heure où cet article sera mis en ligne et à laquelle on ne saura, évidemment, pas ce qu’il sortira de ce sommet, tenu
Si la forme change, le fond, lui, a tendance à demeurer le même.
Les officiels chinois ont utilisé leur rhétorique habituelle, tel qu’on la trouve dans les livres des écoliers, sur la période humiliante des concessions occidentales.
C’est tout l’axe chiite est-ouest du Moyen-Orient qui est en ébullition.
L’argent peut beaucoup, mais ne peut pas tout.
Bref, circulez, y a rien à voir et business as usual.
En Orient, le temps prend le sien et ce qui, un jour, semble immuable ne l’est plus forcément demain.
Le discours de Trump à la Chine est simple, fort et sensé (mais oui), celui de Macron est confus et faible.
La stratégie de Trump est cohérente et ferme : il rompt avec le mondialisme de l’OMC dont les règles sont défavorables aux pays qui les respectent et favorables à ceux qui ne les respectent pas…
La vérité oblige à dire qu’Emmanuel Macron a tapé là où cela faisait mal.
Le Pentagone a encore réussi à convaincre Trump de ne pas quitter la Syrie. Jusqu’à quand ?
Son élection, nous l’avons déjà dit, dépendra de sa pénétration au sein de l’électorat afro-américain et hispanique, culturellement conservateur…
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.
Dans « ce n’est qu’une étape », je sens, pour ma part, un caprice de petit joueur perdant qui ne peut supporter le verdict des réalités.
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Une belle victoire pour Donald Trump.
La presse française ne supporte pas de voir Trump engranger les succès, elle est malade de le voir jubiler.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.
Trump s’est entouré d’équipes bellicistes qui voient deux Carthage à détruire : la russe et l’iranienne.
Trump a-t-il bien mesuré les conséquences de sa décision ? On ose l’espérer, mais alors, pourquoi avoir claironné à de très nombreuses reprises que les interventions lointaines et coûteuses devaient prendre fin ?
La ségrégation et l’esclavagisme des champs de coton ont certes disparu, pourtant la société américaine semble toujours aussi morcelée…
En attendant, l’échéance 2020 approche et elle ne se présente pas sous les meilleurs auspices pour les démocrates.
Donald Trump est en train de bouleverser radicalement les codes politiques que nous connaissions jusqu’à présent.
On allait voir ce que l’on allait voir… Et on n’a rien vu du tout !
Donald Trump en est reparti tout mécontent, boudant la conférence de presse finale, tandis qu’Emmanuel Macron rentrait tout content…
Même à l’heure où cet article sera mis en ligne et à laquelle on ne saura, évidemment, pas ce qu’il sortira de ce sommet, tenu
Si la forme change, le fond, lui, a tendance à demeurer le même.
Les officiels chinois ont utilisé leur rhétorique habituelle, tel qu’on la trouve dans les livres des écoliers, sur la période humiliante des concessions occidentales.
C’est tout l’axe chiite est-ouest du Moyen-Orient qui est en ébullition.
L’argent peut beaucoup, mais ne peut pas tout.
Bref, circulez, y a rien à voir et business as usual.
En Orient, le temps prend le sien et ce qui, un jour, semble immuable ne l’est plus forcément demain.
Le discours de Trump à la Chine est simple, fort et sensé (mais oui), celui de Macron est confus et faible.
La stratégie de Trump est cohérente et ferme : il rompt avec le mondialisme de l’OMC dont les règles sont défavorables aux pays qui les respectent et favorables à ceux qui ne les respectent pas…
La vérité oblige à dire qu’Emmanuel Macron a tapé là où cela faisait mal.
Le Pentagone a encore réussi à convaincre Trump de ne pas quitter la Syrie. Jusqu’à quand ?
Son élection, nous l’avons déjà dit, dépendra de sa pénétration au sein de l’électorat afro-américain et hispanique, culturellement conservateur…
Les élections anticipées auront lieu jeudi 12 décembre. La campagne sera monstrueuse.
Lorsque Donald Trump a annoncé la mort du chef djihadiste, il a rendu hommage à Kayla Mueller.
En avril 2017, Donald Trump avait qualifié le massacre des Arméniens d’« une des pires atrocités de masse du XXe siècle », mais il s’était gardé d’utiliser le terme de « génocide ».
Tout ce qui se passe en Syrie en ce moment n’est, certes, pas du cinéma, mais ressemble diablement à un spectacle conçu et réalisé par les acteurs principaux.
Dans « ce n’est qu’une étape », je sens, pour ma part, un caprice de petit joueur perdant qui ne peut supporter le verdict des réalités.
L’opération al Baghdadi ne convaincra nullement ses adversaires que Trump soit doté de quelque compétence.
Une belle victoire pour Donald Trump.
La presse française ne supporte pas de voir Trump engranger les succès, elle est malade de le voir jubiler.
Trump est parti pour gagner l’élection de 2020.