Emmanuel Macron, parce qu’intelligent, est autrement plus dangereux que ses prédécesseurs.
Face au marais macronien, composé de droito-centristes et de socialistes anémiés, droite et gauche de conviction issues de la « France périphérique » ont encore de l’avenir devant elles.
Marine Le Pen n’incarne plus le même espoir qu’en 2017. Pour autant, elle est toujours là et bien là.
Il est vrai que de ces deux côtés de l’Atlantique, le culte des victimes a peu à peu supplanté celui des héros.
Finalement, il y a de la tendresse dans toute cette nostalgie.
Mine de rien, c’est qu’il s’en passe de belles, dans la province du même nom.
Une réunification des deux Corées, séparées depuis 1953, au terme d’un conflit de trois ans, est-elle ensuite envisageable ? Rien n’est moins sûr…
Le fameux « logeur de Daech », vient de faire son grand retour sous les feux de la rampe ; enfin, ceux du tribunal de Bobigny,
À en croire le dernier rapport annuel de Reporters sans frontières, la profession de journaliste ne battrait pas des records de popularité, que ce soit auprès de certains gouvernements, mais encore d’une écrasante majorité du public.
Il n’y a donc pas besoin de cause politique ou religieuse pour donner la mort…
En la matière, l’autocritique vaudrait mieux que la simple critique, sachant que ces belles âmes ont été les premières à stigmatiser tous ceux qui s’alarmaient de l’immigration de masse.
Comme à chaque fois, notre puissant voisin continue de faire tel qu’il l’entend après avoir fait semblant de nous entendre.
Depuis soixante ans, il existe une exception cubaine. Un peu comme le village d’Astérix, celui de La Havane résiste au puissant voisin états-unien.
Rire à gorge déployée devant la énième réédition des sketches et citations de Pierre Desproges, pour ensuite se féliciter de l’éviction d’un autre humoriste…
S’en remettra-t-il un jour ? Nul ne le sait.
Il aurait pourtant tort de trop se plaindre, sa notoriété n’allant pas sans quelques avantages.
Son public lui est toujours demeuré fidèle. Pas rancunier, ce public…
Pour grosse qu’elle soit, la ficelle n’est est pas moins finaude.
Avec la disparition, à soixante-douze ans, de Richard Peyzaret – plus connu sous le nom de F’murr -, ce sont à la fois un poète doublé d’un dessinateur et une époque qui s’en vont.
Qui a dit que jamais le diable ne pouvait porter pierre ?
À rebours de la concurrence, le vieux bandit possédait un atout de taille dans sa manche : l’amour du beau français,
Quand les vannes de la dinguerie sont grandes ouvertes, comment s’étonner qu’elles puissent submerger ceux-là mêmes qui les ont ouvertes à grande eau ?
L’individu roi préfère se trémousser tout seul.
Francis Kalifat, président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), choisit assez mal son moment.
Ce n’est pas qu’une immense actrice qui s’en est allée, mais une grande dame, aussi.
Les Égyptiens votent actuellement pour leur nouveau président. Ce n’est pas une blague, même si cela y ressemble un peu.
Décidément, les antifas sont de grands émotifs.
On savait depuis longtemps que ce qu’il est convenu de nommer « l’extrême droite » a toujours eu le sens de la fête et de la convivialité. Cela se vérifie une fois de plus en Autriche…
Emmanuel Macron, parce qu’intelligent, est autrement plus dangereux que ses prédécesseurs.
Face au marais macronien, composé de droito-centristes et de socialistes anémiés, droite et gauche de conviction issues de la « France périphérique » ont encore de l’avenir devant elles.
Marine Le Pen n’incarne plus le même espoir qu’en 2017. Pour autant, elle est toujours là et bien là.
Il est vrai que de ces deux côtés de l’Atlantique, le culte des victimes a peu à peu supplanté celui des héros.
Finalement, il y a de la tendresse dans toute cette nostalgie.
Mine de rien, c’est qu’il s’en passe de belles, dans la province du même nom.
Une réunification des deux Corées, séparées depuis 1953, au terme d’un conflit de trois ans, est-elle ensuite envisageable ? Rien n’est moins sûr…
Le fameux « logeur de Daech », vient de faire son grand retour sous les feux de la rampe ; enfin, ceux du tribunal de Bobigny,
À en croire le dernier rapport annuel de Reporters sans frontières, la profession de journaliste ne battrait pas des records de popularité, que ce soit auprès de certains gouvernements, mais encore d’une écrasante majorité du public.
Il n’y a donc pas besoin de cause politique ou religieuse pour donner la mort…
En la matière, l’autocritique vaudrait mieux que la simple critique, sachant que ces belles âmes ont été les premières à stigmatiser tous ceux qui s’alarmaient de l’immigration de masse.
Comme à chaque fois, notre puissant voisin continue de faire tel qu’il l’entend après avoir fait semblant de nous entendre.
Depuis soixante ans, il existe une exception cubaine. Un peu comme le village d’Astérix, celui de La Havane résiste au puissant voisin états-unien.
Rire à gorge déployée devant la énième réédition des sketches et citations de Pierre Desproges, pour ensuite se féliciter de l’éviction d’un autre humoriste…
S’en remettra-t-il un jour ? Nul ne le sait.
Il aurait pourtant tort de trop se plaindre, sa notoriété n’allant pas sans quelques avantages.
Son public lui est toujours demeuré fidèle. Pas rancunier, ce public…
Pour grosse qu’elle soit, la ficelle n’est est pas moins finaude.
Avec la disparition, à soixante-douze ans, de Richard Peyzaret – plus connu sous le nom de F’murr -, ce sont à la fois un poète doublé d’un dessinateur et une époque qui s’en vont.
Qui a dit que jamais le diable ne pouvait porter pierre ?
À rebours de la concurrence, le vieux bandit possédait un atout de taille dans sa manche : l’amour du beau français,
Quand les vannes de la dinguerie sont grandes ouvertes, comment s’étonner qu’elles puissent submerger ceux-là mêmes qui les ont ouvertes à grande eau ?
L’individu roi préfère se trémousser tout seul.
Francis Kalifat, président du CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France), choisit assez mal son moment.
Ce n’est pas qu’une immense actrice qui s’en est allée, mais une grande dame, aussi.
Les Égyptiens votent actuellement pour leur nouveau président. Ce n’est pas une blague, même si cela y ressemble un peu.
Décidément, les antifas sont de grands émotifs.
On savait depuis longtemps que ce qu’il est convenu de nommer « l’extrême droite » a toujours eu le sens de la fête et de la convivialité. Cela se vérifie une fois de plus en Autriche…