Migrants
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
On ne voit pas pourquoi les migrants ne représenteraient pas, pour la Tunisie, ce qu’ils représentent pour la France, à savoir « une opportunité économique » !
À Nantes, comme ailleurs en France et en Europe, les migrants africains deviennent une pièce maîtresse des luttes politiques.
Pourtant, que l’on sache, l’Albanie n’est pas un pays en guerre…
Tout ce qui n’est pas politiquement correct devient nazi et tout ce qui est un peu plus autoritaire est fascisant.
Bref, ce petit monde est arrivé à Calais. Et plus si affinités. Et c’est là où ça s’est corsé.
Elle ouvre grand la porte à toutes les associations militantes dont l’unique objet est de faire entrer sur notre sol les cohortes d’immigrés clandestins se pressant à nos frontières.
Par autocars, par camions, et même convois exceptionnels, il va pouvoir enfin vider l’Afrique de ses habitants. Ensuite, s’attaquer à l’Inde, où la misère sévit également.
Cédric Herrou a profité de la crise migratoire pour sortir de son silence et recadrer le président de la République : « Il faudrait qu’il prenne une petite leçon de fraternité. »
on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.
Si la France est un pays d’affreux racistes, à quoi bon s’acharner, prendre le risque d’une guerre civile ?
Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…
Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.
On ne peut fermer, le lundi, les ports français aux migrants de l’Aquarius et, le mardi, décider d’en accueillir.
L’éclair de lucidité dont fait preuve le président du Sénat tient dans cette phrase terrible : « Des Aquarius, il y en aura des dizaines et des dizaines. »
Au moins la moitié des migrants qui ont débarqué en Espagne souhaitent demander l’asile en France.
De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable.
L’exploitation de la misère du monde à des fins politiciennes ne grandit personne.
Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.
Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
Ainsi, l’accueil qui serait réservé aux migrants à Menton par la police aux frontières (PAF) serait « indigne ».
Mais pourquoi ne pas faire un double référendum et proposer aux Français deux projets de loi tout à fait antagonistes ?
De vanter de violer la loi quand on ne risque rien ne relève pas de l’audace mais d’une posture narcissique.
En quittant le tribunal, Martine Landry a logiquement été accueillie comme une résistante à l’oppression.
« …et les communes rurales endettées ne pourront pas refuser. »
Gérard Collomb n’a pu s’empêcher de déclarer que les migrants faisaient du « benchmarking » pour choisir leur terre d’asile
Les badauds qui poussaient des oh ! et des ah ! ont songé à filmer l’ascension fulgurante de Mamoudou Gassama sur leur portable. Mais pas un n’a songé à utiliser son smartphone pour appeler les pompiers !
Un huis clos dramatique commence. L’issue sera très brutale.
On ne voit pas pourquoi les migrants ne représenteraient pas, pour la Tunisie, ce qu’ils représentent pour la France, à savoir « une opportunité économique » !
À Nantes, comme ailleurs en France et en Europe, les migrants africains deviennent une pièce maîtresse des luttes politiques.
Pourtant, que l’on sache, l’Albanie n’est pas un pays en guerre…
Tout ce qui n’est pas politiquement correct devient nazi et tout ce qui est un peu plus autoritaire est fascisant.
Bref, ce petit monde est arrivé à Calais. Et plus si affinités. Et c’est là où ça s’est corsé.
Elle ouvre grand la porte à toutes les associations militantes dont l’unique objet est de faire entrer sur notre sol les cohortes d’immigrés clandestins se pressant à nos frontières.
Par autocars, par camions, et même convois exceptionnels, il va pouvoir enfin vider l’Afrique de ses habitants. Ensuite, s’attaquer à l’Inde, où la misère sévit également.
Cédric Herrou a profité de la crise migratoire pour sortir de son silence et recadrer le président de la République : « Il faudrait qu’il prenne une petite leçon de fraternité. »
on le savait depuis quelques semaines : les questions nationales ont pris le pas sur toutes autres considérations bruxelloïdes.
Si la France est un pays d’affreux racistes, à quoi bon s’acharner, prendre le risque d’une guerre civile ?
Tout est bon pour culpabiliser les peuples européens…
Le pays réel voit ce qu’il voit, y compris à travers le prisme délibérément déformé et déformant des grands médias.
On ne peut fermer, le lundi, les ports français aux migrants de l’Aquarius et, le mardi, décider d’en accueillir.
L’éclair de lucidité dont fait preuve le président du Sénat tient dans cette phrase terrible : « Des Aquarius, il y en aura des dizaines et des dizaines. »
Au moins la moitié des migrants qui ont débarqué en Espagne souhaitent demander l’asile en France.
De tous les bizness, le malheur est finalement le plus rentable.
L’exploitation de la misère du monde à des fins politiciennes ne grandit personne.
Finalement, les populistes, même arrivés au pouvoir, ça a quand même deux mérites : ça tient ses promesses et ça met les pieds dans le plat.
Le gouvernement italien, par la voix de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini, refuse d’accueillir les bateaux transportant des migrants sur ses côtes. Analyse au
Le propre de ces gouvernements « populistes », c’est qu’ils s’opposent forcément là où leurs intérêts nationaux divergent.
Ainsi, l’accueil qui serait réservé aux migrants à Menton par la police aux frontières (PAF) serait « indigne ».
Mais pourquoi ne pas faire un double référendum et proposer aux Français deux projets de loi tout à fait antagonistes ?
De vanter de violer la loi quand on ne risque rien ne relève pas de l’audace mais d’une posture narcissique.
En quittant le tribunal, Martine Landry a logiquement été accueillie comme une résistante à l’oppression.
« …et les communes rurales endettées ne pourront pas refuser. »
Gérard Collomb n’a pu s’empêcher de déclarer que les migrants faisaient du « benchmarking » pour choisir leur terre d’asile
Les badauds qui poussaient des oh ! et des ah ! ont songé à filmer l’ascension fulgurante de Mamoudou Gassama sur leur portable. Mais pas un n’a songé à utiliser son smartphone pour appeler les pompiers !