Laïcité
Le problème, c’est que cette orientation idéologique, minoritaire au départ, s’étend de plus en plus dans les université
Le principal du collège Jean-Bertin, à Saint-Georges-sur-Baulche, sommé de s’excuser auprès de deux femmes voilées.
En matière de laïcité, le personnel éducatif n’est pas toujours exemplaire.
Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.
Pour la présidente départementale de la LDH, « les racines de la France sont laïques et pas chrétiennes »…
« Du passé, faire table rase », l’antienne de la France Insoumise ne correspond pas à l’esprit de la loi de 1905.
Et fait bondir les atteintes à la laïcité : +110 % par rapport à l’an dernier !
Le successeur de Jean-Michel Blanquer est en effet devenu un expert des belles paroles jamais suivies d’actes concrets.
La laïcité, c’est comme les chasseurs dans le sketch des Inconnus : il y a la bonne et la mauvaise.
La statue a été réalisée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour une famille reconnaissante de voir un père et son fils rentrer vivants du conflit.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Alors que certains l’invitaient à retenir une conception extrême de la laïcité visant à la disparition du fait religieux dans l’espace public, le Conseil d’État a renouvelé sa conception souple et apaisée de cette notion…
Vivement, donc, que le député en cohérence avec sa pensée prenne la défense des crèches dans l’espace public et invoque des symboles susceptibles de revêtir une pluralité de significations, c’est-à-dire des éléments faisant partie de notre Histoire ou notre culture !
Il était temps que le ministre de l’Éducation nationale prenne la parole sur la laïcité. C’est un peu un passage obligé quand on est à ce poste.
Selon ces enseignants, la seule religion visée est l’islam. Apparemment, pas un mot sur les tefillins, les rosaires, les robes de moine, les crânes rasés des moines de Shaolin. On se pince en effet pour y croire.
Autrement dit, la laïcité pour restreindre l’emprise du catholicisme, c’est bien, mais quand il s’agit d’empêcher l’expansion de l’islam, c’est mal.
75 % des Français s’inquiètent de la multiplication du port des tenues religieuses à l’école : une angoisse justifiée depuis l’affaire Samuel Paty pour des « incidents » qui en disent long sur l’avancée du communautarisme en France
Initier des jeunes à la beauté par la musique sacrée, quelle plus belle activité en effet quand certains n’ont en face que tablettes et smartphones pour s’occuper ?
Comme lors des discussions autour de la loi contre le séparatisme, le pouvoir politique se retrouve incapable de désigner l’ennemi.
Une nouvelle offensive pour rayer les symboles chrétiens de notre civilisation ?
L’extension de la notion de laïcité au-delà de la sphère religieuse doit nous interroger. Elle est concomitante avec l’arrivée de l’islam en Europe, et ce n’est sûrement pas un hasard.
La laïcité, ce n’est pas réunir des personnes, c’est fondamentalement séparer ce qui relève du sacré, du religieux, de ce qui concerne le civil, la cité.
Marlène Schiappa prône l’écoute et le dialogue pour faire bouger les lignes tout en comptant bien, in fine, imposer la laïcité comme « ciment de la citoyenneté ».
Le « prêchi-prêcha » laïque, avec ses sermons sur l’esprit républicain, sonne creux dans la tête de la plupart des jeunes de banlieue et beaucoup d’autres Français n’y attachent plus guère d’importance.
Un mouvement de grève a débuté, lundi 4 janvier, dans le collège des Battières, à Lyon 5e (Rhône). Les enseignants comptent ainsi montrer leur soutien à un de leur collègues, agressé par un parent.
Et c’est aussi pourquoi on ne peut s’empêcher de ne pas tout à fait la détester, surtout à l’approche de ces fêtes de Noël où il convient d’être « bienveillant », pour reprendre la novlangue médiatique.
La France, qui, de toutes façons, a toujours été métissée et multiconfessionnelle, ne devrait donc pas témoigner tant d’égards à une religion que ses évêques eux-mêmes détruisent volontiers à coups de masse.
Ce projet de loi ne règle pas les problématiques que chacun observe dans sa vie de tous les jours, comme le port du voile islamique et autres attributs, rejetés par une très grosse majorité des Français…
Le problème, c’est que cette orientation idéologique, minoritaire au départ, s’étend de plus en plus dans les université
Le principal du collège Jean-Bertin, à Saint-Georges-sur-Baulche, sommé de s’excuser auprès de deux femmes voilées.
