Émeutes à Bruxelles : le temps de la reconquête a sonné !

Après la qualification du Maroc pour la prochaine Coupe du monde de football, samedi dernier, de violents incidents avaient éclaté dans le centre-ville de Bruxelles, près de la Bourse. Des commerces furent pillés, des appartements vandalisés, des voitures incendiées. Certains témoins n’hésitaient pas à qualifier le chaos de situation de… guerre.
 
Dans un réflexe pavlovien, le Mouvement contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie, qui vit de l’argent public (!), dénonça les provocations policières, sans un mot de soutien pour les vingt-deux policiers blessés dans le tumulte. Le bourgmestre de la ville, le socialiste Philippe Close, se drapa dans la discrétion : il faut dire que l’homme avait donné des instructions de ne pas intervenir trop vite, de peur sans doute de froisser sa clientèle électorale.
 
Mercredi, rebelote. Un jeune « YouTubeur » à succès avait invité ses épigones à se rendre en ville pour un raout que seuls les naïfs pensaient pacifique. Après que l’« artiste » français fut contrôlé par la police, ses ouailles s’en prirent à la police, place de la Monnaie cette fois-ci. Les mêmes scènes de chaos provoquèrent une nouvelle fois la désolation chez les commerçants.
 
Avec les deux émeutes qui ont éclaté en son cœur, Bruxelles est, une nouvelle fois, au centre de la polémique. La capitale belge et européenne avait été pointée du doigt après les attentats provoqués par de jeunes islamistes nés en son sein. Elle n’en est toujours pas remise et assiste, impuissante, à un déferlement de violence.
 
Si l’on ne peut, évidemment, placer au même niveau les attentats et les émeutes – qui n’ont, heureusement, fait que des blessés -, on ne peut, non plus, passer sous silence le lien entre la politique laxiste et multiculturelle des gouvernements qui se sont succédé (et auxquels ont participé tous les partis traditionnels, y compris la droite réformatrice libérale) et la situation qui se détériore sous nos yeux (et que les belles âmes continuent, malgré l’évidence, à nier).
 
Nous ne pouvons laisser Bruxelles aux sauvageons, aux islamistes et à leurs alliés (responsables politiques, journalistes, intellectuels…) qui laissent se développer la bête immonde en même temps qu’ils ostracisent les résistants. Sans sursaut, la ville deviendra sous peu un territoire perdu de l’Europe et de l’Occident. Le temps presse car la démographie joue contre nous.
 
Enfant de la ville, qui en aime chaque coin et recoin, je ne peux et ne veux laisser faire.
 
Le temps de la reconquête a sonné.

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 09/01/2020 à 19:00.
Gregory Vanden Bruel
Gregory Vanden Bruel
Conseiller politique

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