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L’autre victime de cette élection pourrait bien être aussi celle de la sphère médiatico-politique, qui n’en pinçait que pour Jean-Luc Macron et Emmanuel Mélenchon.
Plus un domaine de nos vies (école, monde du travail, tourisme, logement, santé, médias, collectivités locales, transports, décisions gouvernementales, législation…) n’échappe aux codes et interdits LGBTQI+ compatibles.
Jean Luc Mélenchon a les fesses bien calées depuis des décennies dans des fauteuils républicains et – contrairement aux policiers – n’a sans doute entendu siffler de sa vie d’autres balles que celles d’un terrain de pétanque.
Qu’un soi-disant patriote envisage de quitter sa terre natale parce qu’un possible gouvernement n’aurait pas l’heur de lui plaire, c’est un choix ; un choix pas très courageux, mais un choix tout de même.
Embrassons-nous, Folleville, tout est oublié, c’est l’heure du pardon des offenses !
Il est mort comme il avait vécu : en paysan contemplatif.
Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
Pour Jean-Luc Mélenchon, l’émancipation vaut assignation à origines ethnique, religieuse et sociale. Pas très républicain, tout ça…
Les réformes dans la police nationale ont malheureusement souvent été dictées par des intérêts corporatistes ou personnels.
Cette actualité n’est autre qu’une victoire parmi d’autres pour les lobbies LGBT.
Catherine Vautrin est loin de l’image conservatrice dont les progressistes voulaient l’affubler.
On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.
Une formation en médecine menée de front avec des études en œnologie confère à Olivier Véran une compétence à nulle autre pareille.
Depuis qu’Emmanuel Macron s’est réinstallé sur le trône, le ronron a repris : ne parlons pas des choses qui fâchent. Par exemple l’immigration, l’insécurité, la dette abyssale et quelques autres joyeusetés du même tonneau.
Le progressisme serait-il tellement balèze qu’il finira par ringardiser un de ses plus emblématiques mantras : mon corps, mon choix, mon droit ? La réponse
Les médias, Macron et Mélenchon ont la même vision de la France : une vieille dame dépassée, plus susceptible d’euthanasie que de réanimation.
Le géopolitologue Alexandre del Valle analyse, au micro de Boulevard Voltaire, le vote des Français de confession musulmane. Marc Eynaud. Pour qui ont voté
À la surprise générale, Gérald Darmanin reprend le thème cher à Éric Zemmour de l’intégration par les prénoms.
« La politique que je mènerai dans les cinq années à venir sera écologique ou ne sera pas », voilà comment on peut résumer en une
Un dispositif scénaristique par le biais duquel le réalisateur aborde ouvertement, sur le ton de l’humour (un poil cafardeux), le malaise français lié à l’immigration et la difficulté des rapports interethniques.
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
Emmanuel Macron est comptable d’un bilan quinquennal désastreux. Il a renforcé l’immigration incontrôlée, les crimes et délits en pagaille et la précarité galopante.
Eh oui, cet homme nous fait du bien, disant parfois très fort ce que d’autres disent plus bas, tel Jean-Marie Le Pen en son temps et Éric Zemmour aujourd’hui.
Sans porter aucune accusation contre qui que ce soit, il convient tout de même de s’interroger sur ce microcosme politico-économique, cette grande famille de la Macronie…
L’Union européenne fait la guerre à la Russie (qui, elle-même, a déclenché une guerre), avec des armes non pas militaires mais économiques : elle a lancé
Orban, qui a lancé il y a dix ans une révolution conservatrice unique en Europe, veut maintenir son pays arrimé à ses racines et affronter avec pragmatisme la tempête économique des conséquences de la guerre en Ukraine.
Priver les Français de cette incursion quotidienne dans un monde de nigauds bien pensants laisserait le pays exsangue. Culturellement dévasté.
La loi est l’expression de la volonté générale. Enfin, elle l’était. Le mythe de la loi souveraine tenait car, sur le plan démocratique, l’élection de
L’autre victime de cette élection pourrait bien être aussi celle de la sphère médiatico-politique, qui n’en pinçait que pour Jean-Luc Macron et Emmanuel Mélenchon.
