À l’évidence, les rédacteurs et les rapporteurs de ce projet vivent dans une bulle, bien loin de la réalité quotidienne des malades et des médecins.
Cet épisode douloureux aura eu cependant un effet positif, celui de nous rappeler le respect que nous devons au corps, cet exemplaire humain unique et irremplaçable.
Ce que nous savons du projet de loi « Ma santé 2022 », censée résoudre ces problèmes, ne nous incite pas à l’optimisme !
Si on estime que cette recherche ne doit pas avoir lieu, on doit alors également interdire la recherche des trisomies chez les femmes enceintes !
Dans une société qui se méfie de tout et qui se veut ultra-sécuritaire, il est étonnant que le paracétamol ou l’aspirine puissent être en libre-service comme le dentifrice ou les shampooings…
Comment se fait-il que les autorités de surveillance n’aient pas agi, dès 1999, pour enquêter sérieusement et retirer le benfluorex du marché ?
Ce qui est étonnant, avec les décisions de tous ceux qui ne veulent que le bien de leurs concitoyens, c’est que, dans le domaine de la fumette, le cannabis semble jouir, jusqu’à présent, d’une impunité totale.
Presque 20 % des adolescents étudiés sont en surcharge pondérale et, parmi eux, plus de 5 % sont carrément obèses.
Alors que certains s’interrogent sur les bienfaits de la PMA étendue aux couples de femmes homosexuelles…
Chez les humains la rougeole, d’après l’OMS, aurait fait trois fois plus de victimes pendant les sept premiers mois de 2019 que durant toute l’année 2018.
La situation n’est pas près de s’améliorer, même si le gouvernement décide de débloquer des moyens financiers importants.
Mais méfions-nous des conclusions hâtives.
Un diagnostic précoce, même sans traitement médicamenteux, serait une bonne avancée dans la prise en charge de ces patients pour lesquels un environnement adapté à leur pathologie est absolument nécessaire, et permet parfois de retarder l’évolution de la maladie et la mise en institution spécialisée.
Toute cette petite pathologie, que l’on pourrait qualifier de médecine de dépannage, aboutit aux urgences, faute de trouver une solution satisfaisante dans les structures libérales urbaines ou rurales
Sous prétexte de ne pas stigmatiser certains groupes sociaux, il serait vraiment dommage de laisser progresser cette maladie dans la population.
…cette anomalie congénitale qui complique la détermination du sexe concerne environ une naissance sur 5.000.
Le problème des déserts médicaux n’est pas près d’être résolu par cette simple réforme.
Il faut espérer que, dans l’avenir, le rôle du médecin ne se résumera pas à celui d’un technicien uniquement capable d’interpréter un arbre décisionnel anonyme.
Le problème des urgences n’est que la partie émergée de l’iceberg…
Les causes de la SEP restent encore inconnues…
Hélas, il est plus simple et beaucoup plus rentable d’installer de nouveaux radars au bord des routes que de faire des contrôles de drogues et d’alcoolémie…
Difficile de pouvoir limiter cette plante à la seule industrie pharmaceutique sans que de pseudo-herboristes ne réclament d’en disposer pour une clientèle rétive à l’usage des suppositoires…
Les polémiques à propos de cette vaccination ne sont pas près de s’éteindre, car elle est davantage ressentie comme une mesure de protection individuelle, donc soumise au libre choix de chacun, que comme un problème de santé publique.
Les médecins et les malades devront rester vigilants et veiller à ce que chacun conserve ses compétences si on veut éviter qu’un jour, un drame ne se produise.
Ces médecins ont été choqués par le nombre anormal de contusions oculaires graves qu’ils ont constatées…
Comme dans d’autres domaines de la vie courante, on préfère obliger la population à se soumettre plutôt que chercher à modifier des pratiques industrielles pour faire taire ces craintes…
Le porte-parole du gouvernement a dû reconnaître que le problème de l’accès aux soins apparaissait comme une revendication majeure dans les débats organisés dans le cadre de cette grande consultation.
A-t-on relevé autant de blessures chez les émeutiers de banlieue, par exemple en 2005 ou, plus récemment, au début de l’année 2017 après l’affaire Théo ?
