Lecteur ou auditeur de France, vous avez pu constater combien les médias dits "mainstream" sont "trumpophobes". Au point de nous désinformer à longueur de journée depuis plus d'un an. Donald Trump est le pire président que les États-Unis ont eu à ce jour. C'est un fou, un déséquilibré, un malade, un bipolaire qui change d'avis tous les matins, quand ce n'est pas trente-six fois par jour.

Sauf que ce malade a réussi là où ses prédécesseurs ont échoué par manque de fermeté, de raisonnement, d'intelligence. Sur le plan intérieur, les succès s'accumulent : baisse surréaliste du chômage, le revenu des ménages est au plus haut depuis cinquante ans, les impôts ont baissé pour les entreprises comme pour les particuliers, les investissements se font en milliards de dollars, il a réussi à affaiblir les lobbies pro-avortement et pro-LGBT, l'immigration clandestine se tarit, etc. Bref, qui pourrait se plaindre de l'action politique de ceux que ses détracteurs appellent le milliardaire plutôt que le président des États-Unis. En cinq cents jours, Trump a su régler un nombre de problèmes que son « cher ami » français peut lui envier.

Sur le plan international, les journalistes ayant annoncé le triste résultat du sommet G7 de La Malbaie que l'incommensurable Bruno Le Maire a piteusement résumé en un sommet 6+1 n'ont rien vu venir, n'ont rien entendu, n'ont surtout pas relayé correctement ce que Trump leur a dit, à savoir qu'il avait proposé à ses collègues de supprimer l'ensemble des droits de douane... rien que ça. Je dirais que ce sommet fut celui de Trump + 6.

Et puis, il y a eu cette rencontre imprévisible entre le symbole absolu d'un dictateur et celui du président de la plus grande démocratie du monde. La célèbre phrase de Neil Armstrong après sa sortie sur le sol lunaire me revient à l'esprit :« Un petit pas pour l'homme, un grand pas pour l'humanité. »

C'est un peu cela, que Donald Trump vient de réaliser en éliminant la menace nucléaire d'une solide et longue poignée de main avec Kim Jong-un et en déclenchant, peut-être, les retrouvailles d'un peuple avec la liberté. Quant à l'Iran, on s'apercevra demain que ce pays ne retrouvera pas la démocratie et la liberté grâce à la main tendue de Macron aux ayatollahs, mais grâce à la fermeté de Trump, qui ne se contente pas de discours mais qui décide, envers et contre tous.

Oui, je n'ai pas peur de l'écrire, Donald Trump est un grand président derrière lequel se cache le profil d'un businessman à l'américaine. Il a su adapter son expérience commerciale à celle, nouvellement acquise, de président des États-Unis, tout en confirmant qu'il ne baissera pas les bras sur la mise en œuvre de ses valeurs chrétiennes. Gageons que son prochain objectif sera de canaliser l'ambition d'un autre dictateur : l'islamiste Erdoğan.

Si la France avait eu la chance d'avoir un homme de sa trempe, un homme solide comme un roc, dont l'ambition n'est pas celle de devenir le maître du monde, notre avenir aurait été tout autre.

Mais chez nous, tout augmente : les taxes, les impôts, la pauvreté, l'immigration, les lois sociétales qui détruisent une à une les valeurs de notre société que nos pères ont eu tant de mal à maintenir.

Et ce n'est pas parce que la main de Macron s'est imprimée sur celle de Trump qu'il y a eu transfert de résultats !

Cet article a été mis à jour pour la dernière fois le 09/01/2020 à 17:44.

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15 juin 2018 à 10:47

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