Plus un domaine de nos vies (école, monde du travail, tourisme, logement, santé, médias, collectivités locales, transports, décisions gouvernementales, législation…) n’échappe aux codes et interdits LGBTQI+ compatibles.
Jean Luc Mélenchon a les fesses bien calées depuis des décennies dans des fauteuils républicains et – contrairement aux policiers – n’a sans doute entendu siffler de sa vie d’autres balles que celles d’un terrain de pétanque.
Qu’un soi-disant patriote envisage de quitter sa terre natale parce qu’un possible gouvernement n’aurait pas l’heur de lui plaire, c’est un choix ; un choix pas très courageux, mais un choix tout de même.
Embrassons-nous, Folleville, tout est oublié, c’est l’heure du pardon des offenses !
Il est mort comme il avait vécu : en paysan contemplatif.
Allons-nous réussir à attendre Noël pour offrir ce concentré de rêve ?
Pour Jean-Luc Mélenchon, l’émancipation vaut assignation à origines ethnique, religieuse et sociale. Pas très républicain, tout ça…
Les réformes dans la police nationale ont malheureusement souvent été dictées par des intérêts corporatistes ou personnels.
Cette actualité n’est autre qu’une victoire parmi d’autres pour les lobbies LGBT.
Catherine Vautrin est loin de l’image conservatrice dont les progressistes voulaient l’affubler.
On vante les capacités de négociation du nouveau Premier ministre. Peut-être. Néanmoins, on notera que le nom d’Élisabeth Borne est associé au licenciement des soignants non vaccinés.
Une formation en médecine menée de front avec des études en œnologie confère à Olivier Véran une compétence à nulle autre pareille.
Depuis qu’Emmanuel Macron s’est réinstallé sur le trône, le ronron a repris : ne parlons pas des choses qui fâchent. Par exemple l’immigration, l’insécurité, la dette abyssale et quelques autres joyeusetés du même tonneau.
Le progressisme serait-il tellement balèze qu’il finira par ringardiser un de ses plus emblématiques mantras : mon corps, mon choix, mon droit ? La réponse
Les médias, Macron et Mélenchon ont la même vision de la France : une vieille dame dépassée, plus susceptible d’euthanasie que de réanimation.
Le géopolitologue Alexandre del Valle analyse, au micro de Boulevard Voltaire, le vote des Français de confession musulmane. Marc Eynaud. Pour qui ont voté
À la surprise générale, Gérald Darmanin reprend le thème cher à Éric Zemmour de l’intégration par les prénoms.
« La politique que je mènerai dans les cinq années à venir sera écologique ou ne sera pas », voilà comment on peut résumer en une
Un dispositif scénaristique par le biais duquel le réalisateur aborde ouvertement, sur le ton de l’humour (un poil cafardeux), le malaise français lié à l’immigration et la difficulté des rapports interethniques.
Soit la conservation de notre civilisation, soit la poursuite de la fuite en avant vers ce qui ressemble au néant ou au chaos.
Emmanuel Macron est comptable d’un bilan quinquennal désastreux. Il a renforcé l’immigration incontrôlée, les crimes et délits en pagaille et la précarité galopante.
Eh oui, cet homme nous fait du bien, disant parfois très fort ce que d’autres disent plus bas, tel Jean-Marie Le Pen en son temps et Éric Zemmour aujourd’hui.
Sans porter aucune accusation contre qui que ce soit, il convient tout de même de s’interroger sur ce microcosme politico-économique, cette grande famille de la Macronie…
L’Union européenne fait la guerre à la Russie (qui, elle-même, a déclenché une guerre), avec des armes non pas militaires mais économiques : elle a lancé
Orban, qui a lancé il y a dix ans une révolution conservatrice unique en Europe, veut maintenir son pays arrimé à ses racines et affronter avec pragmatisme la tempête économique des conséquences de la guerre en Ukraine.
Priver les Français de cette incursion quotidienne dans un monde de nigauds bien pensants laisserait le pays exsangue. Culturellement dévasté.
La loi est l’expression de la volonté générale. Enfin, elle l’était. Le mythe de la loi souveraine tenait car, sur le plan démocratique, l’élection de