De nombreux jeunes ont compris que s’expatrier, c’est céder sa place à un immigrant.

Un aventurier dans un village, ça faisait encore rêver il y a vingt ans, mais il semblerait que la jeunesse ait enfin compris que, dès qu'elle aura le dos tourné pour aller gagner sa vie ailleurs, on va lui voler son pays, ses usages, ses fêtes religieuses, ses coutumes sociales et ses habitudes alimentaires. Alors, elle commence à bouder le mondialisme en disant qu'on est finalement bien chez nous et qu'on va s'arranger pour y rester.

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