En matière de laïcité, le personnel éducatif n’est pas toujours exemplaire.
Demandez-vous si un seul père de famille pourrait de bonne foi refuser son assentiment à ce qu’il vous entendrait dire.
Pour la présidente départementale de la LDH, « les racines de la France sont laïques et pas chrétiennes »…
« Du passé, faire table rase », l’antienne de la France Insoumise ne correspond pas à l’esprit de la loi de 1905.
Et fait bondir les atteintes à la laïcité : +110 % par rapport à l’an dernier !
Le successeur de Jean-Michel Blanquer est en effet devenu un expert des belles paroles jamais suivies d’actes concrets.
La laïcité, c’est comme les chasseurs dans le sketch des Inconnus : il y a la bonne et la mauvaise.
La statue a été réalisée au lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour une famille reconnaissante de voir un père et son fils rentrer vivants du conflit.
Sans une décision ferme et claire de leur ministre, les enseignants et chefs d’établissement se retrouvent donc seuls à devoir gérer les entraves à la laïcité.
Alors que certains l’invitaient à retenir une conception extrême de la laïcité visant à la disparition du fait religieux dans l’espace public, le Conseil d’État a renouvelé sa conception souple et apaisée de cette notion…
Vivement, donc, que le député en cohérence avec sa pensée prenne la défense des crèches dans l’espace public et invoque des symboles susceptibles de revêtir une pluralité de significations, c’est-à-dire des éléments faisant partie de notre Histoire ou notre culture !
Il était temps que le ministre de l’Éducation nationale prenne la parole sur la laïcité. C’est un peu un passage obligé quand on est à ce poste.
Selon ces enseignants, la seule religion visée est l’islam. Apparemment, pas un mot sur les tefillins, les rosaires, les robes de moine, les crânes rasés des moines de Shaolin. On se pince en effet pour y croire.
Autrement dit, la laïcité pour restreindre l’emprise du catholicisme, c’est bien, mais quand il s’agit d’empêcher l’expansion de l’islam, c’est mal.
75 % des Français s’inquiètent de la multiplication du port des tenues religieuses à l’école : une angoisse justifiée depuis l’affaire Samuel Paty pour des « incidents » qui en disent long sur l’avancée du communautarisme en France
Initier des jeunes à la beauté par la musique sacrée, quelle plus belle activité en effet quand certains n’ont en face que tablettes et smartphones pour s’occuper ?
Comme lors des discussions autour de la loi contre le séparatisme, le pouvoir politique se retrouve incapable de désigner l’ennemi.
Une nouvelle offensive pour rayer les symboles chrétiens de notre civilisation ?
L’extension de la notion de laïcité au-delà de la sphère religieuse doit nous interroger. Elle est concomitante avec l’arrivée de l’islam en Europe, et ce n’est sûrement pas un hasard.
La laïcité, ce n’est pas réunir des personnes, c’est fondamentalement séparer ce qui relève du sacré, du religieux, de ce qui concerne le civil, la cité.
Marlène Schiappa prône l’écoute et le dialogue pour faire bouger les lignes tout en comptant bien, in fine, imposer la laïcité comme « ciment de la citoyenneté ».
Le « prêchi-prêcha » laïque, avec ses sermons sur l’esprit républicain, sonne creux dans la tête de la plupart des jeunes de banlieue et beaucoup d’autres Français n’y attachent plus guère d’importance.
Un mouvement de grève a débuté, lundi 4 janvier, dans le collège des Battières, à Lyon 5e (Rhône). Les enseignants comptent ainsi montrer leur soutien à un de leur collègues, agressé par un parent.
Et c’est aussi pourquoi on ne peut s’empêcher de ne pas tout à fait la détester, surtout à l’approche de ces fêtes de Noël où il convient d’être « bienveillant », pour reprendre la novlangue médiatique.
La France, qui, de toutes façons, a toujours été métissée et multiconfessionnelle, ne devrait donc pas témoigner tant d’égards à une religion que ses évêques eux-mêmes détruisent volontiers à coups de masse.
Ce projet de loi ne règle pas les problématiques que chacun observe dans sa vie de tous les jours, comme le port du voile islamique et autres attributs, rejetés par une très grosse majorité des Français…
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