À l’évidence, les rédacteurs et les rapporteurs de ce projet vivent dans une bulle, bien loin de la réalité quotidienne des malades et des médecins.
Cet épisode douloureux aura eu cependant un effet positif, celui de nous rappeler le respect que nous devons au corps, cet exemplaire humain unique et irremplaçable.
Ce que nous savons du projet de loi « Ma santé 2022 », censée résoudre ces problèmes, ne nous incite pas à l’optimisme !
Si on estime que cette recherche ne doit pas avoir lieu, on doit alors également interdire la recherche des trisomies chez les femmes enceintes !
Dans une société qui se méfie de tout et qui se veut ultra-sécuritaire, il est étonnant que le paracétamol ou l’aspirine puissent être en libre-service comme le dentifrice ou les shampooings…
Comment se fait-il que les autorités de surveillance n’aient pas agi, dès 1999, pour enquêter sérieusement et retirer le benfluorex du marché ?
Ce qui est étonnant, avec les décisions de tous ceux qui ne veulent que le bien de leurs concitoyens, c’est que, dans le domaine de la fumette, le cannabis semble jouir, jusqu’à présent, d’une impunité totale.
Presque 20 % des adolescents étudiés sont en surcharge pondérale et, parmi eux, plus de 5 % sont carrément obèses.
Alors que certains s’interrogent sur les bienfaits de la PMA étendue aux couples de femmes homosexuelles…
Chez les humains la rougeole, d’après l’OMS, aurait fait trois fois plus de victimes pendant les sept premiers mois de 2019 que durant toute l’année 2018.
La situation n’est pas près de s’améliorer, même si le gouvernement décide de débloquer des moyens financiers importants.
Mais méfions-nous des conclusions hâtives.
Un diagnostic précoce, même sans traitement médicamenteux, serait une bonne avancée dans la prise en charge de ces patients pour lesquels un environnement adapté à leur pathologie est absolument nécessaire, et permet parfois de retarder l’évolution de la maladie et la mise en institution spécialisée.
Toute cette petite pathologie, que l’on pourrait qualifier de médecine de dépannage, aboutit aux urgences, faute de trouver une solution satisfaisante dans les structures libérales urbaines ou rurales
Sous prétexte de ne pas stigmatiser certains groupes sociaux, il serait vraiment dommage de laisser progresser cette maladie dans la population.
…cette anomalie congénitale qui complique la détermination du sexe concerne environ une naissance sur 5.000.
Le problème des déserts médicaux n’est pas près d’être résolu par cette simple réforme.
Il faut espérer que, dans l’avenir, le rôle du médecin ne se résumera pas à celui d’un technicien uniquement capable d’interpréter un arbre décisionnel anonyme.
Le problème des urgences n’est que la partie émergée de l’iceberg…
Les causes de la SEP restent encore inconnues…
Hélas, il est plus simple et beaucoup plus rentable d’installer de nouveaux radars au bord des routes que de faire des contrôles de drogues et d’alcoolémie…
Difficile de pouvoir limiter cette plante à la seule industrie pharmaceutique sans que de pseudo-herboristes ne réclament d’en disposer pour une clientèle rétive à l’usage des suppositoires…
Les polémiques à propos de cette vaccination ne sont pas près de s’éteindre, car elle est davantage ressentie comme une mesure de protection individuelle, donc soumise au libre choix de chacun, que comme un problème de santé publique.
Les médecins et les malades devront rester vigilants et veiller à ce que chacun conserve ses compétences si on veut éviter qu’un jour, un drame ne se produise.
Ces médecins ont été choqués par le nombre anormal de contusions oculaires graves qu’ils ont constatées…
Comme dans d’autres domaines de la vie courante, on préfère obliger la population à se soumettre plutôt que chercher à modifier des pratiques industrielles pour faire taire ces craintes…
Le porte-parole du gouvernement a dû reconnaître que le problème de l’accès aux soins apparaissait comme une revendication majeure dans les débats organisés dans le cadre de cette grande consultation.
A-t-on relevé autant de blessures chez les émeutiers de banlieue, par exemple en 2005 ou, plus récemment, au début de l’année 2017 après l’affaire Théo ?