Parce que le Président se défend, chez nos amis italiens, de tout retard sur les mesures de confinement.
Le Tour de France à huis clos. Personne n’y avait pensé.
Qu’est-ce qu’elle n’aura pas fait pour s’attirer les bonnes grâces du souverain du Macronistan !
On attend avec impatience l’arrêté préfectoral qui osera fixer les conditions réglementaires de la bagatelle afin de respecter les mesures de « distanciation sociale »…
Edicter le couvre-feu partout est une chose. Faire appliquer le couvre-feu par tous en est une autre.
Va falloir s’occuper, les amis. Contrairement à la grève qui durait « des fois trois semaines, des fois même trois semaines, voire même trois semaines »,
Certes, dans le « bordel ambiant actuel », pour l’instant tout va bien, si l’on peut dire, pour le Président.
Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.
La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.
On espère juste un truc, c’est que ce non pas « chacun pour soi » mais « chacun chez soi » fera école. À grande échelle.
Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.
Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.
Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.
Tout est grand, chez Juan Carlos, y compris les scandales…
La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.
Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.
Donc, la pendaison sous l’Ancien Régime pour le détournement de fonds publics. Fort bien. Mais pourquoi en rester là ?
Si ça peut faire revenir les abstentionnistes aux urnes…
« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?
« Épatant », aurait dit feu Jean d’Ormesson.
« Dégueulasse » : il y a, comme ça, des mots qui ne se démodent pas
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Alors, extrapolons. Élargissons la problématique, comme on dit. Prenons au mot les recommandations de Bruno Questel.
Benjamin Griveaux, victime de ce qu’il a adoré ?
On dit que l’élection présidentielle au suffrage universel est la rencontre d’un homme (ou d’une femme, bien sûr) et d’un peuple. Nous ne sommes pas à l’abri de « belles rencontres »…
Parce que le Président se défend, chez nos amis italiens, de tout retard sur les mesures de confinement.
Le Tour de France à huis clos. Personne n’y avait pensé.
Qu’est-ce qu’elle n’aura pas fait pour s’attirer les bonnes grâces du souverain du Macronistan !
On attend avec impatience l’arrêté préfectoral qui osera fixer les conditions réglementaires de la bagatelle afin de respecter les mesures de « distanciation sociale »…
Edicter le couvre-feu partout est une chose. Faire appliquer le couvre-feu par tous en est une autre.
Va falloir s’occuper, les amis. Contrairement à la grève qui durait « des fois trois semaines, des fois même trois semaines, voire même trois semaines »,
Certes, dans le « bordel ambiant actuel », pour l’instant tout va bien, si l’on peut dire, pour le Président.
Aujourd’hui, la visioconférence a remplacé les visions de la Pythie et la lecture ou télévision du journal quotidien celle des entrailles de poulets. Mais les calamités sont toujours là.
La guerre dans laquelle nous sommes entrés est sanitaire mais elle est aussi psychologique. Et, il faut bien le reconnaître, ça démarre très mal.
On espère juste un truc, c’est que ce non pas « chacun pour soi » mais « chacun chez soi » fera école. À grande échelle.
Dans une démocratie digne de ce nom, disions-nous… Édouard Philippe peut être tranquille.
Jusqu’à présent, elle avait plutôt fait un sans-faute, enfilant correctement les lieux communs sur les plateaux télé comme d’autres des perles d’élevage.
Prenez, par exemple, l’affaire Griveaux. Au départ, la petite affaire devait se dérouler aussi dans la plus stricte intimité.
Tout est grand, chez Juan Carlos, y compris les scandales…
La politique ne se fait peut-être pas à la corbeille, comme disait de Gaulle, mais désormais, nos politiques nous expliquent comment jeter notre mouchoir en papier après usage.
Dieu merci – on ne croit pas si bien dire -, il n’est pas encore recommandé aux prêtres de dire la messe avec un masque de protection.
Donc, la pendaison sous l’Ancien Régime pour le détournement de fonds publics. Fort bien. Mais pourquoi en rester là ?
Si ça peut faire revenir les abstentionnistes aux urnes…
« Vous, vous n’êtes rien ! » Mais au fait, ça ne vous fait penser à rien ?
« Épatant », aurait dit feu Jean d’Ormesson.
« Dégueulasse » : il y a, comme ça, des mots qui ne se démodent pas
Alors, le communautarisme aurait-il déjà gagné avec cet abandon sémantique ?
Alors, extrapolons. Élargissons la problématique, comme on dit. Prenons au mot les recommandations de Bruno Questel.
Benjamin Griveaux, victime de ce qu’il a adoré ?
On dit que l’élection présidentielle au suffrage universel est la rencontre d’un homme (ou d’une femme, bien sûr) et d’un peuple. Nous ne sommes pas à l’abri de « belles rencontres »…