Les groupes de randonneurs, quand ils ne sont pas mixtes (ce qui est fréquent), adoptent les mêmes codes, plutôt masculins, plutôt hiérarchiques, plutôt grégaires. Ils sont là pour "en baver".

Dans une société où l'on ne peut pas dire que les vertus viriles soient très en vogue, on a l'impression, pour ces natures hyper-masculines que l'on rencontre aussi chez les femmes, qu'un phénomène de compensation est à l'œuvre et que l'on prend une revanche secrète sur les niaiseries de l'époque...

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17 octobre 2017 à 20:44

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